Comment arrêter une aggravation homéopathique

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Parfois, le chemin vers le bien-être implique une aggravation. Il s’agit d’une augmentation temporaire mais inconfortable des symptômes.

Bien que nous essayions d’éviter les aggravations, elles peuvent arriver. Même avec les meilleurs soins homéopathiques et la prescription la plus prudente. Mais nous devrions essayer de les minimiser. Parfois, nous devons les arrêter. Surtout s’il y a de la douleur, une grave décharge mentale ou une incapacité à dormir. À l’époque d’Hahnemann, il estimait qu’environ 10 % de ses patients étaient très sensibles aux remèdes. En général, les puissances faibles sont beaucoup plus indulgentes lorsque vous faites une erreur .

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1/ Toujours associer une basse dilution avec une haute dilution (méthode de l’homéopathie diathésique et des BNS)

2/ Evitez la répétition inutile de remèdes. Rappelez-vous qu’il n’y a pas de posologie en homéopathie ! Une fois qu’ils ont fait leur travail, mettez-les de côté. Ne les réutilisez que si les symptômes réapparaissent.

3/ Attendez. Souvent, avec les cas chroniques, vous voyez une légère augmentation des symptômes avec le Simillimum. C’est un bon signe. Attendez de changer de remède ou de prendre une autre dose pendant que le remède agit.

4/ Utilisez le remède antidote qui correspond à l’aggravation (voir liste du Gipson-Miller ci-dessous)

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NB. Des aggravations peuvent également survenir avec les puissances LM. Les personnes très sensibles peuvent également avoir des réactions avec les sels biochimiques (en 6 DH).

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Petit livre ancien, à présent introuvable des remèdes antidotes …

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