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Eté 2021 : le pr. Christian PERRONE publie un second ouvrage : « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! » (Albin Michel) dans lequel il fait le point des erreurs stratégiques et mensonges du gouvernement Macron.

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Dans le même temps, Eric VERHAEGHE, porte parole des « libertariens », publie « Le great RESET : mythes et réalités » qui théorise le pourquoi des choix paranoïdes effectués par les gouvernements au niveau mondial lors de cette pandémie …

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Toujours est-il que Manuel MACRON, le lundi 12 juillet, s’est exprimé pour évoquer la situation sanitaire et un durcissement des mesures de contrôle. Ne pouvant imposer la vaccination de ces « vaccins » (en cours d’expérimentation – aux effets vasculaires rares mais redoutables !) aux français, il a choisi – à travers la mise en place d ‘un « PASS sanitaire » de réduire drastiquement la vie sociale des français réfractaire à la vaccination, quitte à les exclure de leur travail !

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Le parlement à majorité LREM – aux ordres – a entériné ces décisions prises sans aucune concertation. Le « conseil scientifique » agite encore la peur avec le spectre de la « 4ème vague ». On a même vu les journaux – aux ordre – titrer « 300% d’augmentation des hospitalisation » en Lanquedoc-Roussillon … en fait, c’est vrai, car si l’on vérifie cette information, on observe en effet que de 1 patient, on est passé à 4 hospitalisés !

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En face de cette paranoïa totalitaire, immédiatement, plusieurs pétitions ont été lancées sur les réseaux sociaux … Alors que plusieurs millions de français septiques, mais apeurés, se alors sont rués vers les centres de vaccination, un temps désertés … d’autres ont commencé à réfléchir et à mener des actions contre ces décisions liberticides

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Il semble que sommes partis pour un nouvel épisode de type « gilets jaunes » où les opposants au système actuel se retrouvent à manifester chaque samedi après-midi : 110 000 la première fois, 160 000 le samedi suivant … Ici à Clermont-Ferrand :

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https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/je-vous-donne-ma-dose-m-macron

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Les slogans sont parfois percutants de justesse :

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On peut même réfléchir aux causes profondes du problème :

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Une excellente TRIBUNE de France-Soir ce 5 aout 2021 résume bien la situation :

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Le « Récit Officiel » concernant l’infection à SARS-CoV-2 dit qu’elle provoque une maladie très mortelle pour tout le monde, qu’elle n’est pas traitable précocément mais seulement à l’hôpital, après avoir attendu le stade des complications, et que seule une vaccination peut la prévenir.

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La « Réalité Observée » depuis le début 2020 est à l’exact opposé :
– cette maladie n’a pas du tout modifié la mortalité globale des moins de 65 ans, malgré les efforts pour refuser les soins aux autres pathologies et pour augmenter les suicides au moyen d’une innovation de l’année, les confinements prolongés ;
– elle a peu augmenté la mortalité globale des plus de 65 ans malgré les efforts pour refuser le traitement précoce de l’infection et sa prophylaxie dans les EHPAD, refuser l’hospitalisation des plus âgés et encourager leur euthanasie, refuser les soins aux autres pathologies et favoriser le « syndrome de glissement » au moyen des confinements prolongés ; 
– il existe plusieurs traitements ambulatoires précoces, probabilistes anodins et peu chers, qui réduisent en quelques jours la charge virale (insensible à l’effet placebo), donc pour l’individu l’extension de l’infection, la réaction hyper-immunitaire, et pour la collectivité sa transmission ; 
– il existe des protocoles de suivi ambulatoire précoce des complications (hypoxie, inflammation, coagulation) permettant d’adapter rapidement les interventions qui peuvent s’avérer nécessaires (supplémentation en oxygène à domicile, anti-inflammatoires, anti-coagulants) ; 
– il existe des moyens simples et peu coûteux pour compenser les carences alimentaires affaiblissant le terrain immunitaire, ainsi qu’une chimioprophylaxie antivirale totalement anodine utilisable par les populations les plus fragiles et/ou les plus exposées ; 
– l’infection dans la population jeune en bonne santé est asymptomatique et apporte à tout le monde une immunité collective naturelle acquise, qui donne naturellement à l’épidémie son allure traditionnelle de courbe de Gompertz, et qui (sauf si l’on applique artificiellement une pression de sélection) dure au moins jusqu’à l’épidémie de l’hiver suivant.

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Pourtant, nous ferons ici comme si cette Réalité Observée n’existait pas et que le Narratif Officiel était vrai, donc comme si une vaccination contre ce virus OGM breveté depuis des années était absolument nécessaire, non seulement pour les actionnaires des firmes pharmaceutiques, mais aussi pour le bien-être des populations.
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Se posent alors les questions de savoir quel type de vaccin utiliser et à quel moment, ainsi que celle du libre choix pour chaque individu de son type de vaccin et du moment de sa prise. Nous n’aborderons pas ici les arguments éthiques et juridiques (qui ont de toute façon été balayés par le pouvoir, le Code de Nüremberg étant désormais considéré comme obsolète), mais uniquement des arguments techniques et médicaux.

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Le fait que les medias mainstream traitent d' »anti-vaxx » ceux qui exigent des vaccins de meilleure qualité que ceux proposés par les firmes pharmaceutiques avides de profits ultra-rapides, ne doit pas empêcher d’avoir une vision claire de la réalité concrète.

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Première question : quand faut-il se faire vacciner contre le SARS-CoV-2 ?

Lorsqu’on a déjà été infecté par un SARS-CoV-2 entier (et même par d’autres coronavirus respiratoires), il n’y a pas de raison de penser a priori que son propre système immunitaire n’a pas bâti une réaction humorale (anticorps) et cellulaire efficace contre d’autres variants minimes (quelques changements d’acides aminés). Sauf peut-être en cas d’application d’une pression de sélection artificielle suffisamment forte pour modifier beaucoup la nouvelle souche dominante.

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En revanche, s’il y a bien une certitude en vaccinologie, c’est qu’il est contraire aux recommandations établies de faire une vaccination de masse en plein cours d’une épidémie, lorsque le virus se réplique activement dans la population (en l’occurrence au coeur d’un hiver). On exerce alors à coup sûr une pression de sélection qui, sur des virus comme ceux à ARN, qui mutent et se recombinent beaucoup, sélectionne immanquablement des variants échappant à la réaction immunitaire induite par le produit.

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Pourtant, cette loi élémentaire de biologie semble avoir été « oubliée ». Les médecins qui incitent leurs patients à se faire vacciner en pleine période épidémique ont « oublié » soit leur cours d’infectiologie, soit leur serment d’Hippocrate. Une capture des institutions qui s’apparente à une corruption par l’industrie pharmaceutique et/ou une pression exercée par la bureaucratie sanitaire (elle-même aimablement liée à l’industrie pharmaceutique) pourraient ne pas être étrangères à ces « oublis ». Ce n’est pas à nous d’en juger, mais il appartiendra peut-être un jour à un futur Tribunal de Nüremberg 2 de le faire.

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Quant aux politiciens qui appellent à une vaccination de masse en pleine épidémie tout en se prétendant « écologistes », ce sont au mieux des imposteurs, qui ne connaissent de l’écologie que les dizaines de milliers d’euros dont ils s’engraissent sur le dos des contribuables. 

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Deuxième question : quels types de vaccins existent ?

Il existe en gros quatre grands types de produits susceptibles de provoquer une réaction immunitaire éventuellement capable de protéger contre une infection ultérieure. Le tableau ci-dessous les classe selon deux critères : le risque de réplication (qui conditionne celui d’effets indésirables incontrôlés) et le nombre de cibles présentées au système immunitaire (qui conditionne les chances d’efficacité).

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Concernant l’efficacité

Il est assez intuitif que plus on présente de cibles différentes (nommées « épitopes ») au système immunitaire, plus celui-ci a de chances d’être ensuite efficace pour neutraliser et détruire un futur agresseur. Pour utiliser une analogie, un carnivore qui ne saurait mordre sa proie qu’à un seul endroit (par exemple à la patte arrière) sera forcément moins efficace que celui qui sait aussi mordre au cou, à la patte avant, au ventre, au dos.

Quand on utilise comme vaccin un virus entier, inactivé [1] ou atténué [2], on présente au système immunitaire l’ensemble des protéines virales, qui constituent plusieurs cibles, ce qui multiplie les chances d’efficacité.

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Quand on n’utilise qu’une seule protéine isolée [3] ou synthétisée après injection de son gène [4]), on réduit de fait la cible. Et si plus tard, du fait de mutations/recombinaisons, cette protéine n’est plus la même lors de l’épidémie suivante (ou après application d’une pression de sélection par une vaccination de masse en pleine période épidémique), ce vaccin n’aura servi à rien (sauf à enrichir la firme pharmaceutique, donc ses actionnaires et les décideurs qu’elle a corrompus).

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Les anatoxines (toxines de micro-organismes inactivées, ayant perdu leur toxicité mais conservé leurs propriétés immunisantes) sont un cas particulier de cible unique : la toxine du germe qui est elle-même la cause de la pathogénicité. Elles sont très bien tolérées et efficaces quasiment à 100% (ex : tétanos, diphtérie). Il n’y a aucun doute à avoir sur leur utilité et même leur nécessité.

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2. Concernant la sécurité

Il est également intuitif qu’un produit immunogène mais inerte, incapable de toute réplication incontrôlée une fois injecté, est plus sûr qu’un produit susceptible de se multiplier et de se diffuser aléatoirement ou en fonction d’affinités pour certains tissus.

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a – Les vaccins incapables de se répliquer sont :
les virus ou bactéries inactivés [1], présentant de multiples cibles au système immunitaire (grippe, hépatite A, poliomyélite injectable, rage, choléra, leptospirose,…) ;les protéines isolées [3], présentant une cible unique (hépatite B, papillomavirus, méningocoques, pneumocoques, typhoïde, Haemophilus influenzae, coqueluche) ; les anatoxines (tétanos, diphtérie).

Ils permettent de contrôler les doses à administrer et de minimiser les effets indésirables, mais sont souvent associés à des produits pouvant eux-mêmes avoir des effets indésirables : « adjuvants » pour stimuler la réaction immunitaire (ex : aluminium), conservateurs (ex : mercure).

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b. A l’inverse, d’autres produits immunogènes sont susceptibles de se multiplier de façon incontrôlable une fois injectés. C’est le cas bien connu des vaccins vivants atténués [2] (rougeole, oreillons, rubéole, rotavirus, variole, varicelle, fièvre jaune, polio oral, BCG), qui sont donc contre-indiqués chez les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées. Et c’est aussi le cas des derniers-nés de la technologie [4], dont la première expérimentation (directement chez l’humain, sans essais préalables sur des modèles animaux) est en cours au niveau mondial : les injections du gène de la protéine Spike du Sars-CoV-2, sous forme soit d’ARN messager (inclus dans des nanoparticules de lipides), soit d’ADN (rétrotranscrit puis intégré dans le génome d’un adénovirus non pathogène chez l’humain).
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Toute la propagande politico-médiatique actuelle repose sur quatre gros mensonges :

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a – Le gène de la protéine Spike, dont plusieurs dizaines de milliards d’unités sont injectées dans le muscle de l’épaule, y resterait et ne se diffuserait pas ailleurs dans le corps.

C’est faux. Seuls 25% restent dans ce muscle, le reste se répand partout via les systèmes lymphatique et sanguin. Les études de pharmacocinétique qui ont fuité montrent ensuite une concentration dans certains organes (rate, reins, ovaires,…) dont on ne connaît évidemment pas encore les conséquences (en particulier sur la fertilité).

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b – L’ARN est très fragile et serait rapidement détruit, donc il y en aurait peu.

C’est faux. S’il est effectivement instable quand il est nu, il est suffisamment protégé par sa capsule lipidique pour persister jusqu’à transfecter le maximum de cellules humaines. De plus, il est associé à un « complexe réplicase », c’est à dire le gène d’une enzyme qui va le démultiplier, le rendant « auto- répliquant », de telle sorte que sa production finale est bien supérieure à la quantité injectée.

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c – la protéine Spike (que les cellules humaines vont ensuite produire grâce à son gène diffusé un peu partout) ne servirait qu’à stimuler le système immunitaire (principe d’un vaccin) et ne présenterait aucun danger par elle-même puisqu’elle n’est pas ici incluse dans un virus infectant.

C’est faux. Cette protéine est toxique par elle-même : présentée à la surface des cellules des parois des petits vaisseaux sanguins qui la produisent, elle signale une altération de cette paroi, ce qui peut déclencher une aggrégation des plaquettes, première étape de la formation d’un caillot sanguin, même très petit. Et ultérieurement, le système immunitaire pourra attaquer ces cellules considérées comme étrangères et ainsi aggraver les lésions vasculaires. On ne connaît évidemment pas encore les conséquences à moyen et long terme de ces micro-thromboses disséminées, en particulier dans le poumon (risque d’hypertension artérielle pulmonaire puis d’insuffisance cardiaque droite), dans le coeur (qui ne se régénère pas) et dans le cerveau. Il existe enfin une forte suspicion d’action directe (de type prion) de Spike sur les cellules cérébrales, pouvant déboucher à terme sur des pathologies neurodégénératives de type maladies d’Alzheimer ou de Parkinson. Ainsi, la réplication et la diffusion d’abord du gène puis de la protéine Spike elle-même sont incontrôlables, donc potentiellement sources de dangers.

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d – La réaction immunitaire induite par la protéine Spike serait forcément protectrice.

C’est faux. Le phénomène des anticorps facilitants (Antibody Dependant Enhancement = aggravation de l’infection par les anticorps), qui consiste en ce que les anticorps produits (en réaction à une première infection ou à un « vaccin ») ne neutralisent pas l’agresseur ultérieur mais au contraire l’arriment à des cellules qui vont le reproduire abondamment, est connu depuis des décennies. Il a été décrit lors de « vaccinations » contre le Virus respiratoire syncitial (VRS) et contre le virus de la dengue, est reconnu comme fréquent avec les coronavirus depuis 2009 et explique parfaitement les « épidémies post-vaccinales » de COVID observées dans tous les pays ayant atteint un fort taux de « vaccination » (Israël, Royaume-Uni mais aussi Seychelles, Gibraltar…). Tant qu’il s’agit de variants bénins, ce n’est pas très grave. Mais personne ne connaît l’issue de la rencontre de variants plus agressifs avec des anticorps facilitants induits par ces « vaccinations » massives.

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Troisième question : quels vaccins choisir ?

En général :

D’après ce qui a été dit plus haut, le meilleur choix lorsqu’il est possible est celui des vaccins [1] : inactivés (sans risque de réplication incontrôlable) et composés de virus entiers (donc présentant plusieurs cibles-épitopes au système immunitaire).

Les produits [2] et [3] ont des avantages et des inconvénients : 
⋅ les virus atténués [2] présentent plusieurs cibles mais

comportent un risque de réplication hors de contrôle, donc des contre-indications ;
⋅ les portions de virus [3] ne risquent pas de se répliquer mais ne présentent qu’une cible, qui risque de devenir obsolète après des mutations/recombinaisons.

Enfin, le choix [4] d’injecter le gène (acide nucléique) d’une seule protéine est à l’évidence le plus mauvais, puisqu’il combine l’inconvénient de la cible unique (une seule protéine) et d’une réplication et diffusion incontrôlées. Surtout quand on a choisi une protéine qui ne contribue pas seulement à la structure du virus mais qui a elle-même une activité biologique propre potentiellement délétère, même quand elle est toute seule. Et surtout quand on choisit de diffuser ce vaccin en pleine période épidémique, c’est-à-dire au meilleur moment pour sélectionner des variants échappant à l’immunité en construction.

Contre le Sars-CoV-2, les quatre types de vaccins sont envisageables : Il est clairement plus rapide de développer le type [4] (gène d’une seule protéine), d’autant que les brevets correspondants ont été déposés depuis 2003 et leur mise au point lancée des mois avant la diffusion mondiale du virus ; mais à condition que l’immunité créée soit neutralisante (et non facilitante) et durable, ce que seul le temps (et non le nombre de personnes injectées) pourra montrer (la situation en Israël et au Royaume-Uni semble plutôt montrer le contraire).

Des vaccins de type virus entier inactivé [1] et protéine isolée [3] sont en cours de développement, mais cela prend plus de temps. Un vaccin vivant atténué [2] serait également une bonne idée, mais la Nature l’a eue avant nous : on observe en effet qu’à partir d’un virus OGM diffusé, son évolution naturelle (par mutations/recombinaisons) dans la population humaine se fait généralement vers une plus grande contagiosité et une moindre virulence (deux caractéristiques qui lui donnent un avantage compétitif sur un virus très tueur et peu contagieux).

Le variant delta, ou mieux l’un de ses successeurs, sera donc peut-être le vaccin vivant atténué idéal : cliniquement bénin chez quasiment 100% des gens (et non pas seulement 90% comme le premier Sars-CoV-2 diffusé) et poly-épitopique.

Mais pour la « Collusion Covid » (CoCo pour les intimes), qui réunit dans des intérêts convergents (donc sans nécessiter de réunions) l’industrie pharmaceutique, les politiciens, les medias mainstream, la bureaucratie sanitaire et la nomenklatura hospitalo-universitaire, un tel vaccin vivant atténué naturel aurait d’énormes inconvénients : il est gratuit, il n’offre guère d’occasions de publier, ni surtout d’imposer des mesures coercitives et de contrôle. Et pour la CoCo, c’est évidemment rédhibitoire !

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Quatrième question : quelle stratégie globale ?

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1) En médecine hippocratique, dont l’objectif prioritaire n’est pas l’innovation lucrative mais le soin utilisant tout ce qui est déjà disponible, la stratégie raisonnable contre le virus OGM Sars- CoV-2 comprend :

une prévention des carences alimentaires en facteurs immunostimulants, par des recommandations de supplémentations (jusqu’à l’adjonction de vitamine D3 dans des aliments industriels, comme cela se pratique dans les pays à faible exposition solaire) ; une prise en charge médicale rapide, dès les premiers symptômes, par les médecins de première ligne (généralistes) habitués à cette symptomatologie et dont il faut garantir la liberté de prescrire (y compris hors AMM, comme cela se pratique couramment) ; des Traitements Ambulatoires Précoces Probabilistes (TAPP) de quelques jours, utilisant des médicaments éprouvés, dont les posologies, contre-indications et précautions d’emploi sont archi-connues des généralistes ; des protocoles de suivi ambulatoire à domicile afin de surveiller l’émergence de complications (hypoxie, inflammation, coagulation) et d’intervenir rapidement avant leur aggravation ; l’isolement à domicile des malades (réaction spontanée) et au contraire l’évitement des mesures policières (masques, couvre-feux, confinements), écartées depuis des siècles parce que nuisibles à la santé psychique, sociale et économique et risquant de limiter (heureusement peu) la circulation du virus parmi la population jeune en bonne santé, donc la construction de l’Immunité Collective Naturelle (ICN) ; une prophylaxie spécifique (ivermectine en 1 prise orale par mois), par exemple du 1er octobre au 1er mai, pour les personnes les plus fragiles (très âgées), les plus malades (diabétiques, obèses, cancéreux, immuno-déprimés) et les plus carencées ; et éventuellement, sur la base du volontariat, pour les personnels soignants en contact avec ces malades ; une vaccination également volontaire, pour des populations très ciblées, effectuée en-dehors de toute période épidémique, avec des vaccins à virus inactivés (sans risques), entiers (poly-épitopiques) et même multi-souches (comme pour la grippe) ; le rapport coût/bénéfice de cette intervention devra être comparé à celui de la précédente (chimioprophylaxie hivernale).
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2) En « start-up nation », dont l’objectif prioritaire n’est pas le soin, mais l’innovation lucrative, la stratégie est exactement inverse : ne surtout pas parler de prévention par renforcement du terrain, ni a fortiori de chimioprophylaxie ; retarder la prise en charge en ordonnant aux personnes symptomatiques d’attendre le stade des complications, justifiant alors un recours hospitalier ; interdire les Traitements Ambulatoires Précoces Probabilistes et restreindre la liberté de prescription des médecins par des menaces administratives ; imposer dans l’urgence des essais thérapeutiques contre placebo (et non contre médicaments éprouvés) pour valoriser des molécules nouvelles (donc très lucratives) potentiellement inefficaces et toxiques ; imposer des mesures policières nuisibles pour la santé psychique, sociale et économique et risquant de freiner la construction de l’Immunité Collective Naturelle (ICN) ; imposer dans l’urgence et EN COURS d’épidémie le plus mauvais choix vaccinal possible : le gène à prolifération incontrôlée d’une seule protéine, qu’on sait (depuis le début de la diffusion du virus) capable de variations (donc d’échappement immunitaire) et douée de propriétés toxiques potentielles dans l’ensemble de la micro-circulation.
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Ces deux stratégies, aux objectifs diamétralement opposés, sont toutes deux parfaitement cohérentes. La seule chose qui est stupéfiante est le rejet de la première et l’acceptation de la seconde par la majorité de la population française.
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Conclusion

L’Opération Covid aura révélé l’infection de la société française par trois virus mortels pour un pays :

Au sommet : le virus de la corruption, ou plus justement de la complicité et de la collusion de classe entre tous les pouvoirs : financier, industriel, politique, médiatique, administratif, technique (ici médical). Or, une société est vivable non pas lorsque ces pouvoirs disparaissent mais lorsqu’ils se contre-balancent les uns les autres. Quand au contraire ils sont tous « en marche » main dans la main dans la même direction, qu’ils ont tous le même « projet », alors le système est devenu totalitaire.

Au milieu : le virus de la rigidité bureaucratique, pour qui la seule préoccupation est que les flacons (comme les trains il y a 80 ans) « arrivent à l’heure », en aucun cas ce qu’ils contiennent. Des exécutants disciplinés, dotés d’une seule moelle épinière pour appliquer les ordres sont aussi le signe d’une société totalitaire.

En bas : le virus de la soumission à l’autorité qui est, on le sait, endémique mais qui infecte auourd’hui la société française, notamment ses jeunes adultes (pourtant non concernés par l’infection à Sars-CoV-2) jusqu’au stade inquiétant du suicide collectif.

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Heureusement, il reste des esprits sains, qui se retrouvent poussés à devenir Résistants dans une « guerre » qu’ils n’ont pas voulue. De nouveaux pacifistes bienveillants disent qu’ils ne veulent pas cette guerre et préfèrent écouter sans violence les angoisses (psychiques, sanitaires, sociales, économiques) de la masse torturée. Ils pourraient se souvenir que lorsqu’il a eu une certaine audience, Jaurès a été assassiné.

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Une résistance existe au projet covidiste dément, diffuse, dans différentes strates de la société, mais elle manque pour l’instant de « leadership » : les grandes gueules de la société civile sont sympathiques, dévouées pour ouvrir des yeux de leurs concitoyens, mais incompétentes en matière de conduite de la guerre ; les politiciens des oppositions contrôlées, sans doute après avoir compris l’ampleur du projet totalitaire, se sont couchés en choeur et ont symboliquement voté les pleins pouvoirs au petit maréchal en réclamant davantage de mesures coercitives puis davantage de vaccins géniques ; et ceux de l’opposition marginale n’ont pas la carrure nécessaire (n’est pas de Gaulle celui qui le cite à répétition…).

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Il faudra donc encore que Spike, la nouvelle grande faucheuse, fasse beaucoup de nouveaux morts, de nouveaux malades, de nouveaux handicapés pour que la masse commence à se poser la question sérieuse : est-ce par amour que le berger dit qu’il veut nous protéger de force ? Ou bien parce qu’il aurait des accointances avec un boucher ?!

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Auteur(s): Dr. Jean-Michel Dariosecq, pour FranceSoir

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Autre article intéressant :

Alors que, partout dans le monde, en particulier dans les États qui ont été les premiers à « vacciner » massivement leur population, il est maintenant considéré comme acquis que, dans la lutte contre la Covid-19, l’immunité de la population ne sera pas amenée par ces injections sur l’être humain – dont beaucoup de nos compatriotes savent désormais qu’elles ne sont pas sans risque, et sans risque grave, pour leur santé – le moment est venu d’en tirer les conséquences. La formule de Sénèque : « L’erreur est humaine, persévérer est diabolique » est d’une actualité brûlante. Et à l’absurde, nul n’est tenu.

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Prenant acte de l’échec du « tout vaccin », le moment est clairement venu de changer de politique sanitaire. Toutes celles et tous ceux qui ont conduit le pays à la situation chaotique dans laquelle il se trouve doivent être renvoyés à leurs chères études. S’il est vrai qu’on ne change pas d’équipage au milieu du gué, il ne saurait en être de même face à un constat d’échec sévère : la mortalité liée au Covid-19 en France est indigne d’un pays développé.

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Il est impératif, et d’une urgence absolue, que la politique du soin succède à la politique du vaccin. Sauf à être d’une mauvaise foi à toute épreuve, sauf à être dans la main des laboratoires qui tiennent absolument à placer leur production, alors qu’elle ne répond à aucun des deux critères d’un vaccin : empêcher d’attraper la maladie et empêcher de la transmettre, il est désormais certain que des traitements précoces ont fait la preuve de leur efficacité en même temps que de leur innocuité : l’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’ivermectine par exemple.

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Au sein du pouvoir, comme dans ses Conseils – scientifique ou non – il est bien clair que des relèves doivent être assurées si l’on entend gagner la guerre contre le virus et ses variants. C’est au président de la République d’en prendre l’initiative, de faire appel aux femmes et aux hommes acquis à la cause du traitement de la maladie par le soin. 

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Il faut changer l’équipe qui est à la tête de la France. C’est maintenant qu’il faut nommer un Clemenceau au gouvernement, avec pour seul programme : soigner les Françaises et les Français, en mettant les médecins traitants en première ligne pour « faire la guerre », et avec pour seule méthode : « demeurer auprès des soignants, vivre, souffrir, combattre avec eux ».

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Ainsi, et ainsi seulement, notre pays pourra-t-il retrouver la liberté, l’espérance, la concorde entre les citoyens qui sont indispensables à l’aube d’une campagne présidentielle. Si le pouvoir devait persister dans l’erreur, compter sur la lassitude du peuple et des travailleurs qui refusent, à bon droit, une injection aventureuse et au surplus inefficace, alors les craintes formulées il y a quelque temps par un ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, pourraient bien s’avérer prémonitoires : « Avec Macron, ça peut mal finir« . 

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La France n’a certainement pas les moyens d’une crise sociale majeure, qui n’épargnerait pas son économie déjà gravement endommagée par les confinements à répétition, et qui fracturerait davantage encore une nation fragilisée par les 18 mois qu’elle vient de traverser. Le président de la République a le devoir de servir l’intérêt national, d’entendre le peuple français, de travailler à son rassemblement.

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Auteur(s): Alain Tranchant, pour FranceSoir

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EFFICACITÉ DES VACCINS

Dur d’avoir des chiffres fiables. La France est un pays exceptionnel, où le vaccin est nettement plus efficace que dans n’importe quel autre pays. Nos dernières statistiques officielles montrent que 85% des hospitalisés sont des non vaccinés. Nous ne devons pas avoir le même vaccin qu’ailleurs. Aux US, Fauci, l’éminence grise du covid depuis le début, à la fois Salomon, Delfraissy et Véran, a dit il y a quelques jours qu’avec le variant Delta, vaccinés ou pas, c’est pareil, autant de cas. Au Portugal, Graça Freitas, madame Salomon du pays, dit que la plupart des décès dus au covid sont des personnes complètement vaccinées. En Israël, on avoue cette semaine 39% d’efficacité, voire moins. En Angleterre, cela fait un moment qu’ils le disent, et en Islande, un des pays les plus vaccinés d’Europe, Monsieur Þórólfur, le Salomon local, reconnaît également que la moitié des personnes hospitalisées ont été vaccinées, « la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient. » Il n’y a guère qu’en France qu’on y croit encore.

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Voici par exemple la situation dans les pays Européens que l’on suit le plus, nouveaux cas et vaccinations. La vaccination, dans ces pays très vaccinés, n’empêche en rien la dernière vague due au Delta. Le vaccin n’est pas efficace contre ce variant, une troisième dose, solution proposée par certains ne changera rien sur cette efficacité, pas plus qu’augmenter le nombre de vaccinés.
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Quant au passe pour mettre fin à l’épidémie, là encore la France est très forte. Il permet d’éviter de transmettre une maladie que vous n’avez pas, à des gens qui sont vaccinés contre cette maladie, et qui eux ont le droit d’aller et venir partout contaminer les autres, car porteurs autant que les non vaccinés. Pour aller sur votre lieu de travail, non vacciné, il vous faut un test, prouvant que vous êtes négatif. Par contre, le vacciné, porteur de passe, n’a pas besoin de test pour travailler, alors qu’il peut être positif et peut vous contaminer. Contrairement à ce qu’on nous dit, avec le passe, ce n’est pas les non vaccinés qui contaminent les autres, mais les vaccinés qui vont contaminer les autres, vaccinés ou négatifs ! Comprenne qui pourra le raisonnement de nos « élites ».

Pour terminer avec ce passe, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, affirmait en février que ce passe « n’avait de sens que si on était sûr que les vaccinés ne transmettent pas la maladie », maintenant que l’on sait qu’ils transmettent, virage à 180°, il affirme que ceux qui l’ont cru en février sont des irresponsables. « L’immunité de groupe est un objectif mythique qui ne sera jamais atteint », selon les responsables du vaccin d’Oxford.

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INCIDENTS, ACCIDENTS DES VACCINS

Ici, pour avoir des chiffres fiables des effets secondaires, c’est la cata. Et quand certains publient les chiffres officiels qu’ils trouvent, ils sont censurés, comme Laurent Mucchielli, chercheur au CNRS. Même chose sur YouTube, Facebook et Twitter : les chiffres officiels sont complotistes, il ne faut pas les donner, quels qu’ils soient. Pour faire baisser la température, il faut casser le thermomètre. En théorie, pour l’affichage, cela marche, mais en pratique, je ne suis pas sûr que cela fasse réellement baisser la température.

Tous les pays ont des chiffres minorés, pour plusieurs raisons. Les patients ne pensent pas toujours qu’il puisse y avoir un lien. Je vous ai déjà cité ces cancers du pancréas qui flambent juste après vaccin, quelles preuves d’un lien ? Aucunes. Aujourd’hui, c’est une amie qui me demande si la dissection aortique de sa mère, moins de deux semaines après vaccin, est une coïncidence ou non (pour info, 108 enregistrés sur Vigibase, soit sans doute 500 en pratique). Lésions préexistantes stimulées ? Même chose pour les médecins traitants, coïncidence ou non ? De plus, ayant poussé à la vaccination, ils ont tendance à dire que cela n’a rien à voir. Les autorités rechignent à enregistrer, puis font tout pour ne pas valider, la preuve n’étant jamais formelle. En France, on ne publie plus de chiffres officiels de décès après vaccins, au motif qu’il est difficile de faire la preuve de la cause, et donc que les chiffres ne peuvent être fiables.

Comment s’y retrouver ? Certains parlent de moins de 10% de remontées d’effets secondaires, une étude de 2019 parle même de 1%, cela me paraît excessif, je l’évalue autour de cinq par plusieurs recoupements. Le Dr Georges Diaz, aux US, a fait une énorme étude portant sur deux millions de dossiers covids. Ce travail, au nombre significatif, a été publié dans le JAMA. Il n’a étudié que les cas de myocardites et péricardites, et a pu le faire sur un grand nombre grâce aux dossiers informatisés. Il a trouvé cinq fois plus de myocardites et péricardites dans les dossiers, que de cas déclarés dans le VAERS (base de données américaine sur les effets secondaires).

De mon côté, il y a quinze jours, en prenant le nombre de décès déclarés en GB, 1 500, avec une règle de trois, en divisant par le nombre d’injections dans le pays, en multipliant par le nombre d’injections dans le monde, j’arrivais à 70 000 décès dans le monde, cinq fois plus que ceux déclarés dans Vigibase de l’OMS. Aux USA, la base officielle donnait 6 207 décès dus aux vaccins le 21 juillet. D’autres sources donnent plus : 6 985 décès le 2 juillet, 11 940 le 30 juillet , et le 6 août, nous sommes à 12 791 décès (source, confirmé ici). Ces chiffres de décès sont-ils sûrs ? Je suis allé voir sur un site anti fake, Reuters Fact Check, équivalent de AFP Factuel. Un article de fin juillet confirme le rapport de 6 207 décès dans le VAERS à la date du 21 juillet, en émettant une réserve que je rapporte : « cette déclaration est assortie de réserves on “La FDA » exige que les prestataires de soins de santé signalent au VAERS tout décès survenu après la vaccination par COVID-19, même s’il n’est pas clair que le vaccin en soit la cause. »

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Texte issu du blog du Dr Maudrux et repris avec son aimable autorisation.

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Quelques articles récents :

— « Vaccination anti-Covid : la campagne de la 3e dose est lancée en France« , Sud Ouest, 1er septembre 2021.

— Solène AGNÈS, Covid-19. « Une 3e dose de vaccin pour une grande partie de la population« , prévoit Delfraissy, Ouest France, 25 août 2021.

— Dr Jane Ruby, « Le vaccin poison de Pfizer : l’oxyde de graphène« , Ligue nationale pour la liberté des vaccinations, 7 juillet 2021.
— Philippe Mesmer (Tokyo, correspondance) et William Audureau, « Vaccins Moderna au Japon : ce que l’on sait des particules étrangères trouvées dans les doses de la firme américaine« , Le Monde, 2 septembre ‘2021.

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Mi-octobre 2021 : comme l’immunité des sujets vaccinés semble disparaitre après 6 mois, la troisième dose est fortement conseillée … D’ailleurs, si elle n’est pas faite, on vous menace de vous faire perdre votre paSS sanitaire !

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