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« La kinésiologie est une technique psycho-corporelle qui s’appuie sur la tonicité des muscles pour identifier stress, blocages et charges émotionnelles non évacuées », explique Thierry Waymel, kinésiologue et Président de la Fédération Française de Kinésiologie.
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Cependant, cette « méthode » plurielle est assez controversée :
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Nous ne sommes pas d’accord avec l’ensemble de cette présentation, mais celle-ci a l’avantage de bien en décrire :
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Nous ne nions pas les résultats parfois observés, mais ceux-ci nous semblent plutôt devoir être attribués à des phénomènes d’auto-hypnose au sein d’une relation patient-praticien qui permet une verbalisation libératrice.
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D’ailleurs, les kinésiologues l’affirment eûx-même : la kinésiologie ne soigne pas au sens médical : elle n’est donc ni une approche médicale ni une thérapie. Elle accompagne le client à mieux comprendre et gérer son stress.
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Lors de la première séance, le kinésiologue met en place et clarifie le cadre de ses interventions : il aide la personne à définir son objectif de travail, à discerner ses critères de succès et ce qui le freine. Enfin, il réalise le test musculaire. « Les séances nécessitent un engagement de la personne, aider en cela par le kinésiologue qui posera ses questions à voix haute, fera remarquer la réponse au test musculaire, de sorte que la personne soit bien consciente qu’il s’agit d’un dialogue avec elle-même », précise Thierry Waymel. En revanche, un kinésiologue ne pose pas de diagnostic : il ne traite pas, ne guérit pas, ne soigne pas. Il ne se substitue jamais à une autorité médicale. Il reçoit des clients et n’incite jamais à arrêter un traitement médical. Enfin, il n’est pas prescripteur.
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La kinésiologie n’est pas réglementée. Tout le monde peut devenir kinésiologue. « La Fédération Française de Kinésiologie créée en 1992, structure la profession et impose à ses adhérents d’avoir suivi une formation d’au moins 600 heures de face à face pédagogique dans l’une des écoles affiliées, et de signer un code éthique, ainsi qu’un code de déontologie », indique notre expert.
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Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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