Homéopathie et royautés …

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Dans cet article, l’homéopathe Dana Ullman identifie diverses personnalités royales qui ont soutenu et défendu l’homéopathie. Un tel soutien est venu des régents d’Angleterre, de Suède, de Norvège, d’Allemagne, d’Autriche, d’Italie, d’Espagne, de Prusse et de Russie.

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« Je crois que ce qui empêche les hommes d’accepter les principes homéopathiques, c’est l’ignorance, mais l’ignorance est criminelle quand des vies humaines sont en jeu. Aucun honnête homme devant les faits de l’homéopathie ne peut refuser de l’accepter. Il n’a pas le choix. Quand j’ai dû y faire face, j’ai dû devenir un suiveur. Je n’avais pas le choix si je devais continuer à être un homme honnête. … La vérité exige toujours l’adhésion et n’offre aucune alternative« . Sir John Weir , médecin du roi George VI et de quatre générations de monarques britanniques

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La reine Elizabeth II (1926-2022) est décédée à l’âge impressionnant de 96 ans… Elisabeth II avait son homéopathe attitré, le Dr Peter Fisher, qui n’était rien moins que le rédacteur en chef de la revue « Homeopathy » et le directeur de recherche au UCLH’s Royal London Hospital for Integrated Medicine.

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Le prince de Galles, devenu Charles 3, a nommé à ce poste un médecin qu’il connaît très bien : le Dr Michael Dixon, ce qui est une sorte de reconnaissance officielle par le roi des « pratiques de soin non conventionnelles ». Pour soigner son covid, il a d’ailleurs eu recours à des remèdes homéopathiques et phytothérapeutiques.

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Sa grand-mère, la « reine mère » (1900-2002) a vécu jusqu’à l’âge encore plus impressionnant de 101 ans. Cette longévité est peut-être due au hasard ou même à la génétique, mais elle peut être due aussi en partie au fait que les membres de la famille royale ont été des défenseurs actifs et des utilisateurs de l’homéopathie.

L’utilisation et la promotion de l’homéopathie remontent d’ailleurs à plusieurs générations dans les années 1830.  La reine Adélaïde (1792-1849), épouse du roi Guillaume IV, rendit publique pour la première fois son intérêt particulier pour cette « nouvelle médecine » en 1835. D’autres aristocrates britanniques partageaient les intérêts de la reine, dont le marquis d’Anglesey qui traversa la Manche pour se rendre à Paris pour le traitement par le fondateur de l’homéopathie, le Dr Samuel Hahnemann (1755-1843). La reine Adélaïde souffrait d’une grave maladie que les médecins de la cour ne pouvaient traiter. La reine a fait appel aux services de l’un des collègues les plus anciens et les plus fidèles de Hahnemann, le Dr Johann Ernst Stapf (1788–1860), qui l’a guérie, créant le premier des nombreux partisans de l’homéopathie de la royauté britannique.

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Divers rois et reines de Grande-Bretagne depuis la reine Adélaïde ont ouvertement recherché des soins médicaux auprès de médecins homéopathes. La reine Victoria (1837-1901) a été soignée par le Dr Frederick Quin, médecin personnel/homéopathe du prince Léopold des Belges, qui était le grand-oncle du prince Albert, l’époux bien-aimé de la reine Victoria. Un récent film populaire, Young Victoria , relate leur histoire d’amour ( www.imdb.com/title/tt0962736 ).

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La princesse May, qui devint plus tard la reine Mary (1865–1953), épouse du roi George V, dirigea les efforts de collecte de fonds pour déplacer et agrandir le London Homeopathic Hospital. Le roi George V (1865-1936) appréciait l’homéopathie parce qu’elle lui procurait le véritable avantage pratique de traiter son mal de mer, une condition qu’il avait souvent tendance à éprouver en raison de son penchant pour la voile.

Le roi George V était connu pour avoir été traité pour cette maladie avec du Tabacum , une dose homéopathique de tabac prescrite par son médecin homéopathe, le Dr Sir John Weir (1879-1971) [1] . Parce que fumer du tabac est connu pour provoquer des symptômes de vertiges et de nausées, des doses homéopathiques de ce médicament peuvent aider à soulager ces symptômes courants ressentis lors du mal de mer.

Plus récemment, une étude publiée dans une revue médicale publiée par l’American Medical Association a révélé que Cocculus compositum (alias Vertigoheel , un mélange ou une formule de médicaments homéopathiques) était aussi efficace qu’un médicament conventionnel contre les étourdissements… et était plus sûr. [2]   Cette étude a montré que le traitement homéopathique a montré une réduction cliniquement pertinente de la fréquence moyenne, de la durée et de l’intensité des attaques de vertige (étourdissements).

Ironiquement, son fils, qui deviendra plus tard le roi George VI (1895-1952), a eu une expérience complètement différente avec le tabac. En revanche, il était chroniquement accro au tabac, ce qui l’a conduit à une mort prématurée. Pourtant, le roi George VI appréciait suffisamment l’homéopathie qu’il a même nommé l’un de ses chevaux de course primés Hypericum, qu’il a nommé d’après un célèbre médicament homéopathique pour les lésions nerveuses.

Le roi George VI était connu pour être lui-même un utilisateur expert de la médecine homéopathique et, en 1948, il montra sa profonde appréciation et celle de sa famille pour l’homéopathie en accordant officiellement l’utilisation du titre royal au London Homeopathic Hospital.

Le film de 2010, « The King’s Speech », dépeint l’histoire captivante du roi George VI (joué par Colin Firth) et de son orthophoniste, Lionel Logue (joué par Geoffrey Rush). Lionel Logue n’était en fait ni médecin ni orthophoniste conventionnel, mais ses stratégies de traitement ont connu un succès impressionnant.

La famille royale britannique est connue pour être extrêmement conservatrice et incarner les idéaux traditionnels de la famille et du service public, mais elle est également connue pour avoir une appréciation particulière et même un plaidoyer pour certains traitements non conventionnels qui ont fonctionné, que la médecine conventionnelle les ait acceptés ou non. Telles étaient leurs expériences avec l’orthophonie de M. Logue, ainsi qu’avec la science et l’art de la médecine homéopathique internationalement respectés, largement pratiqués, mais souvent mal compris.

L’épouse du roi George VI était Elizabeth Bowes-Lyon (1900-2002), et ils eurent deux filles, Elizabeth et Margaret. Elizabeth Bowes-Lyon est finalement devenue connue sous le nom de « reine Elizabeth, reine mère », pour la différencier de sa fille qui était connue comme la reine Elizabeth II d’aujourd’hui (1926-2022).

La reine mère était connue pour être particulièrement admirative du célèbre médicament homéopathique, l’ Arnica . Dans la biographie autorisée de 1 100 pages de William Shawcross sur la reine Elizabeth la reine mère, il décrit sa conversion progressive après avoir épousé le duc d’York en 1923. Shawcross note : « Tout au long de sa vie, elle distribuait des comprimés d’arnica à quiconque avait une ecchymose ou pire. ajoutant que pour elle, l’homéopathie était une approche intelligente de la maladie« . [3]

Elle s’est rendu compte que certaines personnes sont sceptiques à l’égard de l’homéopathie, mais elle savait qu’un tel scepticisme était courant chez les personnes qui ne comprenaient pas l’homéopathie ou qui ne l’avaient tout simplement pas utilisée. Elle utilisait couramment l’ Arnica sur ses chiens chaque fois qu’ils se blessaient et encourageait ses amis à l’utiliser.

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La reine Elizabeth II est montée sur le trône en 1952 et a été un mécène de longue date du Royal London Homeopathic Hospital, qui a subi une rénovation de 35 millions de dollars en 2005. Lorsque la reine Elizabeth II a visité l’hôpital en 2000, elle a regardé directement l’image de Sir John Weir, qui était le médecin homéopathe de l’ancien roi, et a déclaré « il a fait beaucoup de bien à mon père« . Pour rester dans l’air du temps, en 2010, cet hôpital a changé son nom en Royal London Hospital for Integrative Medicine.

En fin de compte, Sir John Weir n’était pas seulement le médecin homéopathe du roi George VI, il avait également fourni un traitement homéopathique à six autres monarques, dont le roi Édouard VII, George V, Édouard VIII, duc de Windsor, George VI, Elizabeth II, le roi Gustav V de Suède (1858–1950) et le roi Haakon VII de Norvège (1872–1957). [4]

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La croissance précoce de l’homéopathie en Grande-Bretagne au milieu des années 1800 est devenue possible en grande partie grâce au soutien royal et à l’aristocratie britannique. Le premier homéopathe britannique de la royauté britannique, le Dr Frederick Quin, était un fils de la duchesse de Devonshire (1765–1824), et donc lui-même un aristocrate. Lorsque Quin a commencé sa pratique homéopathique à plein temps à Londres en 1832, il traitait principalement les membres de sa propre classe.

Jusqu’en 2018, l’homéopathe de Sa Majesté la reine Elizabeth II était le Dr Peter Fisher, médecin, rhumatologue et homéopathe formé à Cambridge. Le Dr Fisher a également été directeur médical du Royal London Hospital for Integrative Medicine. Malheureusement, en 2018, alors qu’il faisait du vélo lors de la « Journée du vélo au travail », le Dr Fisher a été heurté par un camion et tué sur le coup.

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L’intérêt des autres monarques européens pour l’homéopathie

La royauté britannique n’était pas le seul monarque à adopter et à défendre l’ homéopathie. En fin de compte, la royauté de tous les pays européens l’a également fait. Au milieu du 19 ^e siècle, un nombre remarquable de 77 médecins homéopathes servaient de médecins personnels aux monarques et à leurs familles. [5]   Plus de détails sur ces médecins et leur traitement de divers monarques sont facilement disponibles. [6]

Napoléon III et l’impératrice Eugénie de France étaient des défenseurs connus de l’homéopathie et des faits, Napoléon III a décerné la croix de chevalier de la Légion d’honneur au médecin homéopathe de sa famille, le Dr A.J. Davet, ainsi qu’au Dr Alexandre Charge pour ses résultats remarquables en utilisant médicaments homéopathiques pour le traitement des patients atteints de choléra ; et au Dr J. Mabit pour son travail à la tête d’un hôpital de Bordeaux, où il a constamment trouvé que le traitement homéopathique était efficace.

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De nombreux rois, reines et ducs d’Allemagne, d’Autriche, d’Italie, d’Espagne et de Prusse étaient des promoteurs connus de l’homéopathie, tout comme le tsar Nicolas et le tsar Alexandre II de Russie. Malgré l’immense pouvoir que ces monarques avaient à cette époque, la robuste résistance à l’homéopathie des médecins conventionnels était si forte que ces monarques n’ont pas pu vaincre la puissance économique des médecins et des pharmaciens de cette époque. Un journaliste a noté que même les tsars de Russie étaient incapables de briser « la muraille de Chine par laquelle la hiérarchie médicale entoure son domaine« . [sept]

Pourtant, ces monarques avaient le choix entre N’IMPORTE QUEL soin de santé et ils choisissaient systématiquement le traitement homéopathique, faisant de l’homéopathie « la médecine royale ».

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Désinformation sur l’homéopathie dans les médias grand public

Le magazine Newsweek a publié un article intitulé « Le roi Charles III a une histoire de promotion de la médecine alternative » charlatanisme « . » [8]   Cet article très partisan ne citait que deux sources, toutes deux connues pour être extrêmement hostiles à l’homéopathie. L’auteur a également cité un bulletin d’information de la Cleveland Clinic qui prétendait dire : « Il n’y a aucune preuve solide de l’efficacité de l’homéopathie supérieure à celle d’un placebo.

Pourtant, en toute déférence et en fait, deux chirurgiens de la Cleveland Clinic ont publié une méta-analyse de 21 essais cliniques utilisant des médicaments homéopathiques et ont trouvé des avantages significatifs que les patients ressentent dans la récupération de divers types de chirurgie, en particulier la chirurgie plastique faciale. [9]

Cet article de Newsweek n’a pas non plus pris la peine de faire référence à la méta-analyse la plus récente sur la recherche clinique en homéopathie, qui a révélé que les résultats du traitement homéopathique sont différents de ceux d’un placebo. En outre, une revue beaucoup plus complète de la recherche clinique sur l’homéopathie a reconnu que « cinq revues systématiques ont examiné la littérature de recherche des ECR (essais contrôlés randomisés) sur l’homéopathie dans son ensemble, y compris le large éventail de conditions médicales qui ont fait l’objet de recherches et par tous. formes d’homéopathie : quatre de ces revues systématiques « globales » sont arrivées à la conclusion que, avec des mises en garde importantes, l’intervention homéopathique diffère probablement du placebo. » [dix]

Il est courant de nos jours pour les médias grand public d’interviewer simplement les sceptiques de l’homéopathie qui sont connus pour avoir une hache à moudre. Il est plus qu’ironique que certains médias dénigrent la « désinformation » et pourtant, ils s’y adonnent souvent lorsqu’ils écrivent sur la médecine alternative… et d’autres sujets, qui sont influencés par leurs principaux annonceurs Big Pharma. Lecteurs, méfiez-vous.

DANA ULLMAN, MPH, CCH , est l’un des principaux défenseurs de l’homéopathie en Amérique. Il est l’auteur de 10 livres, dont  The Homeopathic Revolution: Why Famous People and Cultural Heroes Choose Homeopathy ,  Homeopathy AZ ,  Homeopathic Medicines for Children and Infants ,  Discovering Homeopathy , et (le best-seller)  Everybody’s Guide to Homeopathic Medicines (avec Stephen Cummings, MD) . Dana a également créé un cours  en ligne Comment utiliser un kit de médecine homéopathique qui intègre 80 courtes vidéos (d’une moyenne de 15 minutes) avec son célèbre ebook qui est une ressource en croissance constante pour plus de 300 études cliniques publiées dans des revues médicales à comité de lecture testant des médicaments homéopathiques. Cet ebook combine les descriptions de ces études avec des informations cliniques pratiques sur l’utilisation des médicaments homéopathiques pour plus de 100 affections courantes. Cet ebook est intitulé  Evidence Based Homeopathic Family Medicine , et c’est une ressource inestimable. Dana a été certifiée en homéopathie classique par la principale organisation américaine pour les homéopathes professionnels.

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Références:

[1] Morrell P. Tobacco : Deux anecdotes royales. BMJ. 29 janvier 2001, 322:203. http://www.bmj.com/content/322/7280/203.2.extract/reply

[2] Weiser, M, Strosser, W, Klein, P, « Traitement homéopathique contre traitement conventionnel du vertige : une étude clinique contrôlée à double insu randomisée », Archives of Otolaryngology—Head and Neck Surgery, août 1998, 124: 879 -85. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9708713/  Bien que Tabacum soit un médicament de pointe en homéopathie pour les vertiges/étourdissements, cet ingrédient ne se trouve pas dans cette formule homéopathique spécifique. La formule de la médecine homéopathique, Vertigoheel/Cocculus compositum, s’est avérée efficace pour diverses affections pour lesquelles les étourdissements sont un symptôme principal.

[3] Payne, D. Homeopathy and the Royals, BMJ, 3 août 2011. https://blogs.bmj.com/bmj/2011/08/03/david-payne-homoeopathy-and-the-royals/

[4] En 1939, le roi Haakon VII de Norvège a décerné à Sir John Weir le Chevalier Grand-Croix de Saint-Olav, la plus haute distinction accordée par son pays ( Homéopathie, 1939).

[5] Everest, Rev. TR Une vision populaire de l’homéopathie . New York : William Radde, 1842. https://wellcomecollection.org/works/rprj87c6

[6] Voir le chapitre « La médecine royale : l’amour de longue date des monarques pour l’homéopathie » dans

Ullman D. La révolution homéopathique : pourquoi des personnes célèbres et des héros culturels choisissent l’homéopathie . Berkeley : Atlantique Nord, 2007.

[7] Rapport historique et statistique de la montée, des progrès et de l’état actuel de l’homéopathie en Russie, Transactions de l’Institut américain d’homéopathie, 1876, vol. II.

[8] Landen, X. Le roi Charles III a une histoire de promotion de la médecine alternative «charlatanisme». Newsweek. 9 septembre 2022.  https://www.newsweek.com/king-charles-iii-history-promoting-alternative-medicine-1741553

[9] Knackstedt R, Gatherwright J., Arnica homéopathique périopératoire et bromélaïne : résultats actuels et orientations futures. Ann Plast Surg. 19 novembre 2019.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31800557

[10] Mathie RT et al. Essais randomisés contrôlés par placebo de traitement homéopathique individualisé : revue systématique et méta-analyse. Examens systématiques, 2014 ; 3 : 142. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25480654/

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Concernant l’auteur : DANA ULLMAN, MPH, CCH, a obtenu son baccalauréat (1975) et sa maîtrise en santé publique de l’UC Berkeley (1978). Le magazine des anciens de l’UC Berkeley a publié ici une interview avec Dana Ullman.
Il est l’un des défenseurs américains de l’homéopathie. Il est l’auteur de 10 livres, dont « The Homeopathic Revolution: Why Famous People and Cultural Heroes Choose Homeopathy », « Homeopathy AZ », « Homeopathic Medicines for Children and Infants », « Discovering Homeopathy » et (le best-seller) « Everybody’s Guide to Homeopathic Medicines » (avec Stephen Cummings, MARYLAND). Dana a également créé un cours en ligne « Comment utiliser un kit de médecine homéopathique » qui intègre 80 courtes vidéos avec son célèbre ebook qui est une ressource en croissance constante pour plus de 400 études cliniques publiées dans des revues médicales à comité de lecture testant des médicaments homéopathiques.
Dana Ullman est également l’auteur de chapitres sur la médecine homéopathique qui ont été inclus dans des manuels médicaux publiés par Oxford University Press, l’American Academy of Pain Management et Mosby.
Il est le fondateur de Homeopathic Educational Services, également connu sous le nom de www.homeopathic.com, le principal centre de ressources nord américain pour les livres homéopathiques, les cassettes, les médicaments, les logiciels et les cours en ligne. Homeopathic Educational Services a copublié plus de 40 livres sur l’homéopathie avec North Atlantic Books.
Dana a précédemment écrit une chronique régulière pour le site Web populaire, www.huffingtonpost.com (pour accéder à ces articles, https://www.huffpost.com/author/dana-ullman