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C’est une méthode qui associait quelques dosages protéiques et une batterie de tests de floculation (Acétate de Cuivre et les Euglobulines). Elle a été mise au point dès 1930 par le Pr. Arthur VERNES, alors directeur de l’institut prophylactique de Paris. Elle permettait, dans une certaine mesure, d’apprécier la vitesse de l’évolution tumorale et donc l’effet sur celle-ci d’une chimiothérapie (la seule disponible à l’époque !) basée sur l’alternance d’une douzaine de métaux et métalloïdes (les « Métaux de VERNES »). Malheureusement, ces tests sont peu sensibles en cas de cancers hormono-dépendants et peu spécifiques dans de nombreux autres cas.
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L’équipe lyonnaise du CEIA a repris les travaux de Pol HENRY sur la modification des tests de floculation par les teintures végétales dans les années 70. Deux avancées sont à porter à leur actif : la présentation des résultats en écart-types (ce qui permet de comparer la signification de données fondamentalement différentes) et la réalisation de grandes séries (plus d’un million de profils réalisés, grâce à un millier de prescripteurs, dans les années 1970-80).
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La courbe en « V » du profil CEIA
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Malheureusement, le dr. Eric REYMOND, à la tête de cette société, l’a entraînée dans la voie d’une complexification croissante : plus de 50 paramètres, plus de 500 remèdes … en même temps qu’il s’efforçait d’éliminer ses éventuels concurrents par des procédés discutables. Plus grave, il pérennisa une présentation protidologique des tests de floculation, ce qui est une erreur méthodologique grossière, qui valu à la « méthode du CEIA » d’être finalement sévèrement critiquée en 1987 dans un rapport de l’Académie de médecine de Paris. C’est à présent une approche historique (chère et compliquée de surcroit) !
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Récemment, nous avons vu apparaitre une lecture « simplifiée » (?!) des 52 paramètres de ce bilan :
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A noter qu’un des utilisateurs de cette méthode, le dr. Bernard VIAL, a développé, dès 1986, deux concepts intéressants :
— la notion de « Protéïon », organisation individuelle des structures et des fonctions du milieu intérieur de chacun, qui préfigurait le concept, maintenant classique, du « protéome »,
— l’étude de l’impact psycho-affectif des plantes, classées par familles botaniques et en fonction de leurs usages traditionnels, révélés par les noms vernaculaires, sorte de « clefs » évoquant leurs pouvoirs thérapeutiques. Nous l’évoquons ponctuellement dans l’herbier de ce site.
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A la suite des travaux du pr. S. VARGUES de l’Institut Pasteur, P. GIRAUDET et son équipe en France, reprenant des travaux américains antérieurs, met au point et utilise sur une vaste échelle à l’hôpital dès 1980, huit tests de dosage protéique par néphélémétrie laser. Les résultats sont présentés en % par rapport à une norme calculée, variable selon le sexe et l’âge du patient.
Un laboratoire privé (A. BURKEL à Paris), soutenu par un groupe de médecins (ARPA puis IEDM) étend la gamme des dosages protéiques (jusqu’à 25 protéines différentes, ce qui représente 99% du poids des protéines sériques), puis croise ces résultats avec des typages lymphocytaires ou des dosages d’acides gras. Applications : auto-vaccins de culture microbienne de selles (à présent abandonnés) et micro nutrition.
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Durant ces années, alors que nous peaufinions la base de données des BNS, nous avons aussi exploré la voie des profils protéiques. Afin d’y voir clair, nous avons développé sur cette méthode un système expert de 250 règles, ainsi qu’un autodiagnostic par portraits-robots biologiques (plus de 3000 profils réalisés). C’était intéressant, mais très vite, ce système a montré ses limites :
a/ car ces examens se sont révélés peu sensibles = les variations quantifiables de telle ou telle protéine n’apparaissent qu’au stade où le diagnostic clinique est assez évident et les marqueurs spécifiques connus positifs (par contre intéressant pour suivre l’évolution des pathologies graves),
b/ pas assez de protéines testées = c’est le problème du « râteau avec peu de dents » : on laisse passer beaucoup de choses !
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« Après 40 ans, tout le monde devrait envisager un traitement hormonal contre le vieillissement. » Dr Thierry HERTOGHE
« Dans le cadre d’un traitement poly hormonal, il faut, après un diagnostic biochimique et clinique, donner des doses physiologiques d’hormones pour retrouver les taux que l’on avait entre 18 et 25 ans. On obtient de bons résultats et il n’y a pas d’effets secondaires. Avec la mélatonine, la DHEA, l’hormone de croissance (GH), les hormones sexuelles et thyroïdiennes, ainsi que les antioxydants, la médecine a les moyens de prévenir et faire régresser une bonne part des troubles si pénibles de la vieillesse ».
—> Avantages : effet rapide et parfois spectaculaire !
—> Inconvénients :
a/ le premier est théorique : la méthode est basée sur un postulat = le taux hormonal optimal serait celui des 25 ans et la supplémentation, débutée dès 40 ans, va tenter de maintenir ces taux. Or, un paramètre échappe complètement à l’évaluation, c’est la sensibilité des récepteurs hormonaux, qui va forcément évoluer avec l’âge !
b/ le second est logique : l’apport exogène poly-hormonal va tarir la sécrétion endogène et rendre le sujet totalement dépendant de sa supplémentation.
c/ le troisième est économique : une seule ampoule de GH coûte environ 400 euros … Un traitement poly-hormonal revient de 500 à 1000 euros (1500 frs suisses) par mois !
d/ le quatrième est physiologique : il existe des interactions constantes entre ces différentes hormones, interactions qui évoluent avec les diverses contraintes rencontrées : fixer les taux, c’est limiter l’adaptation !
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NB. A1G = Orosomucoïde (marqueur de l’hémolyse intravasculaire ou de l’infection)
L’augmentation du Fer signe une inflammation (vasculaire ou auto-immune) ou une surcharge en fer (hémochromatose)
Le BNAR suffit pour apprécier la quantité de radicaux libres présents dans le sérum du patient et évaluer sa capacité à répondre à une agression de stress oxydatif. Cette analyse peut être faite plusieurs fois pour apprécier dans le temps l’efficacité des mesures mises en place pour diminuer le stress oxydatif (hygiène de vie notamment), stimuler et régénérer les défenses anti-oxydantes de l’organisme. Analyses faites sur sérum. Prélèvement dans un tube sérum-gel de 8 ml.
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Il est maintenant possible de rechercher dans l’ADN du patient (prélèvement de salive et gouttes des sang) une quinzaine de déterminants de nombreuses pathologies connues : ostéoporose, troubles métaboliques, diabète type 2, alopécie androgénique, maladies neuro-dégénératives, DMLA, parodontose, cancers de la prostate, du sein ou colorectal, ainsi que de la sensibilité anormale du patient à tel ou tel médicament. Ces tests sont intéressants pour un diagnostic précoce.
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Ce bilan est composé des vitamines suivantes :
Analyse faite sur sérum et/ou sang total. Pour le sérum, prendre un tube sérum-gel de 8 ml; pour le sang total, prendre 2 tube EDTA.
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Une idée des prix …
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Pourquoi le docteur Geffard ne répond plus et pourquoi l’on ne reçoit plus aucun résultat d’immunobilan depuis le 15 Septembre 2019 ? Une opération de police sans précédent a été menée au domicile et au laboratoire de recherche du docteur Geffard le lundi 23 septembre. Une trentaine de gendarmes se sont rendus au domicile du Docteur Geffard et de son épouse Marie Claire et les ont emmené menottés comme de dangereux malfaiteurs. Ensuite ils ont été emmenés et sont restés pendant 48 heures dans 2 petites cellules séparées. Ils ont été interrogés séparément pendant ces 48 heures. À 72 ans passés, ils ont dû dormir dans ces cellules séparées à même le béton sur des petits matelas de 2 cm d’épaisseur. Il n’avaient pas d’eau pour se laver.
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Pendant le même temps, une cinquantaine de gendarmes se rendaient au laboratoire de recherche du Docteur Geffard qui a été fermé. Le bureau du docteur Geffard a été mis sous scellé, tous ses ordinateurs ont été confisqués ainsi que tous les dossiers de ses patients.
Les jeudi 26 et le vendredi 27 septembre, ils ont été emmenés séparément dans des véhicules à Paris où ils ont été interrogés et présentés à un juge d’instruction qui leur a interdit de communiquer avec qui que ce soit. Le Dr Geffard est accusé d’exercice illégal de la pharmacie, de la médecine et de la biologie. Marie-Claire son épouse est accusée comme complice. Ils avaient été mis sur écoute depuis six mois (écoutes téléphoniques et mails).
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Le docteur Geffard a conduit pendant plus de 30 ans des recherches poussées avec de nombreuses publications scientifiques internationales démontrant l’origine en partie infectieuse des maladies chroniques et la mise en place de nouveaux traitements écologiques sans toxicité permettant de soigner plus en profondeur ces maladies difficilement prises en charge par la médecine moderne, qui utilise pour cela des molécules très chères, souvent très toxiques et aux très nombreux effets secondaires, que les malades finissent assez souvent par refuser au bout d’un certain nombre d’années d’utilisation.
Il est indéniable que les recherches de ce médecin hors norme inquiètent sérieusement l’establishment médical et les multinationales du médicament et qu’ils ont petit à petit essayé de faire taire le docteur GEFFARD par tous les moyens en leur possession: tout d’abord en l’excluant de son laboratoire il y a 10 ans, puis en le radiant de l’Ordre des médecins il y a trois ans (un comble pour un médecin qui a passé sa vie à diagnostiquer et soigner des maladies sans toxicité et avec souvent beaucoup d’efficacité) et maintenant en le menaçant de mise en examen et en lui interdisant par un contrôle judiciaire strict de poursuivre son activité de recherche et de communiquer avec qui que ce soit !
Il s’agit d’une véritable dictature sanitaire qui sacrifie nos libertés. Nous ne pouvons pas rester inactifs devant cette attaque sans précédent qui ressemble étrangement à l’affaire Beljanski des années 1996, ce numéro 2 de Pasteur qui avait trouvé des médicaments anticancéreux naturels que le président Mitterrand avait pris de 1981 à 1995 pour son cancer de prostate. Une même descente de police avait fermé son laboratoire et on avait interdit aux Français de prendre les médicaments naturels qui ont permis au président de survivre plus de 15 ans à un cancer de prostate agressif.
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Ces profils sont passionnants en théorie … En pratique, les informations qu’ils fournissent restent limités, car quantifiant quelques molécules, hors de la dynamique de leurs multiples interactions … Les différents constituants de l’organismes (minéraux, protéines, acides gras, hormones) se répartissent dans l’organisme selon les règles particulières de « l’analyse compartimentale », c’est à dire en fonction :
Exemple : le métabolisme de l’ion iode qui comporte dix sept compartiments et dont l’analyse mathématique nécessite l’utilisation d’une série d’équations différentielles.
Ceci est un peu abstrait, prenons donc un exemple plus proche de notre expérience de tous les jours, et répondant aux mêmes lois : une maison de plusieurs pièces (volumes variés), comportant chacune une ou plusieurs portes, l’air circulant plus ou moins rapidement d’une pièce à l’autre selon la largeur des portes et l’ouverture des fenêtres extérieures (flux variés). Un habitant fume un cigare dans la pièce du fond…… L’analyse de l’air des différentes pièces ne pourra nous donner qu’un aperçu très parcellaire de la situation réelle du fumeur !
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Les profils biologiques BNS sont des méthodes qui objectivent l’état fonctionnel des principaux récepteurs tissulaires, reposant sur l’étude multifactorielle comparée des réactions des protéines porteuses sériques (vecteurs rémanents de ces différents équilibres ioniques), et à ce jour les outils idéaux pour une vision synthétique de l’état des régulations du patient.
BNS12 (12 paramètres, avec explications complètes, pour les naturopathes) … 79 euros
BNS24 (23 paramètres, avec explications complètes, pour les homéopathes et acupuncteurs) … 99 euros
Le BNT (bilan des neurotransmetteurs) fournit une image des contraintes au niveau cortical et peut compléter utilement l’image fournie par les BNS.
Pour réaliser ces profils : www.mybiobox.com
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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