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Cystites – colibacilloses

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Le diagnostic de cystite simple est en règle générale facile (pollakiurie, impétuosité mictionnelle, mictions douloureuses). Près de 10% des femmes souffrent toutefois de cystites récidivantes : des explorations doivent alors être envisagées (ECBU, cystoscopie, urographie intraveineuse ou/et exploration urodynamique). La couleur des urines peut donner une première indication :

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L’urine peut être trouble, voire contenir un peu de sang et sentir mauvais. La cystite peut parfois s’accompagner d’une fièvre légère (moins de 38 °C) et d’un sentiment de malaise. Attention, l’apparition de fièvre doit inciter à la vigilance !

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Les femmes souffrent plus fréquemment que les hommes de cystites, souvent à répétition, car leur urètre (le canal qui relie la vessie à l’extérieur) est plus court. L’entrée de micro-organismes infectieux – généralement des bactéries Escherichia coli – dans la vessie s’en trouve facilitée. Le rôle des rapports sexuels est prépondérant chez les jeunes, le diabète, l’utilisation d’un diaphragme ou une hygiène vaginale inadaptée doit être recherchée.

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Le « syndrome de miction douloureuse » (Lin) est en MTC une « chaleur sur la Vessie », expression d’une « chaleur dans le réchauffeur inférieur » (Rein-Foie) = cystalgie, pollakiurie et pyurie.
En cas de cystite, la médecine chinoise recommande en premier lieu d’éviter les aliments sucrés, pimentés ou gras, le tabac, l’alcool ou encore le fromage. Il est également déconseillé de manger : ciboulette, oignon, ail, graine de fenouil, vinaigre, arbouse, cerise, châtaigne, litchi, crevettes, viande de mouton et de bœuf. En revanche, les fruits, les légumes frais et certaines légumineuses sont recommandés, car ils favorisent la production d’urine et la diminution de l’humidité

La MTC en distingue six mécanismes de cystites qui correspondent à des remèdes homéopathiques précis :

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1 – La chaleur-Humidité par « vide de Rate-pancréas » … (exemple diabète) : urines troubles -> rétention / Remèdes de ce type en homéo.  :

  • Apis mel. (hg) … brûlure , douleurs brûlantes et piquantes du méat, lors de la miction. Personne très agitée, pas de soif. Amélioré les fesses dans l’eau froide.
  • Belladonna  … douleur sourde et pressante dans la région pelvienne inférieure qui est  chaude. Douleur fulgurante dans la vessie lors du mouvement. Incontinence (écoulement continu d’urine). Mictions fréquentes et abondantes. Il y a une grande soif d’eau froide et la personne est très agitée. 
  • Cantharis (ca) +++ … ça « brûle fort et tout le temps ». Douleurs piquantes/brûlantes/coupantes avant, pendant et après la miction, avec envie constante et impérieuse d’uriner, mais ne peuvent uriner que goutte à goutte.

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Cantharis

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  • Capsicum (au) … aggravé les fesses dans l’eau froide (différent d’Apis), avec otite ou hémorroïdes.
  • Formica rufa (ac) … symptôme entéro-rénal typique (après une diarrhée), avec flatulences

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2 – La « Pierre, car la chaleur évapore les liquides » … micro-lithiase : calculs dans les reins ou la vessie / Remèdes de ce type en homéo.  :

  • Benzoïcum acidum (ac) … cystites, diarrhée et arthralgies goutteuses
  • Berberis (al) … dépôt blanchâtre dans les urines (antécédents de lithiase ?), gauche.
  • Lycopodium (al) … sur fond de diabète et de dépression masculine, à droite.

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3 – Le « vide de Qi + plénitude du foie par tension émotionnelle » = ballonnement abdominal et fuites urinaires / Remèdes de l’équilibre psychologique :

  • Arnica montana … traumatisme local répété : rapport sexuel ou sondage urinaire (avec hématurie)
  • Ignatia amara (na) … dyskinésie des sphincters, après contrariétés ++
  • Lilium tigrinum (mg) … avec migraines
  • Staphysagria (na) … rancune : cystite après rapports sexuels. Ca brûle surtout avant et après miction.

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4 – Le « Sang par lésion de Rate ou/et Feu du Foie » (fureur ?) … hématurie / Remèdes de ce type en homéo. :

  • Arnica (hg) … contexte traumatique (sondage ?)
  • Mercurius corrosivus … remède utile en cas de cystite sévère et douloureuse. Spasmes très douloureux de la vessie. Envie fréquente d’uriner. Brûlure intense dans la vessie et l’urètre. Douleur lancinante remontant de l’urètre jusqu’à la vessie. Douleur brûlante avec peu ou pas d’urine. L’urine est sombre/sanglante = albuminurie, oligurie (néphrite ?) et ténesme. Soif inextinguible de boissons fraîches. 
  • Terebenthina (mn) … avec coliques et hématurie de sang noir

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5 – Les « urines troubles » = pus, urétrite / Remèdes de ce type en homéo. :

  • Argentum nitricum … uréthrite après rapport sexuel, antécédent de prostatite ou de MST ?
  • Hepar sulfur (ca) / Kreosotum (ac) … les urines sentent mauvais ++
  • Uva ursi (al) ou Pariera brava … hématurie + albuminurie, brûlure en début de miction.

NB. Lorsqu’une infection urinaire survient chez un homme, elle est souvent liée à une hypertrophie bénigne de la prostate ou à une inflammation de celle-ci (prostatite).

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6 – La « Fatigue (aggravation des 5 cas précédents), par vide de Rein (grosse prostate, hystérectomie ?) qui se manifestera par un Yang de Vessie » : mictions fréquentes ou anurie / Remèdes de ce type en homéo. :

  • Arsenicum album … post-chimiothérapie ou traitement anti-inflammatoire prolongé ?
  • Sarsaparilla (am) … cystite et dépression, avec sécheresse (peau ridée ou eczéma). Douleur intense pendant et à la fin de la miction ; ne peut uriner que par gouttes. Souvent un sédiment urinaire.
  • Silicea … suppuration intermittente et/ou Equisetum hiemale (si)… Ce remède peut être utile en cas de désir urgent d’uriner accompagné de  sensations de picotements et de démangeaisons. Mictions  fréquentes et abondantes d’ urine claire.  Sensation de plénitude dans la vessie, non soulagée par la miction. Douleurs brûlantes et  coupantes pendant la miction. miction impérieuse + cystalgie en fin de miction.

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J’ai constaté à de nombreuses reprises que des confrères homéopathes avaient pour habitude, devant une cystalgie, de commencer par donner un antibiotique (monodose ou traitement de trois jours) ! J’ai pour ma part toujours privilégié, dans ces situations aiguës, l’homéopathie complexiste …

  • Soit avec des formules simples (CHU), détaillées dans ce site : « Calcium comp. », « Sulfur comp. », « Lachesis comp. » +  « Cantharis comp. » ou « Cinnabaris comp. »
  • Soit avec les formules du lab. Heel : Cantharis com., Solidago comp., Populus comp.
  • Soit complexes :

–> Dr. Reckeweg® R 18 Cystophylin … utilisé en cas de troubles des voies urinaires basses, de vessie irritable (Berberis vulgaris D4, Equisetum hiemale D6, Eupatorium purpureum D6, Cantharis D4, Dulcamara D4)

–> Dr. Reckeweg®R64 Nephralbin. En cas d’irritations des voies urinaires hautes (Helonias dioica D3, Kalium arsenicosum D4, Phosphorus D6, Plumbum metallicum D12, Solidago virga aurea D2).


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Micronutrition :

En attendant le verdict de la cytobactériologie des urines et du BNS, l’on peut conseiller une tisane à l’effet antiseptique urinaire : Buchu, Busserole, Bruyère, Canneberge, Cassis, Lin, etc … La canneberge (cranberry ou Vaccinium macrocarpon) a la réputation d’avoir un effet préventif sur les infections urinaires chez la femme adulte. En effet, des substances contenues dans ce fruit (proanthocyanidines) diminueraient la fixation de certaines bactéries E. coli sur les parois des voies urinaires.

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Quelques formules :

  • du laboratoire des Granions : « DUAB fort« 
  • CYS-Control (lab. Arkopharma)
  • Femannose (lab. Pharma 360)

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En Chine, le haricot mungo est utilisé pour combattre les symptômes de la cystite. Il est connu pour sa capacité à clarifier la chaleur et à favoriser la production d’urine.

Pour lutter contre les cystites, la médecine chinoise recommande également le céleri. À lui seul, le céleri apaiserait des nombreux symptômes grâce à ses propriétés diurétiques. 

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Les complications : dans la plupart des cas, les cystites n’entraînent pas de complications. Toutefois, en l’absence de traitement, l’infection peut remonter le long de l’uretère (le canal qui relie les reins à la vessie) et atteindre le rein : c’est la pyélonéphrite.

  • Mercurius sol. … multiplication de germes = pyurie
  • Kalium bichromicum / Hydrastis (k) … inflammation des muqueuses (pas seulement urinaires)
  • Phosphorus … atteinte du parenchyme rénal (gravité ++)
  • ou Pulsatilla (si) … stases veineuses (cystite de l’enfant ++ ) // leucorrhée peu irritante.

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La chronicité : « Le colibacille fait le pont entre le Tuberculinisme et la Sycose » (Michaud).

NB. Le colibacille peut se comporter comme un « germe de sortie » (déséquilibre de notre flore saprophyte) suite d’infection, de vaccination, de corticothérapie…

Le Stock-nosode :

  • Colibacillinum (9 ch ou 200 K) … 1 dose / semaine, pour éviter les récidives.
  • ou Serum anti-coli (30K) … seul nosode utilisable en crise

Eventuellement :

  • Para typhoïdinum B … diarrhée et colibacillose de l’enfant
  • Proteus (200 K) … sur données de la bactériologie
  • ou Pyrogenium … si fébricule récidivant

Dans le cas d’une « cystites à urines claires », cherchez un virus ou une infection chronique (ex: chlamidiae, mycoplasmes …) et donnez : Thuya occ. (na) ou Medorrhinum 200K

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Apprécier et traiter les facteurs favorisants : ce symptôme affecte plus de femmes que d’hommes, se retrouve plus chez les constipés et les congestifs du petit bassin, mais aussi beaucoup de patient(e)s avec un psychisme particulier : passive, timide, irrésolue, hésitante, perte de mémoire …

On veillera à l’équilibre hormonal (histologiquement, la loge rénale se développe avec l’ovaire) :

  • Folliculinum … cystite « à urines claires », 3 grains 9 ch 1 fois/mois (le 14 ème jour du cycle)
  • Chimaphilla umbellata (al) … cystite chronique + mastodynie.
  • Graphites (ch) … sur engorgement lymphoïde et constipation.
  • Lachesis (ge) … troubles ménopausiques, hyperesthésie + hémorragies
  • Kalium iodatum … cystite avant la période des règles.
  • Senecio (fe) … cystite à la période des règles.
  • Sepia (mg) … ptose, fatigue + anxiété + tristesse. Pyelonéphrite gravidique.

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Organo et Sérothérapie : « Muqueuse urinaire » + « NEFRA » + « IMUNIMA » (étude sur 18 mois : 80% d’amélioration), avec « KARDIMA » si douleurs et congestion.

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Formules anthroposophiques (lab.Weleda, formules n° 365, 366, 608) :

  • Cystite aiguë : Alchemilla millef. D2 + Cantharis D3 + Equisetum D2 + Vessie D5
  • Cystite chronique : Kalium carb. D5 + Kalium sulf. D5 + Teucrium marum D5
  • Atteinte du rein : Argentum met. D3 + Mercurius vivus D3 + Thuya occ. D6
  • Cystite compliquée : Equisetum Silicea culto D3, 15 gouttes par jour.

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De nombreuses plantes des BNS ont une pathogénésie de cystite :

  • Althæa off. (ca) la guimauve  … avec bronchite
  • Asparagus off. (ca) … avec rhumatismes
  • Juniperus communis (ch1) … néphrite et eczéma
  • Ocimum basilicum (ca) … avec troubles digestifs
  • Physalis alkekengi (ca) … avec vertiges
  • Sarsaparilla (am) … cystalgie et eczéma fissuraire
  • Senecio (fe) … cystite à la période des règles
  • Solidago virga aurea (s) … sur fond d’insuffisance rénale ?
  • Teucrium scorodonia (na) … polypes vésicaux
  • Thlaspi bursa pastoris (na) … cystite et hémorragies utérines
  • Thuya occ. (na) … germe “de sortie” après une vaccination, une corticothérapie …

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Si vous souhaitez réaliser un BNS12 ou 24, cliquez sur ce lien : www.mybiobox.com

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NB. Les infections urinaires sont fréquentes au cours de la grossesse, mais elles ne sont pas toujours faciles à identifier. Pour cette raison, chaque mois, le médecin ou la sage-femme en charge du suivi de la grossesse peut demander à la future mère de réaliser des bandelettes urinaires afin de dépister une éventuelle infection urinaire (sans cystalgie). Lorsque l’utérus grossit, il pèse sur la vessie et les canaux urinaires ce qui entraîne des envies d’uriner plus fréquentes. Paradoxalement, il est fréquent que les femmes enceintes n’arrivent pas à vider complètement leur vessie, car les hormones de la grossesse diminuent le tonus de la vessie. L’urine qui reste dans la vessie augmente le risque de cystite (en favorisant la multiplication des bactéries responsables de ces infections).

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Médecine ayurvedique 

Quand Vata assèche vos reins

Si vous êtes souvent sujet aux infections urinaires et aux cystites, cela signifie aussi que vos reins sont faibles à cause de déséquilibres en chaîne. En effet, c’est vata qui contrôle les reins et la capacité d’élimination du corps grâce à son sous-dosha apana vayu. Ainsi, un excès d’apana vayu, d’élimination, entraîne une perturbation de vata, ce qui va assécher les reins et aggraver à la fois vata, pitta et kapha. Plus précisément, ce déséquilibre affecte le sous-dosha ranjaka pitta (qui se situe au niveau du foie, de la rate, de l’estomac et de l’intestin grêle). Ce dernier est, comme apana vayu, une énergie descendante et va favoriser l’accumulation d’ama, de toxines, laquelle va provoquer une infection toxique et inflammatoire. L’excès du sous-dosha apana vayu peut aussi affec- ter kapha et donner une congestion en augmentant les boursouflements.

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Quand Pitta enflamme votre vessie

En règle générale, les infections, les inflammations, la fièvre et les rou- geurs sont le signe que le dosha pitta est augmenté et déséquilibré (ranjaka pitta) – c’est le cas dans l’infection urinaire. On se retrouve notamment en présence de toxines et de bacté- ries. Ces toxines s’accumulent d’abord dans le côlon puis engendrent des réactions en chaîne jusqu’au système immunitaire et à la flore fécale, dont les microbes vont envahir la vessie. En ayurvéda, le nom de cette maladie est mutrakrichra.

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Traitement :

Ensuite on utilisera l’aide des plantes et médicaments ayurvédiques. Côté plantes, nous avons :

Gokshura (Tribulus terrestris) : les feuilles séchées sont réduites en poudre et prises avec de l’eau ou du miel. Cela permet de réduire l’inflammation de la vessie, les œdèmes d’urètre et de vessie. C’est un diurétique qui permet d’équilibrer la fonction rénale.

Punarnava (Boerhavia diffusa) : ce diurétique élimine les œdèmes. Il fortifie le corps entier, purifie le sang, réduit l’urée et la créatinine et diminue la douleur.

Varun (Crataeva nurvala) : la pré- paration alcoolique de varunasav purifie le sang, c’est un diurétique à prendre avec de l’eau.

Guduchi (Tinospora cordifolia) : très connue en ayurvéda, cette plante aide à guérir de plusieurs problèmes. Elle est antivirale, fébrifuge, immuno-booster en général. Elle calme pitta et les douleurs. À prendre avec de l’eau.

• Et aussi : Shilajit (Mineral pitch, Asphaltum), Chhandanm (Santalum album), Kantakari amalaki, Pashanbhed, Yashtimadhu (réglisse), Dharu haldi, etc.

Toutes ces plantes sont bonnes pour calmer pitta. Elles sont anti-inflammatoires, diurétiques, immuno-boosters. Il faut les prendre en poudre ou en décoction avec de l’eau ou du miel, ou même avec du sucre roux non raffiné, selon les conseils de son médecin ayurvédique.

Parmi les préparations ayurvédiques, on peut proposer :

− Chandraprabha vati 

− Varunadi kwath 

−  Punarnavadi kwath 

−  Chandranasav 

− Bangshil.

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