Glonoïnum

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La nitroglycérine est un explosif hautement volatil et réactif. Il a été découvert pour la première fois en 1847 mais a été rapidement abandonné suite à de nombreux décès dus à son utilisation. Dans les années 1860, après avoir découvert un moyen de le stabiliser, il fut réintroduit sous forme de dynamite.

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L’histoire rapporte que la nitroglycérine a été testée pour la première fois par des homéopathes en 1848, un an seulement après sa découverte. Ils l’utilisaient pour traiter les angines de poitrine, les maux de tête congestifs, les bouffées vasomotrices de la ménopause, les convulsions, l’afflux de sang dans la tête et le cœur, les pulsations dans tout le corps et la sensibilité à la chaleur.

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En 1879 seulement, la nitroglycérine fut aussi utilisée pour la première fois par les médecins allopathes pour traiter l’angine de poitrine. La médecine conventionnelle l’utilise en doses importantes de comprimés, sprays ou patchs sous de nombreuses marques telles que Anginine, Isordil et Nitromin. Les homéopathes l’utilisent sous la forme dynamisée, plus sûre, de Glonoinum pour de nombreux symptômes en dehors de ses effets cardiaques.

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Remède du groupe du Soufre, intermédiaire entre Aconitum et Lachesis (cf. P. Kollitsch)

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Psyché :

• Confusion dans des lieux familiers. « Perdu dans des endroits connus. »
• Peur d’un accident vasculaire cérébral (accident vasculaire cérébral).

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Soma :

• Maux de tête en casque, intenses, éclatants et pulsés. Tient la tête pour arrêter la sensation de martèlement.
• Maux de tête avec visage rouge, yeux rougis et carotides palpitantes.
• Céphalée congestive et pulsatile due à une insolation.
• Bouffées de chaleur ménopausiques (flashs).
• Douleurs d’angine de poitrine.

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Modalités : aggravé par la chaleur et le soleil