Fatigue – Asthénie
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Définitions :
La fatigue est un phénomène physiologique (baisse des performances induite par l’effort avec sensation désagréable) réversible après le repos.
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L’asthénie, c’est autre chose : c’est une sensation de fatigue qui n’est pas déclenchée par un effort et qui persiste malgré le repos. L’asthénie est un phénomène chronique qui peut être d’origine somatique, psychologique réactionnelle ou endogène, avec souvent une intrication de ces différents facteurs.
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Le terme de psychasthénie doit être réservé à des troubles de la personnalité associant à une asthénie chronique un sentiment d’incomplétude et des préoccupations hypocondriaques. Le malade se « traîne », mais cherche quelqu’un pour écouter ses plaintes (NB. différent du dépressif), il a le sentiment de n’exister pour rien ni personne (ex.: Natrum mur., Lycopodium). Il peut évoluer vers une dépression ou une conviction délirante. Le matin, le patient qui se réveille fatigué : il a « marché sur ses dents » (bruxisme)!
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Le syndrome de fatigue chronique (SFC) correspond à un état inflammatoire chronique de bas grade, entretenu par une dysbiose (clostridium – trop de protéines ou candidose – trop de sucres), des intolérances alimentaires avec diminution des voies métaboliques de la synthèse des acides gras, ou secondaire la présence d’un foyer perturbateur (épine irritative dentaire ou génito-urinaire) qui déconditionne les réponses hormonale et immunitaire : BNS + BNT + IMUPRO souvent.
Ce symptôme peut apparaitre après une virose et évoluer vers une fibromyalgie. Les remèdes clefs en sont le magnésium, les Oméga 3, le Coenzyme Q10, l’acide Alpha-Lipoïque …
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Statistiques :
L’asthénie est un symptôme qui est évoqué lors des 2/3 des consultations médicales. Selon une étude statistique récente (sondage IPSOS janvier 2000), ce mal touche près de la moitié des européens qui déclarent avoir éprouvé au cours de l’année passée une fatigue persistante d’une ou plusieurs semaines et un tiers a ressenti une telle asthénie plusieurs fois au cours de l’année écoulée. Ce phénomène touche plus les femmes que les hommes et d’avantage les adultes jeunes et actifs que les seniors.
Les jours où la fatigue est le plus nettement ressentie sont le vendredi (29%) puis le lundi (18%). Peu citent un autre jour de la semaine (5 à 6%) ou du week-end. Le lundi, la fatigue se traduit principalement par une humeur maussade et un manque ou une baisse de motivation (23%). Alors que le vendredi sont évoqués en priorité les défauts de l’attention et de la mémoire (35%) et les courbatures (35%).
Le degré de fatigue tout au long de la semaine semble étroitement lié à la charge de travail. Ainsi, les actifs salariés (toutes catégories confondues) vont d’avantage citer le vendredi comme jour de fatigue maximale (40%). Sur le plan nerveux, on note : un sommeil perturbé (ou non réparateur) dans 23% des cas, une humeur maussade (18%), un manque de dynamisme (16%) et de motivation (15%), une mémoire et une attention défaillante (8% des cas ).
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Les manifestations de l’asthénie varient aussi selon l’âge des personnes interrogées :
Cette asthénie a généré un arrêt de travail pour le quart des personnes concernées, soit 12% de la population totale.
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Les causes de cet état anormal de fatigue sont avant tout attribuées à :
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Si l’on considère la population des « actifs », le surmenage physique et intellectuel domine, sous-tendu par les soucis professionnels. Chez les « inactifs », ce sont les problèmes privés qui sont au premier plan.
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L’asthénie est traitée par des médicaments :
Remèdes le plus souvent prescrits par leur médecin, l’automédication étant plus forte chez les jeunes, dans les grandes villes et dans les classes sociales aisées.
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Rappel physiologique : l’asthénie est donc un symptôme plurifactoriel, conjonction de facteurs organiques, psychologiques et environnementaux. Une meilleure gestion de son capital santé est souvent essentielle, même si elle n’est pas toujours suffisante :
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Car il suffit de peu de choses pour détraquer l’étonnante machine humaine, composée normalement de : 60% d’eau, de 20% de graisses (assez pour fabriquer 7 ou 8 savons), de 20% de « masse maigre », c’est-à-dire de charbon (une dizaine de Kg.), de phosphore (assez pour fabriquer un millier d’allumettes), de Fer et de Soufre … Organisés en :
Pour constituer et maintenir sa structure, comme pour fournir de l’énergie à ses fonctions, durant son existence, un individu moyen consomme 50 tonnes de nourriture et boit 50 000 litres d’eau !
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Situations cliniques rencontrées :
L’asthénie physique, de survenue ou d’aggravation récente, peut s’accompagner de symptômes somatiques précis évoquant une maladie sous-jacente qu’il est important de diagnostiquer. En voici quelques causes souvent rencontrées :
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L’asthénie intellectuelle, correspond au cas où le sujet se sent incapable d’efforts d’attention, de prise de décision, de mémoire, et même d’activité relationnelle. Cette asthénie est douloureuse, elle survient dès le matin, elle n’est pas améliorée par le sommeil, mais il peut y avoir des améliorations paradoxales dans l’après-midi ou la soirée, ex.: Helonias (mg)…
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La Matière médicale homéopathique rassemble la description de situations de blocage du sang et de l’énergie, elle est donc pleine de remèdes où le symptôme « asthénie » est très marqué. Nous pouvons ainsi noter que :
— les sels de Phosphore et de Magnésium sont des remèdes à la polarité nerveuse nette (fatigabilité ++),
— les sels de Potassium (le sang) et de Sodium (l’eau) vont associer irritabilité et asthénie,
— les Acides, comme les Ammonium, correspondent à des situations pré-lésionnelles où la fatigue est constante (parfois masquée par l’agitation ou la douleur).
— les remèdes qui comportent le radical Carb. (CO -), exemples : Calc. carb., Kalium carb., … sont asthéniques car hypoxiques.
— Il en est de même pour les Silicea (ex.: Pulsatilla), les Carbones (ex.: Graphites) et les Calcarea, remèdes dont les troubles chroniques de structure n’autorise pas une bonne gestion de l’énergie.
— les métaux lourds (ex.: Mercurius, Plumbum) et les remèdes toxiques (ex.: Arsenicum, Lachesis) auront également un syndrome asthénique marqué, du fait des troubles chroniques de la circulation du sang, des troubles métaboliques ou de l’épuisement du système nerveux.
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Cas clinique fréquent et typique d’un problème multifactoriel : Madame G… souffre d’asthénie et de lombalgies chroniques … les douleurs sont situées entre le rebord costal et le pli fessier, pouvant s’étendre à la cuisse. Elles sont tendino-musculaires et ne doivent pas être prises pour des signes de souffrance disco-radiculaire (ce que l’on faisait volontiers autrefois, entraînant des errances diagnostiques et thérapeutiques, comme des infiltrations épidurales ou/et le port d’un lombostat rigide). Ces symptômes (asthénie et mal au dos) apparaissent comme la résultante de trois facteurs :
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Faire le tour du problème :
Selon notre bonne habitude, nous allons faire le bilan des dysfonctions du patient asthénique en nous appuyant sur la fiche clinique des symptômes classés selon les cinq « grandes fonctions » du corps et sur le résultat de quelques paramètres biologiques.
En MTC, on apprend que la fatigue (liée au vide de Qi) s’aggrave :
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Le « pôle métabolique » (Foie et Vésicule biliaire)
C’est la « centrale métabolique de l’individu » (environ 900 fonctions connues), dans laquelle on peut distinguer deux grands secteurs :
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Ce pôle organique va se manifester par :
Causes :
Cas clinique : Asthénie chez une patiente en chimiothérapie pour cancer du sein. Après quatre cycles de chimiothérapie, 40% des patients ont un taux d’hémoglobine inférieur à 11%, ce qui explique la difficulté au moindre effort physique. L’administration de remèdes anti-anémiques, la transfusion sanguine éventuellement, corrigera cette anémie, cause majeure de fatigue.
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Aspect sur le BNS : Les « Alpha 1 globulines » basses doit faire contrôler une anémie (vide de sang), associée ou non à une insuffisance hépatique. Les « Bêta précipitines» (// test « Manganum ») s’élèvent en cas d’hyperlipémie (réaction inflammatoire lipidique, prélude à une artériopathie ?).
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Remèdes asthéniques de ce pôle :
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Le « pôle vasculaire » (Cœur et Vaisseaux + intestin grêle)
La gestion de la « chaleur » (maladies fébriles ?) … les phénomènes inflammatoires vont en dépendre. Le cœur « mobilise le sang ». On observera de grandes asthénies dans les cas d’hypoxie tissulaire périphérique dont le mécanisme pourra être une hypo ou hypertension artérielle, des troubles du rythme, l’insuffisance cardiaque …
Le cœur gère « Shen », terme que l’on pourrait traduire par « Vertu » si le mot n’était pas si galvaudé. Hors, la MTC nous apprend que « Shen se nourrit de l’expérience vécue » : les gens qui refuse les expériences ou qui sont incapables d’en tirer les leçons ont un Shen vide … Sans idéal, ils ne peuvent remplir leur cœur que d’angoisses et de préjugés. La rigidité psychique (les « principes », différent d’un idéal vrai) comble leur incapacité à donner un sens à leur vie. Evaluez la capacité de votre patient à verbaliser ses difficultés, à partager sa souffrance avec la communauté ?
Endocrine en relation avec le Cœur, la thyroïde : l’hypothyroïde a comme symptôme cardinal, la fatigue … essayez :
IODIUM … est un complément alimentaire qui contribue :
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Aspects sur le BNS : le test « Iodum » s’abaisse en cas d’hypothyroïdie (même frustre). Les « Alpha 2 précipitines » élevées signalent un phénomène de « chaleur » (inflammatoire) qui va s’exprimer dans le domaine cutanéo-muqueux (ex.: poussée d’acné). Si ce trouble s’associe à une hypo « Alpha 1 précipitines », la cause en est un vide de sang (donc deux causes d’asthénie).
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Remèdes asthéniques de ce pôle :
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Le symptôme de la souffrance névrotique est l’angoisse, rappel d’une situation de danger antérieur qu’une pulsion actuelle réactive. L’angoisse est un danger fantasmé, héritier d’une série de situations difficiles (angoisse de séparation et/ou de castration), dont le rôle est d’entretenir le refoulement. Dans l’hypocondrie névrotique, la plainte, centrée sur l’organe, est exprimée sur le mode répétitif, monotone et insistant, mais le patient reconnaît sa souffrance comme « nerveuse ». C’est généralement le tube digestif qui est incriminé (sorte de régression sur le mode « oral » ou « anal »). Il consomme beaucoup de médicaments (laxatifs, sédatifs) et cette tension nerveuse l’épuise !
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Cas clinique 1 : Asthénie récente chez une femme de 78 ans, sans altération de l’état général, ni dyspnée ni douleurs. Elle ne prend aucun médicament, mais l’examen clinique met en évidence une bradycardie sinusale à 50/minute. Le médecin pratique un ECG qui montre un bloc auriculo-ventriculaire de second degré.
Cas clinique 2 : Asthénie persistante chez un homme de 68 ans, opéré il y a douze ans d’une laryngectomie totale avec irradiation cervicale pour cancer laryngé. Le tableau clinique comprend aussi : frilosité, constipation, tendance à la prise de poids et bradycardie. Le diagnostic est une hypothyroïdie post-radique, à confirmer par la biologie (TSH augmentée) et à corriger par une hormonothérapie substitutive.
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Le « pôle de l’adaptation » (Rate-pancréas-estomac)
La rate est le plus gros ganglion du système lymphoïde. La lymphe est un « sang blanc » qui récupère les déchets métaboliques au sein des tissus, elle les filtre (rôle des ganglions lymphoïdes) et les concentre pour les déverser dans la veine cave supérieure.
La lymphe a une autre fonction importante : c’est elle qui véhicule les anticorps (système de mémorisation immunitaire et de défense). Maladie ou vaccination récente ? : l’apport d’antigènes va demander un effort adaptatif important à la rate : on peut observer une poussée d’herpès, une sortie de verrues, une insidieuse prise de poids …
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Aspects sur le BNS : En biologie, les « Gammaglobulines » s’élèvent dans un contexte de virose ou d’infection chronique : Grippe, MNI … Si les Gamma et les bêta précipitines s’élèvent conjointement, on parle de « hyalinose » = vieillissement du tissu conjonctif (vers la MAI ?).
Le pancréas « gère les chairs », c’est à dire qu’une obésité ou une maigreur sont sous dépendance directe de sa fonction (via le système insuline – glucagon) : adiposité et cellulite sont la plupart du temps révélateurs d’une insulino-résistance, il faudra proposer au patient une réduction importante des aliments riches en sucre (alcool, sucreries et farineux).
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Remèdes asthéniques de ce pôle :
Rhus toxicodendron (hg) … Si une personne se sent très agitée, avec des raideurs et des douleurs qui trouvent un soulagement dans la chaleur et le mouvement, ce remède doit être envisagé. Les problèmes sont aggravés par temps froid et humide. La raideur et la douleur sont pires au réveil le matin et après des périodes de repos.
Mais le « pôle rate-pancréas », c’est aussi la mémoire et la « réponse logique » : dans la névrose obsessionnelle, les idées obsédantes, les compulsions et les rites épuisent le patient (parfois plus de 15 heures par jour !). Le sujet s’isole dans une recherche de l’ordre, à la fois obstinée et stérile (Thuya occ.). Cette forme de névrose conduit à des poussées phobiques ou à la dépression avec tentative de suicide.
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Le « pôle cutanéo-muqueux » (poumon, colon et peau)
Le Poumon gère l’énergie (Qi), il commande les souffles. Son maître symptôme sera donc la fatigue (qui s’aggrave à l’exercice physique). Le vide d’énergie favorisera la stagnation du sang dans les vaisseaux, d’où varices, avec risque de phlébites et d’ulcère variqueux. « Quand le cœur régit les esprits, le poumon régit les âmes » : son sentiment est la tristesse, qui peut aller jusqu’à la mélancolie, l’indifférenciation … la psychose ? Sa faiblesse entraîne un mauvais contrôle des émotions du foie, d’où des symptômes de spasmophilie, de tétanie et même d’hystérie (dans sa forme somatisée).
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Aspect sur le BNS : En biologie, le paramètre « Alpha 2 » bas signe les fatigues de surmenage. NB. Si vous souhaitez réaliser un BNS12 ou 24, cliquez sur ce lien : www.mybiobox.com
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Remèdes asthéniques de ce pôle :
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Cas clinique : Monsieur V… est un naturopathe suisse de 67 ans qui, depuis quelques semaines, il ressent une asthénie franche dès le matin et depuis peu quelques vertiges et précordialgies. Il n’a pas d’autres antécédents qu’une hyperlipémie, compensée par un régime sans sucres, quelques huiles oméga 3 et antioxydants. Le bilan cardio-vasculaire est négatif … C’est madame qui fournit la clef du problème : il ronfle de plus en plus la nuit et fait à son insu des « apnées du sommeil ». La location d’un appareil d’assistance respiratoire en pression positive qu’il porte la nuit, fait céder l’hypoxie dès le lendemain et disparaître l’ensemble des troubles dont il se plaignait.
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Le « pôle conjonctif » (Rein, vessie, surrénales, cartilages et os)
Le rein va gérer l’eau du corps et l’équilibre de sa minéralisation. Il aura donc un effet déterminant dans tout ce qui dépend du tissu conjonctif, et en particulier les os et les articulations. Il est épaulé dans ce rôle par son endocrine = les surrénales (adrénaline et corticostéroïdes).
Ses maître-symptômes seront donc la sécheresse ou les œdèmes.
Colique néphrétique = vide d’eau du rein (les calculs précipitent = pathologie typique de la phase 4 de H.H. Reckeweg). Ce « vide d’eau » favorisera la stagnation dans les voies urinaires, d’où cystites.
Les troubles de l’eau du rein au niveau de l’oreille interne vont générer vertiges (vrais = rotatoires) et bourdonnements d’oreilles (bilatéraux).
Sur un plan psychologique, le patient oscille entre une hyper-activité paranoïde (souvent il occupe un poste de responsabilité) et des phases dépressives. Les déprimés mettent souvent au premier plan l’asthénie, accompagnée de plaintes diverses :
La dépression réactionnelle (suite d’un événement récent = le désarroi)
Le ralentissement psychomoteur se traduit par la perte de l’élan vital, de l’intérêt pour soi et pour les autres. L’évolution est souvent longue, car une fois la dépression dépassée grâce au traitement médical et au soutien psychologique, un cortège de symptômes névrotiques peut persister. L’interrogatoire recherchera les précédents épisodes dépressifs. Le risque suicidaire existe (à 75 ans = 3 fois le risque du sujet de 20 ans !)
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Aspect des BNS : Le paramètre « Albumines » haut signe une volonté exacerbée, bas il signale un renoncement. Le paramètre « Bêta » bas signale une tendance dépressive (compartiment foie vide car le rein n’a pas nourrit), d’autant plus nette que les tests « Carbo2 » ou « Aurum » sont effondrés.
Remèdes asthéniques de ce pôle :
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Notez que la dépression peut être associée a un autre trouble psychologique : alcoolisme (ex.: Lachesis), hystérie (ex.: Lilium tigr. (mg), Tarentula hispanica (ge), inhibition des névroses (ex.: Gelsemium (mn) … ou associée à une maladie somatique (connue ou ignorée) : Parkinson (Plumbum), à une iatrogénie médicamenteuse (Opium), à un cancer (ex.: Conium, Carbo animalis …).
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Remèdes complexistes (du laboratoire Heel) à utiliser dans les situations de fatigue : Toujours = COENZYME Compositum
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Fatigue sur problème de sang … Foie
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Fatigue mentale …
Dépression nerveuse (DNV)…
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Fatigue sur troubles cardio-vasculaires …
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Fatigue sur engorgement lymphoïde …
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Fatigue des troubles alimentaires / digestifs …
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Fatigue des insuffisances hormonales …
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Micro-nutrition de l’impuissance, asthénie sexuelle (quand on a éliminé les autres causes) :
MACALIUM … est à base de Tribulus terrestris, de Ginseng, d’Eleutherocoque, de Maca, de Ginseng, de Pépins de raisin, de Lycopène, d’acides aminés (Arginine, Ornithine, Citrulline) et de L-Carnitine. Il contribue :
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Fatigue sur douleurs chroniques (ex. : polyarthrite)
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Fatigue sur intoxication grave (chimio ou/et radiothérapie) …
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On peut aussi penser à la sérothérapie (gélules du lab. IMMOV) qui complète bien l’action des remèdes homéopathiques et de leurs complexes, sérums à choisir selon l’histoire du patient et l’aspect du bilan biologique (BNS).
Le bilan des neurotransmetteurs (BNT) est essentiel quand le BNS est normal, il mettra en évidence des carences spécifiques ou un emballement pathologiques !
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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