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Covid19, suite et fin …?

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Un « clap de fin » américain …

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Dans le même temps, Olivier Véran, ex-ministre de la santé, sort un livre où il avoue s’être trompé au début sur le port des masques … Que fait-il penser des niaiseries du responsable de ce fiasco ?

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Les millions de vaccins utilisés sont toujours « expérimentaux » …

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Parmi les nouveaux qui sont en phase de tests, on nous en annonce un qui a pour vecteur le virus de la variole des chevaux ! ça fait envie, non ?

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Maintenant en 2023 …

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Mais il y a d’autres victimes …

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Et puis … Pourquoi une nouvelle polémique contre Didier Raoult et l’IHU Méditerranée?

Surtout pour ressasser toujours les mêmes arguments ?! A l’IHU de Marseille, on n’a pas voulu suivre la doxa politico-industrielle qui devait mener à la vaccination obligatoire contre le COVID-19 avec un nombre limité d’injections à disposition, celles de quelques géants de l’industrie pharmaceutique qui ont confisqué l’Etat au profit de leurs intérêts privés (la définition même du “fascisme” comme le rappelle Jean-Dominique Michel).

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En réalité, la rage qui s’est déchaînée, une nouvelle fois, ces derniers jours, contre les chercheurs de l’IHU Méditerranée et, plus particulièrement, Didier Raoult, vient de quelque chose de très précis: le stockage sur des serveurs indépendants, en Chine et aux Etats-Unis, des données concernant le traitement de 30 000 patients à Marseille, pendant les mois du COVID-19. Désormais ces données sont infalsifiables et accessibles, pour prouver qu’il était possible de procéder autrement que par la politique sanitaire compliquée et inefficace (de la plupart) des gouvernements occidentaux. Voilà qui est impardonnable !

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La rage vient de ce que cette mise à disposition de la science internationale de données incontestables signe en réalité la défaite des politiques officielles, elles-mêmes dictées par des intérêts privés. C’est un fil directeur dans le parcours de Didier Raoult: depuis longtemps, il défend, envers et contre tout, la liberté des chercheurs contre les bureaucraties des organismes de recherche et les contraintes étatiques. Mais le médecin-chercheur de Marseille entrera dans l’histoire pour n’avoir pas flanché quand la pression officielle a été accrue du lobbying des grandes entreprises. Honneur à un universitaire et praticien hospitalier qui préserve, malgré la violence des attaques dont il est la cible, l’héritage occidental et la pratique de la liberté scientifique !

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Vous connaissez la fable du lièvre et de la tortue. Comme les meilleures fables de La Fontaine, elle dit toujours quelque chose de notre époque et de notre humanité. Ainsi je suis de plus en plus tenté de lire, dans Le Lièvre et la Tortue, une allégorie de la guerre d’information qui fait rage à notre époque, et appliquée à la crise sanitaire.

Le lièvre, c’est la propagande. La propagande étatique et médiatique, sûre d’elle, et qui fonce sans se poser de questions. La tortue, c’est le bon sens et la droiture morale, rigoureuse et honnête… sûre d’elle également, mais qui, elle, avance malgré les quolibets et les embûches.

Et je crois que nous arrivons au moment où le lièvre, sûr de son fait et d’avoir remporté la partie en courant partout sur les plateaux télé, se repose sur ses lauriers, et se fait dépasser par la modeste tortue qui gagne la bataille de la vérité scientifique et éthique. C’est ainsi que la vérité avance, sans fanfare ni trompettes.

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Ces tout derniers jours ont été féconds en mètres gagnés par notre tortue.

Injections anti-Covid et troubles menstruels : le lien officialisé

Je me souviens comme si c’était hier de la violence et le mépris avec lesquels les médias mainstream ont traité, à l’été 2022, la multiplication des témoignages de femmes racontant les bouleversements de leur cycle menstruel à la suite de leur première injection anti-Covid.

Pourtant, la justesse de leur combat – et l’injustice du procès d’intention dont elles ont été victimes – viennent d’être reconnues par la recherche et la communauté médicale. Mercredi 24 janvier 2024, des médecins ont mis en évidence une augmentation de 20 % du risque de saignements menstruels abondants à la suite de l’injection d’un produit à ARNm. Ce lien de cause à effet a été publiquement admis par l’État, via l’Assurance maladie (1).

C’est une étape importante sur le long chemin de notre tortue.

Heureusement, elle n’a pas tardé a marqué une autre étape importante, pas plus tard que la semaine dernière.

Ce que révèlent les données de 99 millions de citoyens vaccinés

Une vaste étude menée sur les données de 99 millions de personnes vaccinées à travers le monde a permis de confirmer statistiquement ce que presque tout le monde a constaté autour de soi : la multiplication des problèmes cardiaques ou neurologiques à la suite des injections anti-Covid.

« Cette analyse multi-pays a confirmé les signaux de sécurité préétablis pour la myocardite, la péricardite, le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose du sinus veineux cérébral », affirment les auteurs de l’étude[2].

Cette étude est décoiffante car le « taux de confiance » établi entre les injections et les effets secondaires est de 95 %.

Elle confirme également les accidents anormaux qui se sont multipliés chez certaines tranches d’âge : « Une vaste étude de cohorte portant sur 23,1 millions d’habitants dans quatre pays nordiques a révélé un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans, sur la base de 4 à 7 événements excédentaires en 28 jours pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose de BNT162b2, et entre 9 et 28 pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose d’ARNm-1273 [3] »

Et, plus loin : « les individus vaccinés à l’ARNm étaient deux fois plus susceptibles de développer une myocardite/péricardite que les individus non vaccinés, avec un rapport de taux de 2,05 »[4].

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Faisons un bond de deux ans en arrière …

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Les aveux du pr. Delfraissy = https://www.youtube.com/watch?v=6hdOAE_0BiU&ab_channel=L%27invit%C3%A9

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Nous sommes aujourd’hui en février 2024 et, si nous faisons un bond de seulement deux ans en arrière, que constate-t-on ?

Que tous ceux qui alertaient sur la multiplication des problèmes cardiaques ou de syndromes neurologiques tels que Guillain-Barré chez les vaccinés étaient taxés de complotistes, et que ceux qui invitaient à la prudence et à ne pas foncer tête baissée dans la vaccination de masse étaient catalogués « antivax » !

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Je voulais comprendre comment le fait de rappeler les principes de précaution et de consentement éclairé en médecine pouvait faire, aux yeux de certains journalistes, de nous des « fachos » (c’est le terme employé en une).

Le rédacteur en chef de ce journal, se présentant comme philosophe, se nomme Raphaël Enthoven. Il est connu pour être l’ancien amant de Carla Bruni, et le compagnon de l’actuelle directrice de France Inter. Ce « philosophe », donc, faisait à la même époque parler de lui pour avoir traité de « cons » et de « monstres » ces mêmes personnes qu’il cataloguait comme « antivax »[5].

Un an plus tôt, L’Express titrait déjà, en citant Raphaël Enthoven : « Les anti-vaccins représentent une maladie incurable[6] ».

Pourquoi est-ce que j’évoque ici Raphaël Enthoven ? Parce que c’est l’un des lièvres de notre histoire. Il est plus bête que méchant, surtout il est dogmatique, manie l’amalgame avec talent, morgue et persévérance.

En faisant des recherches pour cette lettre, je suis ainsi tombé sur cette autre « Une » de son journal, datant du mois d’août dernier et proclamant « Naturopathes, gare aux gourous » 

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Je vous retranscris donc ce qu’il y a d’inscrit sous ce titre : « Des pseudo-thérapeutes mènent la fronde antivax et relaient des théories d’extrême-droite ». Comme le dit le proverbe : « Errare humanum est, persevere diabolicum ». Commettre une erreur est humain, y persévérer est diabolique.

Je me demande encore par quel prodige des « journalistes » faisant automatiquement de naturopathes des fascistes parviennent à dormir la conscience tranquille. Pourtant, je vous le disais, le lièvre est actuellement rattrapé par les faits… et l’opinion. Mais, pour s’en rendre compte, il faut changer de journal.

« La séquence vaccinale a vu la police sanitaire se substituer à la santé publique »

Parmi les nombreuses fautes morales commises par l’État français au nom de la crise sanitaire, la mise au ban des soignants refusant de se faire injecter les produits expérimentaux de Pfizer et Moderna reste l’une des plus sales. Face à la bêtise et à l’aveuglement dogmatique d’un journal comme « Franc-Tireur », j’avoue avoir eu les larmes aux yeux en tombant sur la Une du « Monde diplomatique » de ce mois de février : « Soignants suspendus, autopsie d’une erreur« 

« Franc-Tireur » est un journal d’opinion âgé d’à peine deux ans, et « Le Monde diplomatique » une publication plus solide de 70 ans, cousine du « Monde » mais plus indépendante que cette dernière publication également fondée par Hubert Beuve-Méry.

Mais ceci n’explique pas tout.

Il faut beaucoup de déontologie et, tout simplement, d’honnêteté intellectuelle pour reconnaître que les choix faits dans un passé encore tout récent étaient mauvais.

Et c’est ce que font, dans cet article[7], ses auteurs Alexandre Fauquette et Frédéric Pierru, avec une lucidité et un sens de la formule admirables.

L’article débute ainsi :

« « Antivax », « complotistes »… Les soignants qui ont refusé la vaccination ont subi l’opprobre, en plus des suspensions. Leurs décisions n’étaient pourtant pas étrangères à la rationalité mais l’exécutif ne les a pas écoutés. Trop occupé à faire entendre sa raison. »

Les auteurs rappellent date après date les choix politiques effectués par Emmanuel Macron et son gouvernement qui ont conduit à ce scénario terrifiant : « la séquence vaccinale a vu la police sanitaire se substituer à la santé publique [8]».

Ils racontent l’implacable enchaînement des faits à partir de la mi-juillet 2021 aboutissant à ces scènes que l’on croyait réservées aux dictatures nazies et soviétiques : les soignants « sont expulsés parfois par un vigile manu militari de leur service où ils étaient pourtant considérés et bien évalués ; certains sont même convoqués à la gendarmerie ou au commissariat. »

Au terme de l’enfer de presque deux ans qu’ils décrivent – des carrières abandonnées, des familles effondrées, des vies gâchées – les auteurs écrivent (j’en ai eu la gorge serrée) :

« Or souvent ces soignants voyaient juste. La plupart savaient, pour avoir été sur le pont en 2020, dans des unités Covid, que la maladie tuait prioritairement des personnes de plus de 80 ans (l’effet « moisson ») ou des gens atteints de comorbidités (obésité, diabète, hypertension, immunodépression). Ils ont aussi constaté que la vaccination vantée fin 2020 par M. Macron n’avait rien de miraculeux . Dès lors, fallait-il faire autant de dégâts humains pour un vaccin qui s’est avéré peu efficace pour empêcher la transmission d’une maladie menaçant en premier lieu la vie des plus âgés et certains malades chroniques ? Car il y a aussi eu des dommages collatéraux ; la suspension a brisé des familles et plongé des enfants dans la précarité. En tout état de cause, le président de la République a préféré politiser le vaccin et banaliser le recours à l’État d’exception plutôt que de faire de la santé publique .[9] »

Merci, messieurs, de me redonner un peu foi dans le journalisme français.

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Le chemin de la tortue est tout tracé, mais il est encore long

L’article du Monde diplomatique est, à mes yeux, un jalon important sur ce chemin de vérité et, même j’oserais dire de réconciliation nationale, de notre tortue. Alors, je ne me leurre pas : je sais que cette vérité et cette prise de conscience qui adviennent peu à peu ne feront guère le prime-time des chaînes de télévision.

Je ne m’attends pas, non plus, à un mea culpa de la part d’Emmanuel Macron ou de son ministre de la santé de l’époque, Olivier Véran. Ce serait, pour eux, non seulement admettre qu’ils se sont trompés, mais qu’ils sont responsables d’un nombre incalculable de vies brisées. Mais, peut-être nos futurs dirigeants et nos futurs soignants apprendront-ils de ces erreurs historiques.

Surtout, le chemin de notre tortue est encore long. Car si l’on peut déjà faire le bilan des ravages provoqués par la suspension des soignants résistants et des effets secondaires cardiaques et neurologiques provoqués par les injections anti-Covid, il est un droit d’inventaire beaucoup plus vaste qui reste à faire.

Ce droit d’inventaire concerne les récidives et les apparitions de maladies chroniques et en particulier de cancers provoquées par ces injections anti-Covid. J’étais encore, il y a quelques jours, auprès de thérapeutes qui font face à une recrudescence de consultations pour cause de cancers. Tous ces patients vivant une rechute foudroyante ou un diagnostic inattendu ont tous le même point commun. Je ne vous fais pas un dessin.

Ce lien de cause à effet-là sera plus long à démontrer. Les dégâts liés à la nature de l’ARNm utilisé dans ces produits expérimentaux commencent à peine à être compris. Le chemin de notre tortue est encore long. Et il est jonché de victimes dupes de notre lièvre.

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À quel point les pandémies sont-elles tueuses ?

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Je me suis posé cette question l’autre jour lorsque j’ai lu les dernières statistiques du gouvernement sur la mortalité. En effet, selon un récent rapport de l’INSEE, plus de Français sont décédés APRÈS la pandémie du COVID que pendant. Le gouvernement, sur son site officiel, ne peut dès lors que se plier devant les chiffres : « Les décès sont plus nombreux en 2022 qu’au cœur de l’épidémie de Covid19, marquée par un écart aux projections de +7,8 % en 2020 (48 400 morts supplémentaires) et +6,9 % en 2021 (+ 42 700 morts). On attendait en 2022, 8 000 décès de plus qu’en 2019, or on a un excédent de 53 800 décès, + 8,7 % ». Ou encore : “En 2022, 673 637 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 27 janvier 2023, soit 9,8 % de plus qu’en 2019 (+ 60 181 décès).”

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Ces chiffres sont des faits. Il n’y a aucun complot là-derrière. Tout est là, devant nos yeux. Et c’est à nous maintenant de tirer les conclusions, car le gouvernement, lui, n’ose pas commenter ces statistiques. Cela remettrait douloureusement en question les campagnes de vaccination…

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Sources :

[1] « Primovaccination Covid et saignements menstruels abondants : une étude montre un lien de causalité » Ameli. 2024

[2] K. Faksova, D. Walsh et al. « COVID-19 vaccines and adverse events of special interest: A multinational Global Vaccine Data Network (GVDN) cohort study of 99 million vaccinated individuals » ScienceDirect. 2024

[3] Karlstad Ø, Hovi P, Husby A, et al. « SARS-CoV-2 Vaccination and Myocarditis in a Nordic Cohort Study of 23 Million Residents. » JAMA Cardiol. 2022

[4] Cf n.2

[5] Faouzi Asmoun « Le philosophe Raphaël Enthoven crée la polémique en traitant les antivax de « cons » et « de monstres » » La Dépêche. 2021

[6] Thomas Mahler. « Raphaël Enthoven : « Les anti-vaccins représentent une maladie incurable » » L’express 2020

[7] Alexandre Fauquette et Frédéric Pierru « Soignants suspendus, autopsie d’une erreur » Le Monde diplomatique. 2024

[8] Le Monde diplomatique n°839, p.16

[9] Le Monde diplomatique n°839, p.17

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Depuis la crise du COVID-19, les médecins américains observent une tendance alarmante : une augmentation des cancers rares et inhabituels. Contrairement aux cas typiques, de nombreux patients sont jeunes et sans antécédents familiaux de la maladie. En 2022, environ 1,9 million de nouveaux cas de cancer ont été diagnostiqués aux États-Unis, avec environ 609 000 décès. Les projections pour 2023 suggèrent une tendance similaire !

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