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alt   Le “scandale” du MEDIATOR (un exemple entre beaucoup ?) … 

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« La plupart des patients meurent de leurs remèdes et pas de leurs maladies » (Molière)

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La pharmacopée européenne comprend environ 14 000 médicaments (c’est à dire substances possédant une AMM), dont à peu près la moitié sont inutiles … Ce fut le cas de l’Isoméride (quelques 30 000 victimes aux USA et presque autant de procès) et de son « petit cousin » le Médiator (laboratoire Servier, 2 000 victimes en France environ, ces dernières années).

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Ces trente dernières années, le système de santé s’est emballé, suite à la pression des marchés boursiers qui ont pris les rennes des laboratoires pharmaceutiques, avec l’objectif d’une rentabilité immédiate (retour sur investissement court). Or, la mise au point d’un remède novateur prend environ 10 à 15 ans … C’est sur la foi d’études cliniques exclusivement menées et financées par les firmes que s’évaluent aujourd’hui les traitements proposés aux patients. Avec tous les biais que l’on peut craindre et que l’on a pu constater a posteriori : résultats négatifs occultés, pistes de recherche volontairement non explorées …

La pression des laboratoires s’est accentuée sur les politiques (les experts des différentes commissions de mise sur le marché sont payés par les laboratoires) et sur les médecins (chapeautant l’organisation de la FMC), à tel point que dans la récente loi Bachelot, l’industrie dit clairement qu’elle a mission de former les médecins et le public (?!) au bon usage des médicaments.

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L’idée d’étendre le domaine de prescription des médicaments jusqu’à couvrir tous les aspects normaux de la vie, le disease mongering ou façonnage de maladies, est une tendance, dont les media grand public et les patients se font les complices : médicaments pour perdre du poids, pour être plus performant sexuellement ou intellectuellement, surmonter sa timidité requalifiée « phobie sociale » ou calmer un enfant turbulent requalifié d’ »hyperactif avec déficit de l’attention« , etc…

Les associations de malades sont généralement peu actives sur le sujet des conflits d’intérêts en santé et des dangers qu’ils comportent, car elles sont pour la plupart dépendantes des subsides de l’industrie et conseillées par des comités scientifiques constitués pour beaucoup des mêmes leaders d’opinion qui assurent indifféremment expertise pour les autorités, marketing pour les firmes et lobbying, via les associations.

De plus, pour améliorer leur rentabilité, par la grâce des « partenariats public-privé », les firmespharmaceutiques licencient aujourd’hui leurs propres chercheurs pour sous-traiter leur recherche à un secteur public paupérisé en quête désespérée de financements. Une opération très rentable, car l’État subventionne cette sous-traitance à hauteur de 60 %, par un crédit Impôt Recherche majoré, mis en scène lors de grandes messes telles que celle du Conseil Stratégique des Industries de Santé en octobre 2009 à l’Élysée même. 

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Les incohérences dans ce domaine sont légion, ainsi, pourquoi le Coversil (laboratoire Servier encore !) qui est deux fois et demie plus cher que les médicaments de sa classe, est-il le plus vendu ? Peut-être parce que monsieur Servier a été un des premiers clients du jeune avocat Sarkozy ?! 

Le fait que l’AFSSAPS, agence chargée de délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM) aux médicaments, comme l’agence européenne, l’EMA, soit financée désormais dans sa quasi totalité par les firmes pharmaceutiques est dénoncé par la commission d’enquête du Sénat sur le médicament, comme par la Cour des Comptes, qui use de la litote : « le mode de financement retenu n’est pas de nature à assurer l’indépendance de l’agence ». 

Il ne faut pas attendre que le système se réforme de lui-même, dans ce domaine là comme dans bien d’autre l’état se révèle incompétent et inefficace : ce serait demander au bras droit de juger ce que fait le bras gauche ! Aux USA, ce sont les actions juridiques (class actions) qui ont fait reculer les laboratoires (cf. le scandale du Vioxx, avec 27 000 morts et encore plus de 2 000 procès en cours : http://lawsuits.lawinfo.com/Vioxx/index.html). 

Plus grave encore, il existe environ 80 autres médicaments « sous surveillance », dont une bonne cinquantaine va être retiré du marché (ex. Bufomedal, Nexen, Ketec, Diantalvic …). Plus drôle encore, l’agence gouvernementale a depuis mis sur le marché une molécule cousine du Vioxx, l’Arcoxia, que son homologue américaine la FDA a pour sa part rejetée par 20 voix sur 21. Les risques médicamenteux, comme les nuages radioactifs, s’arrêtent aux frontières de l’Hexagone ?!

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Les « lanceurs d’alerte », ces empêcheurs de tourner en rond, subissent un traitement inouï, fait de pressions, chantages, licenciements, diffamations. La puissance publique, loin de les protéger, s’en fait parfois la complice et l’instrument, malgré les annonces récurrentes de création d’un statut protecteur de ces praticiens. Des échanges de courriels entre représentants de l’Afssaps et de Servier démontrent une incroyable convergence d’intérêts pour nuire au Dr Irène FRACHON (pneumologue ayant dénoncé le Médiator).

Le Dr Bernard JUNOD, épidémiologiste et membre du Formindep, dont les travaux sur le surdiagnostic dans le dépistage du cancer du sein et son coût humain dérangent, a été mis à la retraite d’office par le directeur de l’Ecole des Hautes Etudes de Santé Publique où il était enseignant chercheur. Dans de telles conditions, ces lanceurs d’alertes doivent être doublement salués, pour leur intégrité scientifique et pour leur courage.

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Les effets secondaires des médicaments provoquent 143 000 hospitalisations (source SS) ettuent 18 000 personnes chaque année, deux fois plus que la route. Où sont les radars sur la route des médicaments ?

Mais au-delà des médicaments, c’est toute la définition des soins et même des maladies qui est polluée par des intérêts qui ne sont pas ceux des patients. Combien d’actes thérapeutiques inutiles, d’objectifs de santé irrationnels et néfastes qui ne soignent que le chiffre d’affaires des firmes et détournent des ressources précieuses du système de santé ?

Il est temps que les usagers et patients se saisissent du problème des conflits d’intérêts en médecine, car ses conséquences se chiffrent en vies humaines. Leur défense ne peut reposer sur quelques individus ou groupes héroïques. Tout compte fait ce sont simplement les outils de la démocratie qui doivent être utilisés : contrôle citoyen et transparence, primauté de l’intérêt général, indépendance des décisions et des institutions qui les émettent, séparation des pouvoirs, etc…

Des alternatives physiologiques à la chimie existent aussi, surtout dans tous les troubles fonctionnels : l’homéopathie, la phytothérapie, la médecine chinoise, la psychologie l’ostéopathie … ont encore de beaux jours devant eux. Ce site se félicite de vous les faire connaitre et apprécier.

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Dans la liste des 77 médicaments à présent « sous surveillance » par l’afssaps, on trouve :

ACLASTA 5 mg (laboratoire Novartis). Biphosphonate, traitement de l’ostéoporose. Effets indésirables : nécroses mandibulaires et insuffisances rénales.

ACOMPLIA. (Sanofi-Aventis) Ce produit de traitement de l’obésité ou des patients en surpoids a fait l’objet d’un retrait du marché le 23 octobre 2008, mais les autorités surveillent toujours les effets indésirables sur les patientes : il peut entraîner des dépressions, des vertiges et des troubles du sommeil.

ALLI 60mg (GSK). Ce médicament bloquant l’absorbsion des graisses alimentaires est indiqué dans le traitement du surpoids. Il est sous surveillance, car il peut entraîner des troubles de l’anxiété.

ARCOXIA (MSD Chibret). Il s’agit d’un anti inflammatoire non stéroïdien utilisé dans le traitement de l’arthrose. Effet secondaire : Il peut augmenter le risque d’accident vasculaire cérébraux, et d’infarctus du myocarde.

BYETTA (Lilly). Ce médicament est un anti-diabétique. Il entraîne des troubles gastro-intestinaux, des nausées, et des vomissements. Une étude montre qu’il augmente le risque d’insuffisance rénale aigüe.

CERVARIX (GSK). C’est un vaccin contre le col de l’utérus en prévention des cancers du col. Effets secondaires possibles : céphalées, et douleurs musculaires, rougeur et gonflement … puis, phénomènes de « sycose », bien connus des praticiens homéopathes (lire sur ce site la rubrique « vaccin contre le papilloma virus », chapitre pharmacopée).

CHAMPIX (Pfizer). Ce médicament d’aide à l’arrêt du tabac agit sur les récepteurs nicotiniques du cerveau. Il a des effets secondaires neurologiques, notamment la dépression, l’irritabilité, les céphalées.

CIMZIA (UCB Pharma) : Il s’agit d’une prise en charge de la polyarthrite rhumatoide. Des effets secondaires ont été identifiés, notamment des tuberculoses et des zonas.

CYMBALTA (Lilly). Ce médicament est un antidépresseur. Ses effets secondaires sont des atteintes graves du foie. L’Afssaps indique que «le risque de suicides pourrait être augmenté».

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EFFENTORA (Céphalon). Ce médicament est un anti-douleur. Il peut provoquer une accoutumance. Le surdosage peut être mortel.

EFIENT 10 mg (Lilly). Ce médicament est indiqué pour la prévention des maladies cardio-vasculaires. Les effets secondaires identifiés sont le risque hémorragique et l’anémie.

ELLAONE (HRA Pharma). Il s’agit d’un contraceptif d’urgence à prendre dans les cinq jours après un rapport sexuel non protégé. Les risques identifiés sont l’augmentation de la pression artérielle, les grossesses extra-utérines et les atteintes du foie.

EXJADE (Novartis). Ce médicament est indiqué contre la surcharge en fer. Il peut provoquer des troubles au foie et aux intestins.

FIRMAGON (Ferring). Il s’agit d’un traitement hormonal pour le cancer de la prostate. Il peut entraîner des pathologies cardio-vasculaires et une diminution de la densité minérale osseuse.

FONZYLANE … vasodilatateur périphérique

GALVUS (Novartis). Il s’agit d’un anti-diabétique. Il peut provoquer des atteintes du foie, et des troubles du système nerveux.

GARDASIL (Sanofi-Pasteur MSD). Il s’agit du vaccin contre le papillomavirus, pour éviter les cancers du col de l’utérus. Il peut entrainer des réactions cutanées au point d’injection et de la fièvre. Il n’est pas recommandé pour la femme enceinte.

ILARIS (Novartis). Ce médicament est un anticorps, pour lutter contre certaines infections. Il peut entraîner des vertiges et une hypercholestérolémie.

INCRELEX (Ipsen). Ce médicament est indiqué dans le traitement à long terme des retards de croissance chez l’enfant. Des hypoglycémies et des hypertrophies des amygdales ont été signalées.

INSTANYL ( Nycomed). Il s’agit d’un anti-douleur morphinique. Il peut provoquer des dépressions respiratoires, des vomissements, et des vertiges.

INTELENCE (Janssen-Cilag). Il s’agit d’un médicament de la famille des antirétroviraux. Les risques identifiés sont l’éruption cutanée, parfois sous forme très importantes, et les nausées.

INTRINSA (Procter&Gamble Pharmaceuticals), patch indiqué dans la baisse du désir sexuel chez les femmes souffrant de ménopause chirurgicale. Effets indésirables : réactions locales au site d’application (30 % des patients), acné, hirsutisme et raucité de la voix (pour 1% des patients). Risques potentiels : survenue du cancer du sein et d’évènements cardiovasculaires.

ISENTRESS (Merck, Sharp & Dohme LTD), indiqué dans le traitement de l’infection par VIH. Effets indésirables : diarrhées, nausées et fièvre. Risque potentiel : développement de résistances et échec virologique.

JANUVIA, 100 mg comprimé pelliculé (Merck, Sharp & Dohme LTD), indiqué chez les patients diabétiques de type 2 pour le contrôle de la glycémie. Effets indésirables : troubles digestifs, infections des voies respiratoires, réactions cutanées, réactions d’hypersensibilité.

KETUM … AINS (dangereux, comme tous les médicaments de cette classe)

KUVAN (Merck Serono), indiqué dans deux maladies métaboliques rares. Effets indésirables : troubles gastro-intestinaux. Risque potentiel : atteinte des reins.

LUCENTIS (Novartis Europharm LTD), indiqué dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Effets indésirables : décollements de la rétine, déchirures rétitiennes, cataractes traumatiques (survenus dans moins de 0,1% des injections intravitréennes) ; inflammations intraoculaire (moins de 1% des cas). Risque potentiel : réaction allergique grave.

LYRICA … Antalgique central aux nombreux effets secondaires

MEPRONIZINE … Somnifère

MULTAQ (Sanofi-Aventis), indiqué dans certains troubles cardiaques. Effets indésirables : diarrhées, nausées, vomissements et asthénie.

MYCAMINE (Astellas Pharma), indiqué contre les mycoses. Effets indésirables : nausées et vomissements. Risque potentiel : développement de tumeurs du foie.

NEXEN … AINS (dangereux, comme tous les médicaments de cette classe)

NPLATE (Amgen), indiqué pour augmenter la production de plaquettes. Effets indésirables : maux de tête. Risques potentiels : problèmes cardio-vasculaires.

ONGLYZA (Bristol-Myers Squibb/AstraZeneca), indiqué dans le diabète de type 2. Effets indésirables : infections respiratoires, vomissements, maux de tête.

ORENCIA (Bristol-Myers Squibb), indiqué dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : infections respiratoires et urinaires, réactions allergiques, nausées, maux de tête.

PARLODEL … médicament spécifique de l’adénome hypophysaire

PRADAXA (Boehringer-Ingelheim), indiqué chez les patients ayant une prothèse totale de hanche ou de genou. Effets indésirables : nausées, vomissements, constipations, thromboses veineuses profondes, insomies. Risques : hémorragie, atteinte du foi.

PRAXINOR … médicament de l’hypotension artérielle

PREVENAR 13 (Pfizer), vaccin contre les infections à pneumocoque (méningites, pneumonies…) pour les enfants. Effets indésirables : réactions au site d’injection, fièvre, irritabilité, perte d’appétit et troubles du sommeil.

PROCORALAN (Servier), indiqué dans certains troubles du rythme cardiaque. Effets indésirables : ralentissement du rythme cardiaque et vision trouble.

PROPOFAN … antalgique bien connu

PROTELOS … Réalate de Strontium, remède destiné à limiter l’ostéoporose

REVOLADE (GlaxoSmithKline), indiqué pour certaines personnes ayant subi une ablation de la rate. Effets indésirables : maux de tête, nausées. Risques : atteintes du foie, thromboses veineuses, embolies pulmonaires, infarctus.

RIVOTRIL … anti épileptique, antalgique du trijumeau

ROACTEMRA (Roche) … Anticorps monoclonal contre la polyarthrite rhumatoïde. Effets indésirables : rhinopharyngites, maux de tête. Risques : infections graves comme pneumonie ou zona, perforations gastro-intestinales.

STABLON … Antidépresseur

STELARA (Janssen-Cilag), contre le psoriasis. Risques : réactions cutanées, allergies, infections.

STILNOX … Somnifère

SYMBICORT (AstraZeneca), contre l’asthme. Effets indésirables : palpitations, tremblements, irritations de la gorge, toux, raucité de la voix.

THALIDOMIDE (Celgene), retiré du marché mondial en 1962, il est actuellement réutilisé pour ses propriétés antitumorales. Les effets indésirables : malformations congénitales en cas de grossesse ; tromboses veineuses ; embolies pulmonaires.

THELIN (Encysive Limited), pour les patients souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire dans le but d’améliorer leur capacité à l’exercice physique. Effets indésirables : infections des voix respiratoires, troubles de la coagulation. Risques : oedème pulmonaire.

TOCTINO (Basilea Pharma), contre l’eczéma chronique sévère des mains. Risque élevé de malformation congénitale en cas de grossesse. Autres risques : troubles psychiatriques ou encore oculaires.

TRACLEER (Actelion), indiqué contre l’hypertension artérielle pulmonaire et aussi contre les ulcères digitaux. Risques associés : toxicité hépatique.

TRAMADOL … antalgique

TYSABRI (Biogen Idec France), réservé à l’usage hospitalier et indiqué dans la sclérose en plaques. Risques : graves troubles au foie et des complications neurologiques.

TYVERB (GSK), indiqué contre le cancer du sein. Effets indésirables : troubles digestifs et cutanés ; atteintes du foie ; toxicité pulmonaire.

VALDOXAN (Servier)… Il s’agit d’un anti-dépresseur. Il peut provoquer des nausées et des vertiges. Des problèmes au foie ont aussi été identifiés.

VASTAREL … médicament vasculaire de l’angor, des acouphènes et troubles de la vue.

VIMPAT (UCB Pharma)… C’est un anti-épileptique. Il peut entrainer des céphalées, des nausées. Des risques de suicide sont signalés.

VOLIBRIS (GSK)… Ce médicament est utilisé dans le traitement de l’hypertension arterielle pulmonaire. Il a été notifié des oedèmes, des affections des voies respiratoires supérieures et des palpitations.

XARELTO (Bayer)… Il s’agit d’un médicament de prise en charge des troubles cardio-vasculaires. Il peut provoquer des risques de saignements, des complications hémorragiques, et des ulcères gastro-intestinaux.

XYREM (UCB Pharma) … C’est un traitement de la maladie du sommeil, dite narcolepsie. Les risques liés au produit font apparaître des dépressions respiratoires, des troubles neuro-psychiatrique, des idées suicidaires et des tentatives de suicide.

ZYPADHERA (Lilly) … Il s’agit d’un anti-psychotique délivré aux patients adultes schizophrènes. Dans certains cas, des effets secondaires du type agressivité, vertiges, hypertension, convulsion, et même quelques cas de coma ont été rapportés.

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Bibliographie :
  1. Dr. GIRARD Marc « Médicaments dangereux : à qui la faute ? » (Dangles)
  2. Prs. EVEN P. et DEBRE B. « Les leçons du Médiator, l’intégralité du rapport sur les médicaments » (Cherche midi)
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Interactions

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« Plus de trois médicaments sur une ordonnance … et l’on ne sait plus ce que l’on fait ! »

C’est en tout cas ce que l’on apprend en faculté de médecine !

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