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Mademoiselle/madame Platina (témoignage) : « Nous avions tout planifié : le jour, l’heure, l’endroit et cela a tout gâché, à force de vouloir que tout soit parfait, cela a été un fiasco total. Evidemment, j’étais folle amoureuse de lui, et même la plus petite caresse faisait monter en moi des rugissements de désir. J’étais vierge et la pénétration a été très difficile, après quelques vaines tentatives, il n’avait plus d’érection et heureusement pour moi cela s’est arrêté là, j’avais très mal …«
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Conium (au) = phobies sexuelles : parésies des refoulés ou abstinents, abandon de l’affectif et surcompensation scolaire, professionnelles ou religieuse.
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Natrum muriaticum … l’incommunicabilité de la spasmophile inquiète et renfermée : se sent perpétuellement incomprise et frustrée !!! Dysmorphophobie (cellulite ++), désir de « faire comme les autres filles« , mais ne peut pas se décider.
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Ses satellites : Ambra grisea (na) impressionnable, Ignatia amara (na) déception refoulée.
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Pensez aussi à : Arsenicum alb. (incapable de se détendre – veut tout contrôler), Baryta carb., Pulsatilla (la peur du sexe opposé) ou Silicea, Gelsemium (mn) timidité, appréhensions : la première fois .. à chaque fois ?! Kalium phos. (épuisement nerveux) …
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Eliminez, pour commencer les causes organiques, chirurgicales (rétroversion utérine) ou obstétricales (post épisiotomie), puis infectieuses (trichomonas, candida albicans …).
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Il existe trois types de dyspareunies :
Dans ces deux cas, recherchez une contraception locale qui peut provoquer une sécheresse (les gels, crèmes, tampons …) ou une irritation muqueuse (allergie au caoutchouc, stérilet sensibilisant l’utérus …) ou une vaginite atrophique de la ménopause.
3. profonde, tardive, au moment de l’orgasme ou après celui-ci. Dans ce cas, évoquez une affection gynécologique grave (annexite, une endométriose …) ou extra gynécologique (colite, cystites, lombalgies …).
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L’âge et les antécédents de la patiente orientent la démarche diagnostique :
–> Dyspareunie des premiers rapports : problème de résistance de l’hymen (dyspareunie superficielle) :
–> Dyspareunie liée à une rétroversion utérine : Sepia ou Helonia (mg) … utérus pesant, douloureux et leucorrhées.
–> Dyspareunie des carences hormonales de la ménopause : la sécheresse est le symptôme dominant, il faudra donc penser à : Alumina … sécheresse des muqueuses et anesthésie douloureuse de la zone périnéale (type syndrome de la queue de cheval ?), Natrum muriaticum, Petroleum ou à Causticum (am).
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Pensez aussi à faire vérifier la bonne statique vertébrale et le libre fonctionnement des articulations sacro-iliaques et de la symphyse pubienne (cas de nombreux problèmes en post-partum ++). Sans étiologie évidente (un cas sur trois) une prise en charge psychologique du couple peut s’avérer nécessaire (cf. « Il y a moins de femmes frigides que d’hommes maladroits » …).
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Douleurs et spasmes d’origine essentiellement psychologique – trouble qui touche essentiellement les nullipares :
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On peut aussi penser à :
Et à : Ambra gris. (na), Hamamelis (fe), Murex (cu), Origanum (na), Platina (au), Valeriana (na) … Tout dépend du psychisme associé !
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Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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