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les « soucis digestifs »

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Les fonctions digestives se retrouvent sur les 5 pôles organiques du modèle de macro-physiologie de ma MTC :

  • Pôle métabolique = Foie + VB
  • Pôle vasculaire = Intestin grêle
  • Pôle lymphoïde = Pancréas + Estomac
  • Pôle cutanéo-muqueux = Colon
  • Pôle conjonctif = Rectum

C’est dire que toute dysfonction organique complexe aura forcément des répercussions digestives et vice-versa !

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L’industrie agro-alimentaire, ces 20 dernières années, a complètement transformé les tableaux cliniques que nous observons à présent quotidiennement :

  • excès de sel, de sucres (x 6), de graisses saturées, d’alcool, d’épices et d’additifs et conservateurs de tous ordres …
  • augmentation des taux de gluten (x 3), la transformation des laitages, l ‘apparition de fruits exotiques hors saison …

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Tout ceci concoure à entretenir une inflammation digestive chronique, avec libération d’histamine (médiateur des manifestations allergiques et neurotransmetteur). Selon les auteurs, on estime à présent que 10 à 30% de la population européenne souffre d’intolérances alimentaires (allergie retardée à IgG / contrairement aux allergies immédiates classiques, à IgE), qu’il est possible de contrôler par dosage sanguin (type Immu-pro : 22 à 300 tests). La « maladie coeliaque » (intolérance génétique au gluten) est de nature différente.

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Les troubles observées sont de différents types :

  • dyspepsies (reflux ++, gastralgies, aérophagie, colite, diarrhée …)
  • dermite sèche chronique avec prurit (eczéma, urticaire, pso … selon terrain de base)
  • manifestations tendino-musculaires (jusqu’à un tableau de polyarthrite aiguë !)
  • asthénie +++ et troubles de la mémoire et de l’attention (THADA)

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Dr. Reckeweg® R 83 … SOLANUM comp. Traitement des allergies alimentaires (Adrénalinum D5, Coffea D6, Hepar D6, Histaminum D30, Lac bovinum D6 + D12 + D30, Nuces D6 + D12 + D30, Solanum lycopersicum D6 + D12 + D30, Solanum tuberosum D6 + D12 + D30)

Ce phénomène d’inflammation digestive chronique :

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1 – va favoriser les dysbioses (qui vont pérenniser le phénomène inflammatoire et la porosité intestinale). Il convient alors de faire un dosage des métabolites organiques urinaires (MOU) qui pourra mettre en évidence deux types de flore anaérobie :

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a – une candidose intestinale chronique : restriction drastique des sucres ++ et des aliments fermentés (yaourt, fromages, charcuterie …)

Dr. Reckeweg® R 82 … CANDIDA comp. Gouttes antifungiques (Aspergillus niger D12, Candida albicans D6, Chlemidiae D12, Echinacea D12, Mycosis fungoïdes D12, Penicillinum D12, Zincum metallicum D10)

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b – une flore anaérobie de putréfaction (Clostridium perfrengens) : excès de protéines et de conserves (déficit vitaminique)

Dr. Reckeweg® R 92 … BROMELIA comp. Formule d’enzymes digestives (Berberis D3, Bromelainum D5, Caryophyllus aromaticus D3, Cinnamomum D3, Ciriandrum D3, Hepar D6 + D12 + D30, Intestinum D3 + D6 + D12, Pancreas D6 + D12 + D30, Parotis D4 + D6 + D12)

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2 – va faire le lit d’une auto-immunité (aggravation fréquente), par dérèglement progressif des régulations immunitaires.

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Ulcus digestif

Maladie psychosomatique inflammatoire. En MTC « le bois soulève la terre« , c’est à dire que l’émotionnel (Foie) pèse sur le pole digestif (Rate-Estomac). Evolution typique d’un soucis (trouble psychisme) —-> fonction organique perturbée —-> lésion tissulaire.

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L’ulcus gastrique : douleurs assez précoces après le repas

La question thérapeutique est encore en débat = les antiacides, les protecteurs de la muqueuse (aluminates et prostaglandines), les H2-bloquants et les inhibiteurs de la pompe à proton (IPP) ayant été associés ces dernières années aux traitements antibiotiques : la bi (traitement habituel) ou trithérapie de 7 jours (si l’éradication a échoué = 20% des cas) contre l’Hélicobacter pylori (bacille gram -, jugé responsable de l’hyperacidité et de la baisse de la défense muqueuse) dont pourtant plus de 30 à 50% des européens et 70 à 90% des asiatiques et africains sont porteurs ! Depuis que cette infection a reculé dans les pays développés, les pathologies ulcéreuses et cancéreuses de l’estomac ont en effet diminué, mais la prévalence des reflux et de ses complications ne cesse d’augmenter !

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Les crampes et douleurs :

  • Argentum nitricum … éructations, flatulences et colite, désir de sucre (qui aggrave). Patient agité et hypochondriaque
  • Arsenicum album … vives brûlures, améliorées par les boissons chaudes, agitation et anxiété
  • Nux vomica (s) … qui contiennent 13 alcaloïdes, dont de la Strychnine et de la Brucine.
  • Robinia (s) … brûlures d’estomac avec renvois acides ou aigres

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Le régime alimentaire préconisé a varié au cours des années, les médecins ont d’abord conseillé un régime lacté (laitages et purées), puis une exclusion des acides (vinaigre, moutarde, condiments). Le patient doit réviser son mode de vie (grignotage, surpoids) et ses mauvaises habitudes (alcool, tabac).

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Complications :

  • L’hémorragie … Geranium (k), Carbolicum acidum
  • La dégénérescence cancéreuse
… Cadmium sulfuricum (zn), Condurango (au) …

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L’ulcus duodénal : douleur plus tardive après le repas

Affection qui touche surtout les personnes âgées de plus de 50 ans, souvent conséquence de traitements prolongés à l’aspirine et aux AINS, mais dégénère rarement. La complication évolutive en est la sténose pyloro-duodénale que l’on doit traiter par antrectomie-vagotomie.

Ornithogalum umbel. (ag) .. avec flatulence post-prandiale majeure.

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Dr. Reckeweg® R 5 GASTREU. Les ulcus gastriques (Anacardium D6, Argentum nitricum D6, Arsenicum D4, Belladonna D4, Carbo veg. D8, Chamomilla D2, Chelidonium D3, Lycopodium D5, Nux vom. D30, Scrophularia D1).

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Dr. Reckeweg® R 14 QUIETA … Sédatif, spasmes et troubles du sommeil (Avena sativa D1, Ammonium bromatum D3, Chamomilla D4, Coffea D4, Escholtzia D2, Ignatia D6, Humulus D3, Passiflora D2, Valeriana TM, Zincum val. D5)

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Les douleurs abdominales :

La douleur abdominale, spontanée ou provoquée, accompagne toutes les affections viscérales. On peut la classer en :

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–> Douleur modérée : volontiers chronique, souvent négligée par le patient, mais aussi par le thérapeute, attention ! Certaines affections malignes n’entraînent que peu de douleurs, notamment à leur phase de début, ce qui peut entraîner des retards diagnostics.

Il faudra (surtout chez l’enfant) envisager la présence d’une parasitose intestinale :

Dr. Reckeweg® R 56 … FILIX Comp. Vermifuge (Artemisia vulg. D1, Cina D4, FILIX Mas D2, Graphites D30, Mercurius corr., Taraxacum D1)

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–> Douleur aiguë : urgence chirurgicale ou non ?

. distension et/ou inflammation d’un viscère creux : cholécystite (douleur, fièvre, nausées et ictère), colite (améliorée par gaz et selles), appendicite (TR douloureux), pancréatite
…

. péritonite, par de l’air (ulcère perforé), du pus, ou du sang (ex.: grossesse extra-utérine)

. ischémie d’un territoire mésentérique, suite à une athéromatose … sorte d’angor digestif, où il faudra prescrire : Dr. Reckeweg® R 12 … MULTOJODIN

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Rechercher les antécédents douloureux pour connaître le mode d’évolution de l’affection, ainsi que son éventuelle aggravation au cours du temps.

Dr. Reckeweg® R 52 … VOMISAN. Les nausées (Aethusa D6, Apomorphinum D12, Cocculus D12, Colchicum D12, Ipeca D8, Nux vom. D30, Petroleum D12, Veratrum D30).

                                                                                                           Vision schématique …

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Les pancréatites

La pancréatite aiguë est une maladie grave, surtout due à l’alcoolisme (85%), qui requiert l’hospitalisation immédiate : le pronostic est fatal pour 10% des patients. La douleur abdominale est violente, elle irradie au dos et s’accompagne d’un fébricule ou d’un collapsus. Le diagnostic biologique repose sur l’augmentation du taux sérique des enzymes pancréatiques : amylase et lipase.

Traitement homéopathique : Colocynthis (mg) et Iris versicolor (ph)

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Diagnostic différentiel (cliniquement difficile) : la cholécystite aiguë, l’ulcus perforé et l’anévrisme de l’aorte abdominale.

Les complications : rechutes, pseudokystes ou fistules pancréatiques qui bénéficient parfois de traitements endoscopiques.

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Dr. Reckeweg® R 72 … PANKROPATIN (Apis D5, Colocynthis D6, Lycopodium D6, Momordica D3, Phosphorus D6).

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Les constipations

Ananda, le premier disciple, demande à Bouddha : « Maitre, vous parlez toujours de sage, mais qui est sage ? » et Bouddha de lui répondre : « Un sage, c’est un homme qui est en paix avec ses intestins« .

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La constipation est une dysfonction chronique répandue, concernant surtout les femmes (1 sur 3), qu’il convient de préciser : nombre de selles par semaine, s’il y a des envies ou non, leur aspect (sécheresse ?) et couleur, si les gaz sont importants, l’existence de douleurs abdominales, l’alternance avec des épisodes de diarrhée ?

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Il convient de ne pas négliger une cause organique (mégadolicocolon, diverticulose, rectocèle, prolapsus rectal, polypes et même cancer colique), en la replaçant dans son contexte organique : affection concomitante (grossesse en cours, suite d’anesthésie générale, prise de médicaments) et psychologique (personnalité spasmée ou obsessionnelle).

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Pour assurer un transit digestif régulier, il faut insister sur les points suivants :

– absorber chaque jour un litre de liquide minimum,

– augmenter le volume du bol alimentaire (cf. constipation des régimes restrictifs) par des substances riches en cellulose : légumes verts, fruits murs (pruneaux, figues …), légumineuses, son (mais pas trop, car irritant)…

– rééduquer l’intestin : se présenter à heure fixe aux toilettes, pour rythmer le réflexe évacuateur. Ne jamais se retenir (pour éviter une perte de temps ?).

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Pour traiter la constipation Boericke a proposé une liste de 90 médicaments homéopathiques ! Quatre grands mécanismes sont à rechercher :

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1 – la constipation spasmodique (excès de Yang) –> désirs inefficaces, douleur anale fréquente, souvent sur dysfonction de la vésicule biliaire.

  • Nux vomica (s) … hyper-actif survolté à l’alimentation trop riche
–> spasme anal, digestion difficile avec somnolence
  • Platina (au) … constipée « en voyage », changements d’habitudes, douleurs anales « en anneaux »
  • Plumbum (pb) … selles en « crottes de mouton », faux besoins et coliques.

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2 – la constipation atonique (vide de Qi -> inertie rectale : pas de besoins)… avec fatigue ++, dont la cause est à chercher (ex.: convalescence):

  • Kalium carb. … insuffisance cardiaque, … tout aliment semble se transformer en gaz
  • Hydrastis (k) … après abus de laxatifs, sur fond dépressif.
  • Baryta carb. … obésité et HTA, ralentissement général avec constipation chronique
  • Opium (ba)… parésie et sécheresse de la muqueuse intestinale + flatulence

Dr. Reckeweg® R95 … ALFALFA Comp. Tonique (Phosphoricum acidum D2, Avena sativa TM, Calcarea phos. D3, China TM, Cinnamonum TM, Ginseng TM, Hydrastis TM, Magnesia phos D3, Nux vomica D3)

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3 – la constipation par sécheresse (vide d’eau du rein –> chaleur)

  • Bryonia alba (ph)
… langue blanche, fièvre avec soif intense
  • Lycopodium (al) … sécheresse et inactivité rectale, ballonnements abdominaux, hémorroïdes
  • Alumina (al) … selles dures et noueuses avec mucus, anorexie, langue sèche et crevassée
  • Natrum mur. (na) … langue « en carte de géographie », selles dures et sèches

Le plus souvent secondaire à un déséquilibre ou traitement hormonal, selon le sexe :

Dr. Reckeweg® R19 EUGLANDIN M … équilibre hormonal masculin : Thymus D12 + Thyroïdea D12 + Hypophysis D12 + Pancreas D12 + Surrenale D12 + Testis D12

Dr. Reckeweg® R20 EUGLANDIN F … équilibre hormonal féminin : Thymus D12 + Thyroïdea D12 + Hypophysis D12 + Pancreas D12 + Surrenale D12 + Ovarium D12

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4 – la constipation par « glaires » –> alternance constipation/diarrhée

  • Aesculus (s) … hémorroïdes, pesanteur ano-rectale
  • Antimonium crudum (as) … patient glouton –> nausées, ténesme, contexte d’eczéma ?
  • Graphites (ch) … patient mou, gras, frileux, gaz fétides, prolapsus rectal, hémorroïdes.

Certaines plantes utilisée sont franchement laxatives, ainsi : Arctium lappa (mg) la Bardanne, Chelidonium majus (ph) cholagogue, Jalapa (mg), Rhamnus frangula (la Bourdaine), Rheum (mg) la Rhubarbe, Cassia angustifolia (al) le Séné qui contiennent des anthraquinones. Elles ne doivent pas être utilisées trop régulièrement, car le risque de paresse intestinale secondaire et de fuite potassique est réel.

Dr. Reckeweg® R 37 … COLINTESTON. Antispasmodique et déconstipant (Alumina D12, Bryonia D4, Colocynthis D4, Lachesis D30, Lycopodium D4, Mercurius D8, Nux vom. D6, Plumbum D12, Sulfur D12).

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Les diarrhées fébriles (néfaste food ?)

L’accélération du transit est due à un agent pathogène (la coproculture identifiera le germe). Dans les cas aigus, un bilan hydro-électrolytique peut s’avérer indispensable.

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–> Sans atteinte de l’état général :

  • Aconit (s) … diarrhée verte, suite de coup de froid sec, hyperthermie brutale, agitation, soif. Le patient se plie en deux sans soulagement (contraire de China).
  • Gambogia (mg) … selles en jet, fétides, soulageant le malade. Sensation de brûlure persistante à l’anus.
  • Mercurius solubilis (hg) … selles verdâtres, sanguinolentes ou visqueuses avec ténesme ++, sueurs, aggravé la nuit (tableau de cholécystite).

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–> Avec atteinte marquée de l’état général : les cinq « remèdes du choléra »

  • Arsenicum album (as) … suite d’ingestion d’aliments avariés = agitation, diarrhée brûlante,
  • Camphora (stade 1) … selles peu abondantes, collapsus, mais ne supporte pas d’être couvert.
  • Veratrum alb. (st. 2) … sueurs profuses, douleurs crampoïdes, sueurs froides, > par la chaleur. Cuprum metal. (st. 3) … douleurs crampoïdes ++ , ténesme, faiblesse, selles noires.
  • Carbo vegetabilis … l’état de choc (algidité).

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Traitements adjuvants : Argile (ex. : Smecta), Charbon ou Tanin officinal

Complexes homéopathiques du lab. Reckeweg :

Dr. Reckeweg® R4 … ENTEROCOLIN. Entérocolite aiguë, diarrhée infectieuse (Baptisia D4, Chamomilla D4, Chininum ars. D3, Colocynthis D6, Ferrum phos. D8, Merc. corr. D5, Oleander D6, Phosphoricum acid. D3, Rhus tox. D4, Veratrum album D6)

Dr. Reckeweg® R1 ANGINACID (si fièvre) … modulateur de l’inflammation : Apis mel. D4 + Baryta mur. D6 + Belladonna D4 + Calcarea iod. D4 + Hepar sulf. D12 + Kalium bichrom. D4 + Lachesis D12 + Teucrium marum D6 + Mercurius sol. D5 + Phytolacca D4

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Les cirrhoses hépatiques

La cirrhose est un processus auto-immun, caractérisé par de la fibrose et des nodules de régénération (plus ou moins gros). Il existe des cirrhoses atrophiques et hypertrophiques. Le diagnostic de cirrhose est en général facile.
Arguments cliniques : gros foie, angiomes stellaires, splénomégalie, circulation collatérale, ascite …

Arguments biologiques: TP (normal ou diminué), Gamma-GT et Transaminases, bilirubinémie (normal ou augmenté), AC anti HB B ou C (en phase active). Ce diagnostic de cirrhose hépatique impose la précision sur l’étiologie :

  • Habituelles = alcool (70% en France !), virose chronique (surtout HVB et C),
  • Parfois = hémochromatose, médicamenteuse, métabolique : NASH 
(Non Alcoolic Steato Hepatitis) : stress oxydatif + acides gras = peroxydation lipidique qui induit stéatose puis fibrose hépatique.
  • Rares = cholangite sclérosante, cirrhose biliaire primitive, foie cardiaque
  • Très rares = maladie de Wilson (hépatite au cuivre), déficit en Alpha1anti-Trypsine …

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                                                                               BNS d’une maladie de Wilson !

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La sévérité de l’atteinte : compensée ou décompensée ? (intérêt des BNS et du fibrotest)

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Traitements classiques = Interféron si viral (avec un taux de rechute élevé), actuellement nouvelles molécules ++

Si poussées ascitiques = diurétiques (sous surveillance du ionogramme) et ponctions.

 

Homéopathie : Carduus marianus (mg) jaunisse avec migraines, hémorroïdes, varices (et ulcères variqueux), Chelidonium (ph) douleur au bas de l’omoplate droite,
Taraxacum (ph) constipation avec selles blanches, dépression.

Dr. Reckeweg® R 7 … HEPAGALEN. La relance des fonctions hépato-vésiculaires
(Carduus mar. D2, Chelidonium D2, China D3, Cholestérinum D6, Colocynthis D6, Lycopodium D4, Nux vomica D4).

Dr. Reckeweg® R 13 … PROHAMORRHIN. Les hémorroïdes, saignements, fissures (Aesculus D2, Collinsonia D4, Graphites D8, Hamamelis D3, Kalium carbonicum D6, Lycopodium D5, Nux vomica D4, Paronia D3, Sulfur D5, Nitricum acidum D6).

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Bibliographie :

« Spécialités homéopathiques » Lab. Dr. Reckeweg = https://www.labohomeo.swiss/fr/ (http://www.reckeweg.de)

« Matière médicale thérapeutique » de Paul Kollitsch (1955, réedition Hélios 1989)

« Matière médicale diathésique » et « Répertoire de médecine intégrée »   Françoise et J.Yves HENRY (2007, IMH)

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