L’hypertension artérielle
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On estime que, chez les plus de 35 ans, 30% de la population européenne est hypertendue, et parmi ces patients 60% suivent un traitement anti-hypertenseur dans le but de limiter les symptômes désagréables et de réduire le risque cardio-vasculaire (inexistant en fait si la TA est inférieure à 160/90). Les médecins reconnaissent que l’HTA était plurifactorielle.
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Rappel des DIFFÉRENTS SYSTÈMES DE REGULATION DE LA TENSION ARTÉRIELLE
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Le problème est à l’heure actuelle devenu très complexe du fait des thérapeutiques puissantes mises en jeu, le plus souvent en dépit du bon sens et dans l’ignorance la plus complète de la physiopathologie du syndrome, comme des éléments réactionnels concomitants propres au malade. Nous retrouvons, là aussi, les deux plaies dont souffre la « médecine académique » :
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Alors que le diabète et le surpoids doivent tout à l’excès de sucres et de farineux, que l’alcool et le tabac favorisent objectivement le cancer, c’est l’excès de sel (surtout dans les aliments transformés – les plats cuisinés) qui est à la base de l’augmentation progressive des HTA dans les sociétés modernes.
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Que ce soit dans les médias ou chez votre médecin, c’est toujours le même discours : le sel est présenté comme le grand méchant qui provoque l’hypertension. On pense alors qu’il suffit de supprimer sa salière pour retrouver une pression normale. Alors que nos besoins quotidiens se situeraient autour de 3,8 gr, les Français avalent en moyenne… 9 gr par jour ! À ce niveau-là, ce n’est plus un excès, c’est carrément une overdose ! Il faut savoir que 80 à 90 % du sel que nous mangeons est en réalité caché dans les aliments transformés : charcuterie, bouillons, sauces, condiments, pain, fromage, produits industriels (pizzas, quiches…), etc. Ce sont donc eux qu’il faudrait avant tout bannir de nos assiettes.
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Mais surtout, en diabolisant le sel, on passe à côté d’un danger bien plus grave pour notre santé cardiovasculaire. Le vrai problème, ce n’est pas tellement le sel de cuisine, mais plutôt le déséquilibre du rapport sodium-potassium. Car ces deux minéraux travaillent en binôme : le sodium est une sorte de taxi pour les nutriments : son « job » est de les conduire à l’intérieur des différentes cellules de notre organisme. Sauf qu’ensuite, pour quitter la cellule, le sodium a besoin d’un coup de main du potassium, qui, à son tour, va entrer dans la cellule et prendre sa place. Sans lui, le sodium se retrouverait coincé dans la cellule, et celle-ci ne pourrait plus fonctionner correctement. C’est pour cette raison que plus votre alimentation est riche en sel, et plus vous devrez compenser en mangeant beaucoup de produits contenant du potassium. Plusieurs études se sont d’ailleurs aperçues qu’une consommation élevée en potassium était associée à une diminution de la tension artérielle. L’idéal, bien sûr, consiste à réduire votre consommation de sel tout enprivilégiant les fruits et les légumes, qui sont les meilleures sources de potassium : épinards, melon, amande, chou de Bruxelles, champignon, banane, orange, poire, kiwi, pamplemousse, patate douce…
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À force d’accuser le sel, on a tendance à oublier que le sucre augmente aussi la pression artérielle, en particulier saccharose et glucose. Des médecins de l‘École de santé publique du Collège impérial de Londres ont analysé l’alimentation de 2696 personnes âgées de 40 à 59 ans. Ils ont découvert que chaque verre quotidien de boisson sucrée entraînait une augmentation de 1,1 mm de mercure (mmHg) de la pression systolique et de 0,4 mmHg de la pression diastolique. À vrai dire, ce qui est mauvais pour notre tension ce n’est pas tellement le sucre, mais plutôt l’élévation excessive de notre glycémie. Il est donc essentiel de réduire sa consommation de produits à index glycémique élevé (pain, pomme de terre, pâtes, sodas, sucreries…) et de privilégier ceux dont l’index est le plus bas (patate douce, riz basmati…).
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Des modifications du style de vie, seules ou associées à un traitement médicamenteux, permettent dans de nombreux cas de normaliser la pression artérielle. Des nutriments, des extraits de plantes peuvent favoriser et améliorer sa régulation. Le magnésium, les vitamines D et K, la CoQ10, les nitrates du jus de betterave, les polyphénols de la grenade, les OPCs des pépins de raisin, l’extrait d’ail vieilli, les acides gras oméga-3 … peuvent ainsi, chez certaines personnes, avoir un rôle bénéfique.
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L’HTA en MTC : Du point de vue de la MTC, cette manifestation « plénitude COEUR » peut voir trois organes impliqués dans la pathologie de l’hypertension :
—> En amont : le FOIE : hyperactivité du yang du foie (irritabilité, oppression thoracique et ballonnements abdominaux), qui montera : risque d’AIT !
—> Ln régulation : le REIN-Surrénale : déficience du Yin (sécheresse) ou du Qi du rein (surrénales), qui entraine : une insuffisance de production du « Qi du Foie » et un contrôle insuffisant du « Feu du coeur ». Un tel processus finit par produire des « vents internes » (étourdissements et tremblements) avec stagnation de sang et production de glaires.
—> En aval : la RATE-PANCREAS : accumulation de mucosités (diabète, cholestérol), humidité-chaleur (alimentation trop riche et sédentarité).
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En pratique, l’HTA se présente sous trois aspects principaux :
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A/ Le problème physio-pathologique :
Le système Rénine – Angiotensine 2 : l’appareil juxta-glomérulaire capte la composition urinaire dans la partie initiale du tube distal et les utilise pour réguler le flux sanguin glomérulaire. Ainsi, une diminution du volume plasmatique (hypo TA) libère de la Rénine qui provoque une remontée de la TA. Or l’hypoperfusion d’un seul rein (sténose de l’artère rénale) augmente la libération de Rénine et provoque donc une HTA systémique. La Rénine est activée par l’Adrénaline et inhibée par les B-bloqueurs, l’Aldostérone et l’Angiotensine 2 (puissant système vaso-constricteur artériolaire) qui provoque la soif et le désir de sel.
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Une étude récente (JAMA, aout 2008) a – par ailleurs – observé que la réduction de l’hyperuricémie des hypertendus jeunes, régularise 60% des patients, sans que le mécanisme de cette normalisation soit formellement élucidé, preuve que le problème est multifactoriel.
Dans le cas (le plus fréquent) d’une « HTA idiopathique » (nous ne traiterons pas ici les hypertensions artérielles de cause chirurgicalement curable), nous sommes en face d’un drame à quatre protagonistes (coeur / rein / cortex cérébral / lit capilaire): il s’agit en fait d’un mécanisme d’hypoxie tissulaire périphérique (nous en aborderons les causes dans le paragraphe suivant), que l’homéostasie tente de compenser en augmentant le débit sanguin, c’est à dire la pression intra vasculaire. Toute tentative médicamenteuse visant à faire baisser la tension artérielle va supprimer ce mécanisme compensatoire, donc aggraver l’hypoxie périphérique … ce qui va avoir pour effet immédiat de fatiguer le malade et de relancer l’HTA (phénomène qui explique la nécessité qu’éprouvent les « classiques », d’augmenter progressivement les doses et de combiner les produits) !
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B/ Le problème lésionnel :
Le vrai drame se situe donc au niveau des endothéliums capillaires qui n’assurent plus correctement leur fonction d’oxygénation organique. Seul un traitement à ce niveau pourra prétendre apporter une solution durable au patient hypertendu. Statistiquement, on observe le plus souvent l’association de plusieurs maladies de surcharge : c’est le « syndrome métabolique » = Obésité abdominale – Diabète gras – Hyperlipidémie – Goutte – HTA – albuminurie – troubles de la coagulation
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Un bilan biologique minimum s’impose donc, pour explorer les régulations glycémiques, lipidiques et rénales (glycémie, cholestérol, triglycérides, urée, acide urique et créatinine).
Les facteurs immunitaires et génétiques sont prépondérants dans le déclenchement de ces phénomènes marqués par la « hyalinose » (hyper Bêta + Gamma) bien connue des praticiens utilisant les BNS. Cet aspect biologique correspond à une surcharge vasculaire lipidique, associée à une réaction immune d’hyperplasie conjonctive qui va « figer les choses » et donner un aspect nacré à ces tissus, lorsqu’on les observe en coupe histologique.
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Ici se pose alors le problème de la tension maximale admissible : l’OMS préconisait encore en 1970 une maxima à 150 à cinquante ans + 1 point par dix ans d’âge. Les premières années de la maladie, l’hypertension est modérée (< à 180/100) et pas permanente. Puis progressivement celle-ci devient permanente et s’élève (> à 200/120).
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Sur un plan thérapeutique, il faut avant tout commencer par contrôler la surcharge pondérale : de nombreux malades étiquettés « hypertendus » verront se normaliser leurs chiffres tensionnels par un simple retour à la normale de leur poids corporel. L’HTA est présente dans 60% des obésités (Sharma 2001) : si + 10Kg. = + 10 mm hg de systolique ! Pour ce faire il faut :
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C/ le problème personnel (traiter un malade ou une maladie ?)
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En pratique, on se trouve souvent devant des prescriptions classiques associant 3 médicaments appartenant à 3 groupes thérapeutiques différents (ne pas tout arrêter d’un coup !). Par ailleurs, le régime sans sel seul ne se justifie pas.
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D/ Le problème ethnique !
J’avais été étonné, durant mes années passées sous les tropiques, de la prévalence incroyable de l’HTA dans les populations afro-américaines. Il n’est pas rare en effet d’observer chez ces patients, dès l’âge de 40 ans, des hypertensions dépassant 250 mm de Hg de maxima ! Les BNS nous livrent l’explication de ce phénomène, qui est sous-tendu par une hyalinose (hyper Bêta + Gamma précipitines) importante. L’HTA nous apparaît donc comme un symptôme adaptatif de l’hypoxie tissulaire périphérique précoce.
Dans un article récent (le Quotidien du médecin, spécial recherche, juin 2004) , le pr. Xavier Girerd (hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris) a étudié statistiquement ce phénomène dans les trois grandes ethnies mondiales :
* les Afro-américains … ont une HTA fréquente, précoce et importante qui évolue plus volontiers vers l’insuffisance cardiaque ou le néphroangiosclérose (si diabète associé). Ils répondent mieux aux antagonistes calciques et aux diurétiques thiazidiques (avec un IEC si atteinte rénale).
* les Caucasiens … ont une HTA plus tardive, qui évolue essentiellement vers la maladie coronaire. Leur HTA répond mieux aux Bêta-bloquants, IEC ou IA2, mais la normalisation de leur TA a peu d’influence sur l’évolution de leur coronaropathie !
* les Asiatiques … ont une HTA qui évolue surtout vers l’accident vasculaire cérébral. Le traitement optimal pour eux semble être l’association d’un diurétique thiazidique avec un IEC, médicaments qui réduisent notablement le risque d’AVC.
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Le traitement allopathique et ses intolérances :
L’hypertension artérielle, un effet secondaire possible de nombreux médicaments qui exposent à des risques d’augmentation de la tension artérielle, dont les antidépresseurs tricycliques, les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO), mais aussi AINS, vasoconstricteurs nasaux, le Calcimagon, etc. Un tel risque est également mentionné dans les RCP (résumé des caractéristiques du produit) de la paroxétine et la sertraline, inhibiteurs de la recapture de la sérotonine.
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Sept classes thérapeutiques sont couramment utilisées. Une monothérapie est préconisée en première intention (surtout si TA inf. à 18/10). L’efficacité prouvée de ce traitement est une réduction chiffrée à 15% des coronaropathies et 40% des AVC. Remèdes allopathiques (et complications) :
* Les bêta-bloquants (Avlocardyl / Détensiel / Lopressor / Sectral®)… inconvénient majeur = l’asthénie et les hypoglycémies, mais aussi : syndrome de Raynaud, bradycardies, insuffisance cardiaque
Moins efficaces chez les gens de couleur, ils sont à éviter chez les patients diabétiques et il faut s’en méfier dans les cas d’artérite distale associée, car celle-ci va s’aggraver, sans que la TA systolique baisse !
* Les diurétiques (Fludex / Renèse, Aldactazine / Modurétic®)–> hypotension orthostatique, hypo-kaliémie, insuffisance rénale
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* Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (Captolane / Lopril / Rénitec®) imposent chez le sujet âgé une surveillance de la fonction rénale =
* Les antagonistes de l’angiotensine 2, dont le mécanisme d’action est proche de celui des IEC, mais avec une meilleure tolérance à efficacité similaire. Ceux-ci on néanmoins des effets secondaires non négligeables :
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* Les inhibiteurs calciques (Adalate / Ticlid / Pexid / Cordium / Tildiem / Isoptine®) … mais avec des inconvénients importants =
* Les vasodilatateurs périphériques (alpha-bloquants = Minipress / Nepressol) –> flush et céphalées, hypotension orthostatique
* Les hypotenseurs centraux (Aldomet / Catapressan®) –> syndrome dépressif ou pseudo-ébrieux, somnolence, bouche sèche.
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Certaines associations étant plus synergiques que d’autres, se rencontrent fréquemment, ainsi :
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L’utilisation d’associations fixes favorise l’observance. Certains traitements intercurrents, comme les anti-inflammatoires non-stéroïdiens, peuvent favoriser la décompensation d’une HTA !
NB. L’HTA de la grossesse (prééclampsie) est traitée au chapitre « Maternité »
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La nouvelle est tombée en décembre dernier dans le journal Prescrire, une revue médicale totalement indépendante des lobbies pharmaceutiques et des agences de santé. L’article a eu l’effet d’une bombe : il révèle, preuves à l’appui, que ces médicaments ne seraient pas justifiés chez beaucoup de personnes hypertendues[1].
Dans une importante étude de cohorte, des chercheurs anglais ont suivi 38 286 personnes pendant plus de 6 ans[2]. Le but était de vérifier l’efficacité des médicaments hypotenseurs. En comparant les personnes qui prenaient des médicaments et ceux qui n’en prenaient pas, les scientifiques ont eu une immense surprise. Quand la tension est inférieure à 160/100 mm Hg[3], prendre des médicaments ne réduit pas les risques de mortalité, maladies cardiovasculaires, infarctus, AVC, insuffisance cardiaque… Pire encore, les médicaments contre l’hypertension augmenteraient les risques d’insuffisances rénales aiguës, d’hypotensions et de syncopes[4]. Le rapport bénéfices-risques serait donc négatif.
Au mieux, ils baisseront provisoirement votre tension mais en aucun cas ils ne guériront votre problème. Ils ne s’attaquent pas à la cause et ne font que masquer le symptôme. C’est d’autant plus regrettable lorsqu’on sait que 30 % des personnes ne répondent pas favorablement aux traitements de l’hypertension !
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Si votre tension est inférieure à 160/100 mm HG et que vous ne présentez pas de facteurs de risque, la prise de médicaments hypotenseurs serait donc déconseillée. Cela ne veut pas dire qu’il faut négliger votre problème de tension (vous verrez ci-dessous qu’il existe des alternatives). Mais les médicaments pourraient, au lieu de vous soigner, vous rendre plus malade que vous ne l’êtes déjà.
Sources :
[1] Pression artérielle inférieure à 160/100 mm Hg. En l’absence d’autre facteur de risque :médicament hypotenseur non justifié, Prescrire, Décembre 2019, Tome 39 N°434, page 928.
[2] Sheppard JP, Stevens S, Stevens R1, Martin U, Mant J, Hobbs FDR, McManus RJ, Benefits and Harms of Antihypertensive Treatment in Low-Risk Patients With Mild Hypertension, JAMA Intern Med. 2018 Dec 1;178(12):1626-1634.
[3] Millimètre de mercure
[4] Sheppard JP, Stevens S, Stevens R1, Martin U, Mant J, Hobbs FDR, McManus RJ, Benefits and Harms of Antihypertensive Treatment in Low-Risk Patients With Mild Hypertension, JAMA Intern Med. 2018 Dec 1;178(12):1626-1634.
[5] Perrine A.-L., Lecoffre C., Blacher J., Olié V., L’hypertension artérielle en France : prévalence, traitement et contrôle en 2015 et évolutions depuis 2006, Soumis le 09/02/2018.
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Le traitement homéopathique n’est pas évident, car nous ne possédons pas de pathogénésies de remèdes avec prise de la TA !
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* En aiguë : Nos complexes (CHU) font merveille =
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* Les remèdes de fond pour le =
—> Patients psoriques (NB. beaucoup de remèdes d’alcoolisme !) …
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Parfois accompagné en aigu de :
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—> Patients tuberculiniques …
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—> Patients luétiques …
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—> Les remèdes du 3ème âge (désadaptation ou/et Sycose):
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—> L’HTA compliquée :
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Homéopathie complexiste du lab. Heel : auto-hémothérapie avec une ampoule de …
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Formules complexes du lab. Reckeweg (Allemagne) :
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La phytothérapie = ici encore, les BNS se révèlent un appoint indispensable pour le choix du remède draineur optimal, c’est à dire celui qui intègre les différents aspects du problème et ne se contente pas d’agir sur un seul des éléments du syndrome. Citons parmi les plus efficaces en TM, 5 à 15 gouttes par jour :
L’Ail, le Mélilot, l’Olivier et d’autres plantes à polarité vasculaire peuvent aussi être utilisées.
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NB. Si vous souhaitez réaliser un BNS12 ou 24, cliquez sur ce lien : www.mybiobox.com
Souvenez-vous que la plupart des remèdes qui auront l’effet le plus durable sur la tension de vos patients, obtiendront ce résultat en agissant sur les autres paramètres de l’équation, c’est à dire sur l’obésité, l’hyper-lipidémie, la goutte et l’inflammation des endothéliums capillaires.
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NB. Une étude en phytothérapie réalisée par des chercheurs d’Irvine de l’Université de Californie a prouvé comment certaines plantes médicinales traditionnelles peuvent abaisser la tension artérielle. Publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), elle a démontré que ces plantes activent un canal potassique spécifique (KCNQ5) dans les vaisseaux sanguins. Le KCNQ5, avec d’autres canaux potassiques, y compris le KCNQ1 et le KCNQ4, est exprimé dans les muscles lisses vasculaires situés dans la paroi des vaisseaux sanguins pour réguler le flux sanguin dans les différents organes.
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En Irak, à cause de la guerre, de nombreuses personnes hypertendues n’ont pas pu accéder à leurs médicaments et se sont donc tournées vers les plantes facilement accessibles pour atténuer leurs symptômes. C’est ainsi qu’une étude interventionnelle a été mise en place par des équipes suisses et irakiennes afin d’évaluer l’intérêt réel de la décoction d’Hibiscus sabdariffa (également appelée « bissap » ou « karkadé ») pour lutter contre l’hypertension. Les résultats, très encourageants, font dire aux auteurs de l’étude que l’hibiscus pourrait tout à fait devenir, sous réserve de recherches ultérieures confirmant leurs résultats, un antihypertenseur à usage complémentaire ou alternatif selon les cas de figure.
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Organothérapie / Sérothérapie : Attention, jamais de Vésicule biliaire dans les HTA !
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Les oligo-élements : une à deux prises journalières alternées
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Anthroposophie (lab. Weleda) : Aurum D10 + Plumbum mellitum D10 + Witherite D6 (carbonate de Baryum) aa
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Les points d’acupuncture de la poussée d’HTA :
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Ecoutez : https://sante-nature.kneo.me/page/Stop_ Hypertension?gclid=CNuklqzd4NICFcOfGwod_8gKGQ
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Nous disposons à présent de montres connectées qui peuvent évaluer en continue leq variations de notre TA =
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La MTC conseille de masser les points suivants :
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Et lire :
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Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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