Maladie génétique qui s’est répandue en Afrique sub-saharienne, car les patients porteurs de cette tare sont moins sensibles au paludisme). La cause est bien connue : il s’agit d’une mutation d’un gène codant l’hémoglobine. Cette mutation modifie l’affinité de l’hémoglobine pour l’oxygène, ce qui dans certaines conditions d’hypoxie, déforme le globule rouge et lui donne la forme en faucille caractéristique de la maladie.
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Or, le génotype n’explique pas les formes variées de l’évolution de cette affection : certains patients présentent des crises algiques, d’autres des hémolyses, des infarctus, ou simplement une anémie chronique … Il existe donc d’autres facteurs qui influencent l’expression génomique :
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Ces facteurs apparaissent à l’analyse BNS (normalement, tous les tests devraient être à zéro !) et leur correction physiologique améliorera notablement l’état clinique du patient et son évolution ultérieure :
Les BNS 24 de ces patients sont donc très perturbés. Une correction spécifique (plante et sels) permet une amélioration symptomatique notable (le profil devra être refait chaque année et le traitement adapté en fonction de l’évolution symptomatique).
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Phytothérapie traditionnelle locale : tisanes avec Cajamus cajun (le pois d’angole), disponible aux Antilles, en spécialité torréfiée : « Kafénéo »
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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