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Le professeur Luc Montagnier, mort le 8 février 2022, est l’un des scientifiques français les plus reconnus de ces dernières décennies, notamment pour son prix Nobel de médecine lié à sa découverte du SIDA (syndrome immunodéficitaire acquis).
Ce que l’on sait moins, c’est qu’il a aussi beaucoup travaillé sur l’eau, et notamment pour démontrer que l’eau pouvait « mémoriser » des informations électromagnétiques. Sur ce sujet, le Pr Montagnier ne s’est pas contenté de faire des théories, il a montré les impacts pratiques de cette hypothèse dans une expérience filmée, en 2014. Au cours de cette expérience, le Pr Montagnier a placé dans de l’eau le fragment d’ADN d’un virus. Puis, il a dilué cette eau. Une première fois, une deuxième, etc. Exactement de la même façon dont on procède dans le cas des remèdes homéopathiques.
Après plusieurs dilutions, il ne reste plus la moindre molécule chimique dans l’eau. Et c’est d’ailleurs ce qui vaut tant de critiques à l’homéopathie : comment, en l’absence de toute trace de molécule, le remède pourrait-il avoir d’autre effet que le seul placebo ? Pourtant, le professeur Montagnier a réussi à montrer qu’il « restait bien » quelque chose, mais d’un autre ordre que chimique : « Au bout de 6 et 7 dilutions, les tubes ont émis un SIGNAL. »
« Un signal électromagnétique », qui n’avait jamais été découvert avant. »
« L’eau a gardé le signal de l’ADN du virus « en mémoire » !
Et ce n’est pas tout. Ce signal électromagnétique a été capté, et enregistré sur un ordinateur… puis il a été envoyé à un autre laboratoire, en Italie. Là, les scientifiques italiens ont « transmis » le signal électromagnétique reçu du Pr Montagnier… à un simple tube d’eau pure.
C’est à-dire qu’ils ont émis le signal à proximité de l’eau, pendant 1 heure. Puis, ils ont réalisé un test PCR dans cette eau… et ils ont trouvé un ADN du virus identique à 98 % à celui envoyé par le laboratoire français !
Cela signifie bien que l’eau aurait une sorte de « mémoire » : même sans molécule chimique, elle conserverait en elle des « informations » sous forme de signaux électromagnétiques. Et les conséquences de cette découverte sont capitales.
Cela signifie en effet que la capacité de l’eau à stocker et transmettre des informations lui ferait jouer dans notre organisme un rôle encore plus important que ce que l’on pouvait imaginer. Le professeur Montagnier était d’ailleurs persuadé que les applications médicales de cette découverte seraient très importantes :
« On a pu relier la présence de signaux dans le sang à des maladies très graves et répandues comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, mais aussi la maladie de Lyme, l’autisme et certains cancers ».
Ainsi, le Pr Montagnier estimait que les signaux électromagnétiques émis par les virus et bactéries pourraient nous rendre malades.
Pour le Pr Marc Henry, spécialiste de chimie et de physique quantique à l’université de Strasbourg, décédé en novembre dernier, c’est toute la médecine qui pourrait être révolutionnée par cette idée : « Si le Pr Montagnier a raison, on basculera dans la nouvelle médecine, celle où on soigne avec des ondes et avec de l’eau ».
Encore faut-il que les autorités médicales acceptent d’explorer sérieusement cette voie. Et là…c’est une autre histoire, hélas. On se souvient que dès 1994, le Pr. Jacques Benveniste a eu sa carrière brisée lorsqu’il a, en premier, publié un article dans le journal Nature affirmant que l’eau pouvait garder en mémoire des informations…. C’est le genre de découverte qui vous met immédiatement à dos la quasi-totalité du monde médical, réfractaire aux changements de paradigme.
« Crime » supplémentaire, les travaux de Benveniste fournissaient une base scientifique possible à l’homéopathie… Ça fait trop d’originalité pour un seul homme ! Plus généralement, le « gros défaut » de la médecine électromagnétique, c’est qu’elle est gratuite, ou très bon marché. C’est ce qu’a bien compris le Pr Montagnier : « Le jour où on admet que les ondes peuvent agir, c’est qu’on peut agir par les ondes, traiter par les ondes. »
C’est un nouveau domaine qui fait peur à l’industrie pharmaceutique. Un jour, si tout ceci est bien déterminé, on pourra traiter des cancers par les ondes ». Cela ne ferait pas du tout les affaires de Big Pharma, dont le « business model » repose entièrement sur la confection de nouvelles molécules chimiques, brevetables.
« Car si on soigne avec des fréquences et non avec des médicaments, cela devient extrêmement économique, car on dépense au départ beaucoup d’argent pour trouver les fréquences, mais une fois qu’on les a, ça ne coûte plus rien de soigner » concluait le Pr. Marc Henry.
Les professeurs Montagnier et Henry ne sont plus de ce monde. Mais ils nous laissent l’un et l’autre en héritage une idée formidable, l’idée que tout n’est PAS matière. Énergies, pensées, intuitions, sons, etc…leur puissance de soin est encore méconnue, cantonnée au constat qu’il se passe vraisemblablement quelque chose…mais c’est un terrain immense pour la recherche des années à venir. On a hâte d’en découvrir plus !
D’après un article de Gabriel Combris.
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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