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Ménopause et bouffées de chaleur 

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La ménopause est une aménorrhée spontanée chez une femme à partir de 45 ans, par épuisement folliculaire ovarien. Cette crise s’accompagne d’une insuffisance lutéale (chute progressive de la progestérone) et d’une hyper oestrogénie relative, ainsi que d’une augmentation de la FSH. Les cycles anovulatoires sont irréguliers (raccourcis ou allongés), pouvant s’accompagner de ménorragies (hémorragies hors des règles,qui sont l’occasion de pertes en fer).

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Le plus gros succès des laboratoires pharmaceutiques, c’est d’avoir fait croire à toutes les femmes que la ménopause était une maladie et qu’il fallait prendre des médicaments pour la soigner.

Dans les années 1960, les labos américains font la promotion des hormones synthétiques comme d’une véritable pilule de jeunesse éternelle. C’est un immense succès commercial… Jusqu’à ce qu’on découvre leurs graves effets sur le long terme :

  • Augmentation de 760 % du risque de cancer de l’endomètre (muqueuse utérine). [c]
  • Augmentation de 300 % du risque de cancer du sein[d]

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Qu’à cela ne tienne, les industriels proposent alors une association d’œstrogènes et de progestérone qui sera largement prescrite pendant une vingtaine d’années. Mais en 2002, un nouveau scandale éclate ! Une étude américaine la Women’s Health Initiative et une étude britannique la Million Women Study révèlent un véritable scandale sanitaire : les Traitements Hormonaux Substitutifs  (THS) augmenteraient le risque de cancer du sein et induirait la multiplication des accidents vasculaires !

Mais ce n’est pas tout, les études révélaient également que les THS augmenteraient de :

  • 113% les chances de contracter des maladies pulmonaires ;
  • 29% le risque de faire une crise cardiaque ;
  • 41 % la probabilité de faire un AVC.

De plus, le problème du « quand arrêter » ces hormones reste entier ! Si le traitement hormonal substitutif se justifie dans les rares cas de ménopauses précoces et dans les syndromes secs, il nous parait prudent de lui préférer une phytothérapie adaptée (intérêt du BNS) dans tous les autres cas. 

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Les règles cessent définitivement vers 50 ans. Chaque femme est donc un cas particulier, et il n’y a pas une ménopause, mais des ménopauses. A chaque femme, selon son mode de vie, son histoire et sa silhouette, correspondent donc des risques post-ménopausiques particuliers. Des risques différents :

  1. Les femmes maigres et minces sont plus à risque de développer pendant et après la ménopause une sécheresse de la peau et des muqueuses ainsi que de l’ostéoporose … vers CAUSTICUM.
  2. Les femmes plantureuses et arrondies seront, elles, davantage concernées par le risque de développer des maladies cardiovasculaires et des cancers hormonodépendants (sein, ovaire, utérus)… vers THUYA OCC.

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Après la ménopause, la sécheresse tissulaire augmente : la vitesse de vieillissement des femmes rattrape celle des hommes, de même que les risques de maladies dégénératives.

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La ménopause entraîne dans 75 % des cas des troubles variés à type de :

1/ mastodynie, œdème, prise de poids (hyper oestrogénie relative), séborrhée ou hyperpilosité (hyper androgénie relative). Puis la production d’œstrogènes va diminuer à son tour, et on peut observer une asthénie, une sécheresse cutanée et vaginale, des bouffées de chaleur.

2/ petits symptômes névrotiques (liés à la blessure narcissique) + un déséquilibre vago-sympathique (troubles vasomoteurs variés), selon la tendance diathésique prédominante de la patiente… La disparition de la séquence menstruelle fait irrésistiblement apparaître la notion de perte, de rétrocession de l’image du corps.

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Les dosages hormonaux de confirmation (FSH élevé et 17 Bêta œstradiol bas) connaissent de fortes fluctuations. Ils ne sont vraiment utiles que si l’on souhaite faire un relais avec une THS (femmes hystérectomisées ou sous contraceptifs oraux : absence de vraies règles). 

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La blessure narcissique est proportionnelle à l’investissement émotionnel autour de la féminité et de ses fonctions. C’est aussi la période difficile de dissolution du noyau familial (départ des enfants) et d’un relatif (?) désintérêt du conjoint, peut-être aussi celui des rivalités et des compétitions avec les générations montantes.

Le problème se complique depuis quelques années, vu le nombre croissant des femmes qui, pour « éviter l’ostéoporose », ou plus simplement les désagréments des bouffées de chaleur et du dessèchement de la peau et des muqueuses, optent pour une hormonothérapie au long cours … dont nous ne connaissons pas encore les effets à long terme et qui favorisera une progressive prise de poids, tout en ne protégeant pas vraiment le capital osseux (1/3 des femmes n’est pas sensible au THS).

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                                                                                                                Les 7 « mains de la ménopause » !

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La ménopause (phénomène d’adaptation) peut induire de nombreux troubles :

  • bouffées de chaleur, invalidantes, avec transpiration = 50%
  • troubles du sommeil, troubles de la mémoire récente
  • troubles de l’humeur, dépression ou irritabilité, douleurs musculaires, arthralgies = 55%
  • sécheresse de la peau, des cheveux et du vagin et perte de la libido = 35%
  • incontinence urinaire,
  • maux de tête, fatigue : une supplémentation vitaminique gommera la fatigue et réduira la sécheresse cutanéo-muqueuse : complexe des vit. B, C et E, Oligo-éléments Zinc, Chrome, Manganèse, Silicium et les AGPI …
  • prise de poids : les recommandations alimentaires sont importantes,
  • ostéoporose débutante : un exercice physique régulier, des aliment riches en calcium, magnésium, vitamines D et K permettront de conserver le capital osseux.
  • etc.

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Ménopause

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Durant la phase de transition, j’utilise assez systématiquement la rotation de quatre remèdes (en 7 CH, une prise quotidienne), choisis selon les symptômes dominants, dès les premiers signes prémonitoires, jusqu’au syndrome déficitaire avéré :

1- Lachesis … arrêt des écoulements -> hyperesthésies, alternance d’élans (verbaux) et de désespoir (MTC : plénitude + feu) les revanches à prendre : jalouse et dominatrice, troubles de mémoire ++ (rate). Aggravation vespérale (insomnie, cauchemars) et à la chaleur du lit

2 – Psore = Sulfur … sueurs nocturnes, paresthésies, céphalées, troubles veineux, dépression périodique, (MTC : stagnation) prurit vulvaire et troubles trophiques (question-clef = cherche-t-elle les places fraîches dans le lit ?).

ou Sepia (mg) … l’indifférence fixée, le relâchement des tissus de soutien (pesanteur ++ !)(MTC : sang + Qi) le « devoir conjugal » et son anorgasmie chronique (toujours les pieds froids).

3 – Thuya occ. … la rétention hydrique (« signe de la bague », aggravé par l’humidité), (MTC : eau non gérée) elle est triste et de mauvaise humeur, on observe l’intrusion des « idées fixes ».

ou Causticum (am) … inquiétude et raideur physique et psychique (maigre, < par le vent et le froid).(MTC : sécheresse sur feu interne) « pseudo-pédago persécuteur » en langage psychiatrique, agitée et révoltée puis déprimé et parétique, avec incontinence urinaire et aversion pour le coït.

4 – Ignatia amara (na) la « déception » d’une jeunesse perdue -> instabilité neurovégérative avec hypertonie des fibres lisses : la « boule dans la gorge », les soupirs (régleur dysneurotonique de tous les remèdes précédents).

ou, dans le cas d’une ménopause brutale liée à un traumatisme psychique (deuil, frayeur …) ou physique (chirurgical …), on pourra préférer à Ignatia d’autres remèdes de décompensation psychologique, comme : Gelsemium (mn), Opium (ba), Staphysagria (na) …

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La ménopause évolue en trois phases qui peuvent nécessiter des remèdes particuliers :

1er phase : le regain d’activité : « Une femme ménopausée se yangise » dit-on en MTC. Sans doute parce « Qu’au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable » (R. Gary) ? : activisme dans le domaine des affaires, de la politique, du syndicalisme ou du prosélytisme religieux.

  • Argentum nitricum … précipitation, avec phobies, vertiges et exigences multiples pour compenser un sentiment profond d’insécurité et une incapacité à choisir !
  • Fluoricum acidum … le goût tardif des « expériences sexuelles » multiples, activiste désespérément optimiste et irresponsable !
  • Iodum … excitée (jusqu’à devenir nymphomane) et boulimique, mais vite épuisée (demandez un dosage de TSH + T3 /T4)
  • Murex (mg) … un désir de dimension sociale, pour compenser un refoulement violent de l’élément génital.
  • Nux vomica (s) … l’effort de réussite se fait sur le plan matériel, stase portale, irritabilité et intoxication (éthyl, tabac, médicaments ?).
  • Phosphorus … l’effort d’idéalisation de l’autre (qui lui est nécessaire) absorbe beaucoup d’énergie.
  • Pulsatilla (si) … irritabilité et caprices, le chantage affectif (et l’égoïsme sous-jacent !).
  • mais aussi selon le cas Platina, Moschus (cu)…

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2 ème phase : le repli dépressif : Sensation de vie ratée, d’inutilité. Asthénie physique, ralentissement psychomoteur et troubles somatiques divers.

  • Conium (au) la « vieille fille » : frustration sexuelle, vertiges et défaillances de toutes sortes, antécédents de mastose (ou de cancer du sein … « on ne veut plus de moi comme mère ?! »)
  • Helonias (mg) le moral est bas : mélancolie profonde, hyperménorrhée avec ptose utérine marquée et épuisement.
  • Natrum muriaticum l’incommunicabilité de la spasmophile inquiète et renfermée : se sent perpétuellement incomprise et frustrée !!! et tous les Natrum (eau) : Natrum carb. (thermomètre), Natrum sulf. (baromètre) … ou Kalium (sang) : Kalium carb. …
  • On peut même observer à ce stade, la capitulation tissulaire et morale des acides : Benzoïcum acid. (la goutte), Phosphoricum acid., (le désintérêt total) ou Nitricum acid. (la fissure anale),…

Les nosodes auront un bon effet dès que la situation se chronicise (patiente en vide) :

  • Psorinum frileuse, allergique et désespérée de son cas
  • Colibacillinum sur antécédent de cystite récidivante et colopathie… libère le rein qui remplira le cœur (joie).

Avec désintérêt sexuel (partenaire ?) :

  • Baryta carb.hypo-endocrinie d’involution avec prise de poids, ralentissement psychique et perte de mémoire
  • Calcarea carb. … le peu d’intérêt pour la chose sexuelle se confirme, apathie, obésité et frilosité : préfère la bouffe ?
  • Graphites (ch) …triste, grasse et frileuse, si les migraines vont mieux, la dermatose s’aggrave !
  • Opium (ba) … traitement prolongé aux anxiolytiques et/ou barbituriques (neuroleptiques même parfois)
  • Causticum (am) … agitée et raide pour dissimuler sa perte de pouvoir et sa peur de vieillir

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3 ème phase : de l’irritabilité aux réactions agressives, une manière de se défendre et de surcompenser. Parfois recherche d’un bouc émissaire poursuivi avec un acharnement extraordinaire !

  • Actaea racemosa (s) … cyclothymique, loquace et confuse, elle présente une nette hypertonie des muscles rachidiens (palpez les apophyses latérales des cervicales et dorsales)
  • Aurum / Platina … coléreuse, dominante et inquiète, seule la présence de jeunes enfants la détend un peu.
  • Hyosciamus (ca) … sera à réserver à différents délires, de perversion, d’exhibitionniste ou de mégalomanie.
  • Lilium tigrinum (mg) … débordée, refoulée et paradoxale. Mélancolie religieuse : les « grenouilles de bénitier ».
  • Nepenthes (ag) … femme ménopausée, dépressive, fatigable et capricieuse, tr. digestifs et hypersomnie. Frigidité ++, douleur de l’ovaire gauche, règles en avance, abondantes, coxarthrose gauche, aggravée la nuit, améliorée à l’air frais (la marche au grand air).
  • Staphysagria (na) … refoulement et vexations : « pour ne pas avoir l’air … »
  • Pensez aussi à : Adamas (au), Alumina, Crocus sativus (na) rires et larmes alternés, Kreosotum (ac) …

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A ces remèdes, les plus souvent rencontrés, il y aura lieu d’adjoindre, en cas de bouffées de chaleur importantes :

SUEURS :

  • Glonoïum (s) = Nitro-glycérine (Trinitine) battements dans tout le corps (sorte de Belladonna aggravée), congestion céphalique, avec vertiges et troubles sensoriels, aggravée par la chaleur du soleil (Yang).
  • aussi : Amyl-nitrosum (s) idem mais angoisse pendant la bouffée et sensation de froid après
  • Belladonna (ca) … malaises violents et subits, soif et sueurs profuses
  • Lilium tigrinum (mg) … sueurs froides, tendance hystériforme
  • Manganum aceticum … sueurs chaudes, avec dyspnée
  • Rauwolfia (au) avec sueurs froides, sur terrain d’HTA

SANS SUEURS :

  • Aconit nap. (s) … palpitations et céphalée violente, avec angoisses
  • Melilotus (s) … bouffées + céphalées congestives, améliorées par un épistaxis.
  • Sanguinaria (ph) … bouffées localisées à la face, joues rouges, douleurs battantes de la tête, sensation brûlante des paumes des mains et des pieds (vide de Yin du Poumon).
  • Veratrum viride … b. de chaleur avec pouls lent et tendance syncopale
  • Les troubles vasomoteurs des membres (paresthésies localisées) peuvent nécessiter en outre : Gnaphallium (s)

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Anthroposophie formule des bouffées de chaleur : Bryophyllum D3 + Ignatia amara D4 + Lachesis D 12 aa gouttes (lab. Weleda).

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Dans la banque de données des BNS, nous trouvons au symptôme « bouffées de chaleur » des plantes souvent proposées : Rosa canina (s) / Lilium tigr. / Valeriana (na) / Passiflora (na) / Fumaria (k) / Ulmus camp. (s) / Fragaria vesca (s) / Salvia off. (si) …

Si vous souhaitez réaliser un BNS12 ou 24, cliquez sur ce lien : www.mybiobox.com

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La sécheresse intime est une « problématique courante » qui touche « un grand nombre de femmes », que ce soit avant ou pendant la ménopause.

En premier lieu, elle conseille les huiles végétales d’onagre, de bourrache et d’argousier, riches en acides gras essentiels, qui sont bénéfiques pour maintenir l’hydratation et l’élasticité de la peau et des muqueuses, y compris la muqueuse vaginale : « Ces huiles peuvent aider à nourrir les tissus vaginaux, réduire les sensations de sécheresse et d’irritation, et améliorer le confort général. » Elles sont à utiliser :

  • Matin et soir en en application locale, pour le confort quotidien. (Céline Hovette précisant toutefois que, sur de longues périodes « il vaut quand même mieux opter pour des hydratants vaginaux»)
  • Juste avant ou après un rapport sexuel (sauf en cas d’usage du préservatif, qu’il peut endommager et avec lequel il n’est pas compatible.

L’huile de coco est également utile. Grâce à ses propriétés hydratantes et apaisantes, elle peut aider à renforcer la barrière cutanée et favoriser la rétention d’humidité dans les tissus vaginaux. Ses propriétés antimicrobiennes et antifongiques peuvent également contribuer à prévenir les mycoses « très fréquentes durant la ménopause », précise Céline Hovette.

Enfin, le gel d’aloe vera peut aider à réduire les irritations, les démangeaisons et les inflammations associées à la sécheresse vaginale. Il peut également favoriser la régénération des tissus et soutenir la santé globale de la muqueuse vaginale.

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Complexes homéopathiques :

— Dr. Reckeweg® R 10 Klimakteran … utilisé en cas de troubles dus à la ménopause : comme les bouffées de chaleur, les sueurs …

(Acidum sulfuricum D4, Actea racemosa D4, Lachesis mutus D12, Sanguinaria canadensis D4, Sepia officinalis D6)

— avec, si nécessaire R20 et R89, dix gouttes de chaque par jour

— Action sédative générale = R 14 Quieta (Avena, Chamomilla, Ignatia …)

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Lab. Heel : KLIMAKT-Heel (en Suisse : SEPIA-Compositum) (Sanguinaria D3/Sepia D4/Sulfur D4/Ignatia D4/Lachesis D12/Cedron D4/Stannum D12 …)

Auquel on peut ajouter si nécessaire : OVARIUM compositum / PLACENTA compositum / UBICHINON comp.

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Micronutrition :

Hormonium est un complément alimentaire qui contribue :
_ à réguler l’activité hormonale et à réduire les effets indésirables des transformations hormonales,
_ à réduire la fatigue et à lutter contre le stress oxydatif.

Il contient :

  • Beta-carotène, vitamine A (70.0000 mg/stick)
  • Vitamine B1 – Thiamine HCl – 1,1mg/stick = 100%AJR 1.2330 mg/stick
  • Vitamine B2 – Riboflavine – 1,4mg/stick = 100%AJR 1.4000 mg/stick
  • Vitamine B3 – Nicotinamide – 16mg/stick = 100%AJR 16.0000 mg/stick
  • Vitamine B5 – Panthothénate de calcium – 6mg/stick = 100%AJR 6.5200 mg/stick
  • Vitamine B6 – Pyridoxine HCl – 1,4mg/stick = 100%AJR 1.7017 mg/stick
  • Vitamine B8 – Biotine – 50µg/stick = 100%AJR 5.0000 mg/stick
  • Vitamine B9 – Acide folique – 0,2mg/stick = 100%AJR 0.2000 mg/stick
  • Vitamine B12 – Cyanocobalamine – 2,5µg/stick = 100%AJR 2.5000 mg/stick
  • Vitamine E naturelle – 12mg/stick = 100%AJR 25.5319 mg/stick
  • Vitamine D3 – cholécalciférol (100.000 UI/g), 2,5µg/stick = 50%AJR 1.0000 mg/stick
  • Vitamine C – acide ascobique – 120mg/stick = 150%AJR 120.0000 mg/stick
  • Vitamine K2 2000 ppm – 75µg/stick = 100%AJR 37.5000 mg/stick
  • Isoflavones de soja 40% isofl – 24mg isoflavone/stick 60.0000 mg/stick
  • Tréfle rouge (parties aériennes) 8% isofl. – 4,8mg isoflavone/stick 60.0000 mg/stick
  • Curcuma longa 75.0000 mg/stick
  • Glutathion réduit 20.0000 mg/stick
  • L-Glycine, 200.0000 mg/stick
  • NAC -N-acétyl-cystéine, 100.0000 mg/stick
  • Choline citrate 35% Choline = 80mg choline/stick 228.5725 mg/stick
  • L-Thréonine 35.0000 mg/stick
  • L-Lysine HCl – 80% Lysine 35.0000 mg/stick
  • L-Cystéine, soufre 5.0000 mg/stick
  • Zinc bisglycinate 22% – 6mg/Stick = 60%AJR 27.2730 mg/stick
  • Bisglycinate de magnésium & oxyde de magnésium 20% Mg, 20mg Mg/stick = 5% AJR 100.0000 mg/stick
  • Bisglycinate de calcium & Carbonate de calcium 20% Ca, 40mg Ca/stick = 5% AJR 200.0000 mg/stick
  • Levure enrichie en Sélénium organique (2000µg/g), 55µg Se/stick = 100AJR 27.5000 mg/stick
  • Picolinate de chrome 12.4% Cr – 40µg Cr/stick = 100AJR 0.3226 mg/stick
  • Molybdate de sodium 0,2% Molybdène = 50µg Mo/stick = 100%AJR 25.0000 mg/stick
  • Fucus thalle 0,2%, Iode = 80µg I/ stick = 53%AJR

Consommation recommandée : 1 stick par jour. Boite de 30 sticks pour 1 mois d’utilisation

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OMEGA-6 SYNERGIUM … est riche en acides gras poly-insaturés. Il contribue à :

  • l’équilibre normal de la peau et des cheveux : limite la sécheresse (Vit. B3, Zinc)
  • la protection des cellules du stress oxydatif (Vit. E, Zinc)
  • jouer un rôle dans la division cellulaire (Vit. B9)
  • garder un métabolisme énergétique normal (Vit. B3, B6).

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SYNERGIUM Q10 … est à base d’Aubépine, d’acide Alpha-lipoïque et de Coenzyme Q10. Il contribue :
  • à une fonction cardiaque normale (Vit. B2)
  • à un métabolisme énergétique normal (Vit. B1, B3, B6 et Magnésium)
  • au fonctionnement normal du système nerveux (Vit. B1, B2, B3, B6 et Magnésium)
  • à protéger les cellules contre le stress oxydatif (Vit. E, B2 et Zinc).

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DETOXIUM-Plus … est un complément alimentaire à base d’Orthosiphon, de Desmodium et de Carduus marianus. Il contribue :

  • à un métabolisme énergétique normal (Vit B1, B2, B3, B5, B6, B8)
  • au bon fonctionnement hépatique (Orthosiphon, Desmodium)
  • à la synthèse normale des acides aminés (Vit B9).

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