Formicum acidum

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La place de l’acide formique dans la médecine et la chimie est importante. Sous forme de teinture de fourmis – Formica rufa – elle a une place à part dans la pratique homéopathique.

Mais Apis et d’autres insectes contiennent de l’acide formique , également Urtica et de nombreuses autres plantes – parmi lesquelles, je suppose, est Lemna .

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L’acide formique est un médicament  homéopathique  de synthèse. Pathogénésie effectuée par le Dr John H. Clarke, de Londres, en 1909 :

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« Il y a environ deux ans et neuf mois, j’ai ajouté à mon alimentation quotidienne de un à deux grains de cette substance avec pour résultat qu’elle a produit les résultats suivants dans mon corps :

Polypes et matière fibreuse absorbés par mon nez.

Nez, langue, lèvres et quelques autres parties considérablement réduites en épaisseur .

Catarrhe chronique du nez, de la gorge et des intestins pratiquement guéri.

Les articulations raides de tout le corps se sont relâchées.

La myopie a diminué de 50 %.

Les yeux ont changé de couleur, passant d’un gris ardoise clair à une teinte plus foncée.

Varices à la jambe gauche et autres à la base du cou maintenant sans conséquence.

Apparence faciale et corporelle si altérée que même ma propre mère est perplexe et je peux rencontrer et converser avec des personnes qui me connaissaient autrefois très intimement sans que mon identité ne soit découverte. »

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L’acide formique est traditionnellement utilisé en homéopathie dans les crampes, fatigue musculaire anormale.

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