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Prendre toujours en compte :
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Faire raconter l’histoire de l’enfant, puis recentrer les troubles décris sur l’actualité présente. NB. « Il y a un rôle ou l’on est toujours mauvais, celui de parents ! » S. Freud
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Evaluez les réactions d’opposition au milieu familial et scolaire :
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Eventuellement, débloquez les « non-dits » par l’association : Arnica + Staphysagria + Natrum mur. (cf. le CHU « Staphysagria comp. »).
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Les coléreux : L’enfant cherche à prendre le pouvoir sur l’autre ou manifeste un refus à la pression de l’autre.
Si c’est un adolescent en colère : un élément de la réalité lui échappe (problème de connaissance incomplète ou d’action impossible ?) … désadaptation qui dure ! (Kent cite 18 remèdes au 3ème degré et 37 au 2ème !).
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Les bagarreurs : Enfants qui recherchent leurs limites (corps et règles sociales) ou adolescents qui cachent un désir profond de reconnaissance, alors toute tentative violente est souvent un appel désespéré.
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Les anxieux permanents : signal de désadaptation (à différencier de l’angoisse, dont la cause n’est pas déterminée : perte des repères liée à l’inconscient).
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Les tristes : ils subissent le scénario des parents (vérifier si la mère a fait une dépression à leur naissance ?) : Calcarea carbonica / Causticum / Kalium carb. / Lachesis / Sepia …
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Les égoïstes : Phosphorus (taquin), Pulsatilla (envieuse et avide), Sulfur (ne songe qu’à ses désirs : « bon et beaucoup » ?)
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L’absence de confiance en lui : observez comment l’enfant joue.
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Les paresseux (cherchez la cause de la démotivation ou les signes d’une passivité générale) : les obliger à réagir, surtout ne pas les prendre en charge.
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Les agités, anxieux par adaptation difficile lors d’une séparation maternelle ou d’un contact avec autrui :
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L’agitation de l’enfant d’âge préscolaire et scolaire (la contrainte scolaire et sociale pèse trop sur l’enfant ?). Ces jeunes patients s’expriment le plus souvent dans un refus scolaire (troubles émotionnels des enfants passifs, surprotégés, dépendants, qui témoigne d’un comportement anxieux ou dépressif) ou l’école buissonnière (enfants souvent issus de familles nombreuses où la discipline est inexistante, conduites qui peuvent évoluer vers la réalisation d’actes antisociaux).
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Les « mécontents de tout » et les boudeurs : tristes, ils n’acceptent pas le monde, car ils ne gèrent pas leur adaptation. Dans tous les cas, recadrer le problème en leur rappelant que le vrai bonheur, c’est avant tout celui que l’on procure :
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Les fugueurs : n’acceptent pas la loi proposée. Ne jamais courir après un fugueur, sinon il recommencera !
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Les « timides » : « La timidité cache toujours la démesure d’une attente«
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Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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