Que faire quand vous vous êtes trompé de remède ?

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Dans la plupart des cas, rien.

Contrairement aux médicaments allopathiques, à base de produits chimiques, l’homéopathie n’empoisonne pas et ne produit pas d’effets secondaires toxiques. Les remèdes homéopathiques sont des « signaux de régulation » sans chimie toxique. Ils utilisent la bioénergie subtile du corps pour stimuler en toute sécurité une réponse de guérison.

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Si le remède a été bien choisi, l’énergie du remède correspond à aux dérèglements de la personne malade, une résonance se produit qui stimule le corps à guérir. Parce qu’il n’y a pas de produits chimiques impliqués, les effets secondaires toxiques sont évités.

Si le mauvais remède est pris – un qui ne correspond pas (ou mal) aux symptômes de la personne – le résultat le plus probable est que rien ne se passera. La personne ne s’améliorera pas, mais elle ne s’aggravera pas non plus.

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Le seul moment où une «aggravation» de courte durée sera remarquée, c’est quand:

1. Le remède correspond bien aux symptômes de la personne, mais la dose est trop fréquente ou trop forte pour ce qui est nécessaire : risque d’une brève accentuation des symptômes antérieurs. Si l’aggravation est désagréable, on peut choisir un remède antidote (voir Gibson-Miller)
2. Le remède n’est pas particulièrement adapté aux symptômes de la personne, mais suffisamment proche pour déclencher une réponse (effet de « pathogénésie », c’est à dire que le patient va présenter un ou plusieurs symptôme du remède, exemple : poussée d’hémorroïdes suivant la prise de Sepia !)

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Dans les deux cas, tous les symptômes produits sont généralement légers, non toxiques et ne durent pas longtemps. Un remède correspondant mieux doit alors être choisi.

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NB. Rappelez-vous qu’il n’y a pas de posologie en homéopathie :  le remède ne doit être répété que lorsque l’amélioration s’arrête ou que les symptômes commencent à revenir – et ensuite à une dose plus douce.

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