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La température centrale normale du corps humain est de : 37C° le matin 37,5C° le soir.
La fièvre est définie par l’élévation de la température centrale au dessus de : 37,5C° le matin et 38C° le soir.
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Examen physique du patient fiévreux : on observera dans un premier temps les constantes vitales permettant d’apprécier la tolérance de la fièvre :
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L’examen appareil par appareil recherchera des signes d’appel. Il doit toujours être orienté, dans un premier temps vers la recherche d’une origine infectieuse, car cela peut nécessiter un traitement en urgence :
1 – porte d’entrée et foyer primitif :
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2 – recherche d’une autre pathologie :
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La fièvre est un moyen de défense et d’adaptation qu’il convient d’observer et de respecter (autant que faire se peut). L’utilisation intempestive d’aspirine, de paracétamol et d’anti-inflammatoires divers complique le diagnostic, affaiblit l’organisme et rend problématique l’action de remèdes homéopathiques pourtant bien choisis. Si possible faire une courbe de température (prise rectale matin et soir, notée).
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Avec soif + Agité ——————
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Avec soif + Courbatures ——————
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Avec soif + abattement et peau moite (transpiration) ——————
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Avec soif + peau sèche (pas de transpiration) ——————
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Sans soif + abattement —————————-
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Le développement du phénomène infectieux se fera selon le terrain :
Fièvre suite de traumatisme : Aconit, Apis, Arnica, Calendula, Coffea, Iodum
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Ambulance de l’hôpital homéopathique de Buffalo aux USA, il y a plus d’un siècle
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Les remèdes des douleurs brûlantes (cf. les « grands brûleurs » de Nash) et leur cinétique d’aggravation :
— Améliorés par la chaleur :
1/ Arsenicum album … sécrétions excoriantes, froid externe et chaleur ressentie intérieurement
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2/ Phosphorus … faim ++ , douleurs du dos, des épaules ou des paumes des mains (en MTC « feux des 5 coeurs »)
— Améliorés par le froid local :
1/ Sulfur … pieds brûlants, rougeur et prurit des orifices
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2/ Iodum … mains et pieds brûlants
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A noter (nosodes = situations chroniques ou récurrentes) :
Psorinum … a une céphalée brûlante, c’est son seul symptôme amélioré par le froid !
Pyrogenium … a une fièvre constante, avec agitation et pouls lent si fièvre élevée ou au contraire un pouls rapide si la fièvre est modérée !
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Perte de conscience, raideur du corps, contractions violentes des muscles, mouvements convulsifs, perte ou trouble de la conscience, parfois accompagnés de bave et pouvant aller jusqu’à l’arrêt respiratoire.
Défaites les vêtements qui pourraient lui serrer le cou, protégez sa tête à l’aide d’un vêtement glissé dessous.
Quand les convulsions cessent, placez la victime en position latérale de sécurité et restez à ses côtés jusqu’à récupération complète. N’utilisez jamais la force pour immobiliser la victime, ne jamais mettre vos doigts dans sa bouche (même s’il se mord la langue).
S’il s’agit d’un nourrisson fébrile, épongez-le avec de l’eau tiède après l’avoir dévêtu. Ne pas s’affoler, 99 % des convulsions fébriles de l’enfant sont sans séquelles.
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NB. Méfiez-vous de l’usage abusif du PARACETAMOL ! Qui ne connaît pas le Doliprane®, l’Efferalgan® … , et même qui n’a pas chez soi l’une des 60 formules de paracétamols vendues en pharmacie ? La plupart des médecins et pharmaciens prescrivent et conseillent systématiquement des paracétamols pour les douleurs et les inflammations, les préférant à l’aspirine en raison de l’agressivité connue de l’acide acétylsalicylique.
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La consommation régulière de paracétamol n’est pas sans risques. Par exemple, selon les données fédérales, le Tylénol présenté comme un analgésique sans risque envoie jusqu’à 78.000 personnes à la salle d’urgence chaque année et aboutit à 33.000 hospitalisations par an. L’ingrédient actif qui est l’acétaminophène, est en plus la principale cause de l’insuffisance hépatique aiguë, selon une étude en cours financée par les National Institutes for Health. Pire, différentes études montrent qu’un léger dépassement de la dose quotidienne recommandée de 4 grammes pendant quelques jours peut entraîner une maladie grave et même la mort.
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Le plus surprenant est que mis à part ces dommages cités, une nouvelle étude a montré que l’acétaminophène des paracétamols réduit drastiquement l’empathie et la compassion humaine face à la douleur et la souffrance des autres ; cette étude a été publiée dans la revue « Social Cognitive Neuroscience et Affective » (Mischkowski et al., 2016).
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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