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Réponse. Oui. C’est un mythe qu’il n’y a pas « d’effets secondaires » avec l’homéopathie.
Chaque fois qu’un remède ou un médicament conventionnel est administré en surdosage, il peut produire des effets secondaires.
S’il n’en était pas ainsi, l’homéopathie ne pourrait pas mener ses essais pathogènes (plus communément appelés « provings »).
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La différence entre les effets secondaires chimiques des médicaments conventionnels et les effets secondaires énergétiques des remèdes homéopathiques est que les effets énergétiques sont généralement mineurs et ne nuisent pas, « n’empoisonnent pas » et ne créent pas de dépendance.
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Ils indiquent simplement que le remède a été administré à trop forte dose, trop souvent ou à une puissance inadaptée. Ou encore que vous vous êtes trompé de remède ! Une fois le remède arrêté, ils disparaissent.
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Sur le plan positif, cette aggravation momentanée semble avoir un effet fortifiant sur la vitalité de la personne.
Un homéopathe qualifié cherche non seulement à prescrire le bon remède, mais aussi à la bonne puissance, à la bonne taille de dose et à la bonne fréquence pour la sensibilité de la personne afin d’éviter les effets indésirables.
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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