.
.
L’annonce du diagnostic de cancer est immédiatement suivie d’une sidération et d’une incapacité à écouter la suite des explications prodiguées par le médecin. Elle représente un temps important que nous n’avons pas le droit de manquer, en essayant de respecter quatre grandes règles :
.
Principe de base de votre intervention : l’importance d’une stratégie cohérente dont l’aboutissement doit être la restauration de la santé (et non seulement l’éradication de la tumeur) :
• Ne pas s’opposer au traitement classique de la tumeur (et de ses métastases) par un centre anticancéreux compétent (d’autant que vos doutes vont majorer ses craintes). En gardant en mémoire que les échecs sont nombreux (50% tous cancers confondus), quel que soient l’ordre ou l’association des méthodes employées.
.
• Si le patient déclare refuser les thérapeutiques « classiques » et s’en remettre à vous … méfiez-vous ! Il peut tout à fait changer d’avis si la situation empire et alors se retourner contre vous (avec l’aide d’un patron hospitalier au besoin !). Nous avons même eu des cas où c’est la famille du patient décédé qui a attaqué au pénal le praticien pour une « perte de chance » de guérison par refus d’un traitement classique (alors que le praticien en cause n’avait que suggéré une alternative !). Vous pouvez tout à fait continuer à prendre en charge ce type de malade, mais demandez-lui une signature au bas d’un document dans lequel il persiste dans son refus de thérapeutique classique, malgré les bons conseils que vous lui avez donné.
.
• Le traitement homéopathique visera à harmoniser les tensions métaboliques, comme le vécu psychologique du patient. Là, plus encore que d’habitude, il faudra veiller à organiser votre consultation en trois phases :
.
Le cancer est une pathologie chronique grave qui entraîne des traitements lourds dont les répercussions psychologiques et sociales peuvent être considérables. Ces perturbations, qui affectent 40% des malades, sous forme de réactions anxieuses et/ou dépressives, peuvent entraîner une augmentation des souffrances et une mauvaise observance du traitement. C’est pourquoi les résultats attendus doivent être évalués non seulement en termes de durée de survie, mais aussi en termes de qualité de la vie.
.
.
En l’informant et en le soutenant durant ces différentes étapes, le praticien cherchera à rendre au patient un sentiment de maîtrise et de contrôle de la situation. Les problèmes affectifs devront être abordés, ainsi que les préoccupations de réinsertion familiale et sociale. Il est démontré que l’évolution tumorale est meilleure chez les patients « battants » (25% de métastases) que chez les « déprimés/résignés » (65% de métastases).
.
BNS d’une patiente souffrant d’un mélanome multi-métastatique : on observe un perturbation d’ensemble avec augmentation conjointe des Alpha1 et des paramètres Cuivre et Cadmium (inflammation et néovascularisation).
.
NB. Si vous souhaitez réaliser un BNS12 ou 24, cliquez sur ce lien : www.mybiobox.com
.
Si le sujet est suffisamment disponible et motivé, on pourra lui conseiller l’art-thérapie. Méthode utilisant la peinture, la musique, la danse, le théâtre et les arts plastiques, à présent largement utilisée pour aider au développement d’un projet existentiel. Le potentiel créatif du malade se révèle en mettant en évidence les aspects positifs de sa structure psychique et les modifications de sa vision du monde au décours des traitements.
.
Pendant une radio ou chimiothérapie, utilisez :
Avec, en cas de nausées et vomissements :
.
Remèdes complexes à utiliser à ce stade (lab. Heel) =
Homéopathie complexiste lab. Reckeweg : R17 Cobralactin (Lacticum acidum 4D, Naja tripudians 8D, Scrophularia nodosa 2D)
.
Pendant et après :
.
.
La Spiruline est un bon stimulant de l’immunité = effet protecteur du béta-carotène + effet cytostatique de la Phycocyanine, TNF alpha stimulante. A utiliser également durant les chimiothérapies (Cis-platine) et radiothérapies (radio-protection), pour ses effets détoxiquants et de réduction de la perte en globules blancs.
.
NB1. Chimiothérapie : l’effet jeûne …
Le fait de jeûner pendant deux jours avant une chimiothérapie pourrait protéger les cellules saines de l’organisme, sans diminuer l’efficacité du traitement (hôpital Gaslini, à Gênes – Italie), les cellules saines soumises au jeûne se mettent en sommeil, ce qui les rend résistantes aux agressions. Les cellules cancéreuses continuent à proliférer et restent vulnérables à la chimiothérapie.
.
NB2. Les cancérologues savent que l’ail peut réduire l’effet des traitements de chimiothérapie à base de tamoxifène (Nolvadex®, Tamizam®, Tamoplex®, Tamoxifen®) et à base de dacarbazine (Dacarbazine®, Medac®) et doit, pour cette raison, être évité par les malades.
L’ail augmenterait en outre la toxicité des chimiothérapies à base de docetaxel (Docetaxel®, Taxotère®, Tevadocel®), ainsi que des traitements anticancéreux suivants : dacarbazine, campthotécines, cyclophosphamide, inhibiteurs de l’EGFR, taxanes, vinca-alcaloïdes et épipodophyllotoxines.
.
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
Vous appréciez les articles de notre site ?
Vous vous intéressez à la santé naturelle et à la médecine fonctionnelle ?
Laissez nous votre email pour recevoir toutes les semaines des articles, des infos et des conseils