Sur un plan plus alimentaire, les différents types de nutriments se répartissent ainsi :
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. + SOUFRE (sulfo-conjugaison du Foie)
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Les GLUCIDES (oses) sont composés de carbone, oxygène, et hydrogène. Ce sont les sucres et l’amidon (2% de la masse cellulaire chez l’homme).
— monosaccharides : sucres simples, directement assimilables : glucose, fructose (fruits) et galactose (lait)
— dissacharides : combinaison de 2 sucres simples, doivent être dégradés par hydrolyse en sucres simples pour être assimilables : le sucrose (sucre du commerce), le lactose, et le maltose.
— polyssacharides : longues chaines polymères de sucres simples. 2 sont indispensables, l’amidon et le glycogène (foie).
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Le stockage des glucides se fait par le foie et les sucs pancréatiques en graisses et glycogène.
Classification en fonction du nombre d’atomes de carbone : Trioses, tétroses, pentoses, hexoses…
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A/ Oses neutres : D-Glucose, D-galactose
Glucose : glucides stockés dans le corps, principale carburant de la cellule qui lui permet de produire de l’énergie et de la mettre en réserve sous forme d’ATP (adénosine triphosphate). L’énergie qui résulte de la dégradation du glucose est emmagasinée par petits paquets dans les liaisons de l’ATP. L’ATP est directement utilisable par l’organisme.
. Le taux de glucose sanguin est régulé en permanence par deux hormones aux effets opposés et complémentaires :
NB. Avec plusieurs fonctions alcool, les oses deviennent : aldéhyde ou cétone
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B/ Les diholosides : l’hydrolyse ne libère que des oses
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C/ Les Polyholosides :
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2. Les hétéropolyholosides
Leur hydrolyse libère des monosaccharides neutres différents mais aussi des acides uroniques, des osamines, des acides sialiques
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Groupe hétérogène de composés de structures différentes, essentiel à l’élaboration des structures de la cellule, protège les organes et constituent une réserve d’énergie.
— insolubilité dans l’eau – solubilité dans les solvants organiques
— comportent une chaîne aliphatique d’au moins 8 atomes de carbone (des exceptions existent, exemple l’acide butyrique C4) + oxygène, hydrogène, + ou – phosphore
— plus d’un millier de molécules différentes connues dans le monde vivant. Dans l’alimentation, on oppose les :
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Dans le corps, on distingue :
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500….c’est le nombres d’acides aminés connus, dont 149 sont présents dans les protéines. Sur ces 149, 22 sont dits « protéinogènes », c’est-à-dire qu’ils participent à la construction des protéines. Parmi ces 22, huit sont essentiels pour l’homme, parce que notre organisme ne peut pas les synthétiser.
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Les « acides aminés » sont composés de différents éléments : azote, carbone, hydrogène, oxygène et parfois soufre et phosphore. Ce sont les composants moléculaires des protéines. Une protéine n’est rien d’autre qu’une association d’acides aminés. Ils ont une grande importance dans le corps, mais celui-ci n’en fabrique pas toujours autant qu’il le faudrait. Il existe plus de 100 différents « acides aminés », mais seulement 20 sont à l’origine des protéines humaines. 10 à 30% de la masse des cellules.
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On observe différentes formes de protéines :
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Le corps est capable de transformer certains acides aminés en d’autres acides aminés ou encore d’en former à partir de sucres et de lipides. Certains cependant ne peuvent être synthétisés : ils sont fournis grâce à l’alimentation. Ces derniers sont appelés « acides aminés essentiels« . Il en existe huit :
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Quels rôles jouent les Acides aminés ? Ils constituent 20% du corps humain, dont une grande partie de nos cellules, de nos muscles et de nos tissus, est composé de protéines et par conséquent d’acides aminés. Ces acides aminés prennent donc en charge une quantité considérable de fonctions nécessaires à la bonne marche de notre organisme : fonction des organes, des glandes, des artères, des muscles et des tendons.
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Ils sont donc capables de lutter contre les déficiences associées à des troubles métaboliques en tous genres et finalement ils ont un rôle décisif dans pratiquement tous les processus biologiques:
— Ils ont un rôle plastique indispensable : cicatrisation des plaies, formation, entretien et renouvellement des tissus, en particulier aux niveaux des muscles, des os, de la peau et des cheveux.
— Ce sont des constituants essentiels des enzymes, des neurotransmetteurs, des anticorps, de certaines hormones, etc …
—- Ils jouent un rôle primordial dans le transport de l’oxygène avec l’hémoglobine (qui est une protéine spécialisée), mais aussi dans le transport et le stockage de toutes les substances nutritives : eau, lipides, glucides, protéines, minéraux et vitamines.
—- Sans oublier leur apport énergétique de 4 KCal par gramme de protéine, soit 10 à 15% de l’apport énergétique journalier.
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Quels sont les risques d’une carence en Acides aminés (essentiels) ?
Le kwashiorkor est un syndrome de malnutrition par carence en protéines. Le terme, qui signifie enfant (kwashi) rouge (orkor) dans la langue des Ashanti du Ghana, fait référence à la rougeur de la peau des enfants qui en sont touchés.
Chez les végétariens/vegans … il faudra faire attention a équilibrer les apports en A.A. essentiels, en particulier en associant systématiquement « céréales + légumineuses/fabacées ».
Le corps a besoin de 1,2 grammes d’ac. aminés par jour et par kilogramme de poids idéal. Exemple = 50kg x 1,2 = 60 grammes d’a.a. Sachant que la viande content environ 20% d’a.a., elle devra manger 300 grammes de viande (ou équivalent) par jour.
Il est judicieux de veiller à ce que les acides aminés essentiels soient disponibles en quantité suffisante dans l’organisme qui ne peut pas les stocker (contrairement aux glucides et aux lipides). En effet, toute carence, même infime, d’acides aminés (mais aussi de vitamines, d’oligo-éléments ou de minéraux) menace l’équilibre du corps et entraîne des désordres biologiques générateurs de diverses pathologies.
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Malheureusement, un apport suffisant en acides aminés n’est pas toujours assuré, en raison notamment de la dégradation qualitative de nos habitudes alimentaires et des produits alimentaires eux-mêmes. C’est pour cette raison qu’aujourd’hui de nombreux médecins estiment que l’apport d’acides aminés, notamment sous forme de compléments alimentaires (par exemple : Spiruline), peut avoir des effets positifs sur l’organisme et il est même parfois fortement conseillé (enfants dénutris, convalescents, personnes âgées …).
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Pour les végétariens, les associations « céréales + fabacées » sont essentielles pour garantir une couverture à 100% des besoins en a.a. essentiels : aminogramme
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Examinons le rôle capital de certains d’entre eux :
Tryptophane – Acide aminé essentiel
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? 500 à 2000 mg/jour.
La prise est conseillée après 17 heures, 2 heures avant ou après le repas.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ?
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Methionine – Acide aminé essentiel
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? 500 à 3000 mg par jour… NB. Elle est toxique si l’on dépasse cette dose !
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ? Intoxication et dysfonctionnement du foie.
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Lysine – Acide aminé essentiel
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? 500 à 3000 mg par jour.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ?
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L-Arginine – Acide aminé semi-essentiel
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? 500 à 6000 mg par jour.
Contre-indiqué en cas d’herpès.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ?
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L-Cysteine – Acide aminé non essentiel
SON ROLE : l’apport de SOUFRE ?
NOS BESOINS ? 500 à 3000 mg par jour.
A prendre avec de la vitamine C afin d’éviter la formation de calculs rénaux ou biliaires.
Cet acide aminé est le plus fréquemment déficitaire dans l’organisme, car il est très en demande.
Les diabétiques ne doivent pas prendre de supplément de cystéine car elle inactive l’insuline.
Par contre, elle est nécessaire aux prématurés, le foie foetal ne fabriquant pas de cystéine.
Une carence en cystéine est le premier signe de décompensation biologique chez les séropositifs.
Toute exposition à des rayonnements, à des polluants, à une infection, au stress entraîne une augmentation des besoins en cystéine.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ?
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Ornithine – Acide aminé synthétisé par le corps
SON ROLE ?
Combiné à l’arginine :
— il protége le foie de dommages causés par les médicaments et des substances chimiques, et stimuler sa régénération
— il améliore le sommeil : quand l’insomnie est liée à la toxicité de l’ammoniac pour le cerveau
NOS BESOINS ? : 1000 à 3000 mg par jour.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ? Insomnie. Perte de vitalité et vieillissement.
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Acide Aspartique – Acide aminé non essentiel
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? 500 à 2000 mg par jour.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ? Dépression et fatigue chronique.
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Acide Glutamique – Acide aminé non essentiel
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? : 500 à 2000 mg par jour.
Attention : ne pas donner en complément alimentaire aux personnes allergiques au glutamate.
Contre-indiqué lors d’une leucémie, cirrhose ou problème rénal.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ?
Irritabilité (surtout chez les personnes âgées) et sautes d’humeur. Fatigue psychique.
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Glutamine – Acide aminé non essentiel synthétisé à partir de l’acide glutamique.
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SON ROLE ?
NOS BESOINS ? : 500 à 5000 mg par jour.
Contre-indiqué en cas de cirrhose ou problème rénal.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ? Pas d’effet spécifique.
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Taurine – Acide aminé sulfonique.
SON ROLE ?
NOS BESOINS ? : 500 à 5000 mg/jour.
Les végétaliens sont susceptibles de développer une déficience en taurine, car les principales sources alimentaires sont d’origine animale.
Les oestrogènes diminuent la synthèse de taurine : elle est donc nécessaire aux femmes sous contraceptif, aux sportifs, aux nourrissons et aux personnes âgées.
OU LE TROUVE-T-ON ?
RISQUES DE CARENCES ?
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Glutathion – Protéine composée de 3 acides aminés
SON ROLE ?
Antioxydant majeur : régule et régénère les cellules immunitaires, élimine les radicaux libres. Sans lui, nos cellules succomberaient sous l’action d’une oxydation non maîtrisée, notre organisme n’offrirait qu’une faible résistance face à l’attaque des bactéries, des virus ou du cancer et notre foie serait détruit par une accumulation de toxines.
Détoxifiant : chélateur, aide à éliminer les polluants, les métaux lourds
Énergisant : accroît l’endurance, accélère la récupération, aide le métabolisme à éliminer les matières grasses.
NOS BESOINS ? : 8 à 10 g/jour.
OU LE TROUVE-T-ON ? On ne trouve pas de glutathion dans notre alimentation ! La régénération du glutathion dans l’organisme dépend de certains éléments fournis par l’alimentation, dont le sélénium, le zinc, la vitamine C, la vitamine E, l’acide alpha lipoïque et quelques autres antioxydants. Il faut donc veiller à avoir ces éléments en quantité suffisante dans notre organisme.
RISQUES DE CARENCES ?
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Et tout peut être dégradé dans le cycle de Krebs :
« Rien de se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (Lavoisier).
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Ce sont les catalyseurs de presque toutes les réactions de l’organisme. Elles réduise l’énergie d’activation nécessaire à la réaction, multipliant la vitesse de celle-ci par un facteur qui peut aller jusqu’à mille ! Concrètement, dans le corps humain les très nombreuses réactions biochimiques se déroulent à une température d’environ 37°C. Or, si l’on tente de recréer en laboratoire ces mêmes réactions, on s’aperçoit rapidement qu’il faut utiliser des températures beaucoup plus élevées, souvent supérieures à 100°C, pour obtenir le même résultat.
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Par conséquent, en l’absence d’enzymes il est nécessaire de placer une pomme de terre dans un récipient qui contient de l’acide chlorydrique (HCl) à 100°C pendant plusieurs heures, afin d’en dissocier les molécules de glucose formant l’amidon. Tandis qu’avec l’aide d’une simple enzyme salivaire, l’amidon est dégradé en quelques minutes à seulement 37°C.
Il va sans dire que le bon fonctionnement du métabolisme du corps tout entier dépend complètement de leur présence en suffisamment grand nombre. Le Dr Edward Howell, pionnier de la recherche sur l’importance des enzymes alimentaires, disait à leur propos dès 1946 : « Vous pouvez avoir tous les nutriments, vitamines, protéines, minéraux… indispensables à votre corps mais vous aurez également besoin d’enzymes, l’élément de vie, pour maintenir votre organisme vivant et en bonne santé. »
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Les enzymes sont divisées en deux grandes catégories :
1/ Les enzymes métaboliques, assurant formation, fonctionnement et réparation des cellules.
2/ Les enzymes digestives, comptant notamment la protéase, la lipase, l’amylase, l’amyloglucosidase, la cellulase, l’hémicellulase, la trypsine ou la lactase, assurant la décomposition des protéines, des hydrates de carbone et des lipides. Ainsi l’on sait que :
→ la lactase sert principalement à digérer le lait
→ l’amylase, issue du suc pancréatique et de la salive, transforme l’amidon et le glycogène en dextrine et en maltose
→ les protéases, ou peptidases, jouent un rôle prépondérant dans la dégradation des protéines et la digestion, mais aussi dans la coagulation sanguine et la cicatrisation
→ la trypsine permet de digérer les protéines
→ et que la lipase assure la digestion des graisses.
L’importance des enzymes est telle, qu’une carence enzymatique prononcée pourrait aller jusqu’à avoir des conséquences sur l’ensemble des fonctions organiques sans exception, allant de la sphère cardio-vasculaire à l’immunité, en passant par le système hépatico-bilaire. On sait notamment qu’une faible sécrétion d’amylase, cette enzyme salivaire dégradant l’amidon des aliments, accroît le risque de surpoids et d’obésité tout en augmentant de plus de 10% le risque de diabète de type 2. On sait aussi qu’une déficience prolongée en enzymes digestives peut être la cause de maladies et d’inflammations chroniques comme la fibromyalgie, l’arthrite, etc. Fort heureusement, tant que nous entretenons un terrain sain, nous produisons généralement suffisamment d’enzymes pour couvrir nos besoins. Mais avec l’âge, ou dans le cas d’une forte exposition aux pollutions alimentaires et environnementales, leur production devient de plus en plus faible, ouvrant la porte à des maladies dégénératives, allergies alimentaires, problèmes de peau, atrophies du cerveau, diabètes et cancers.
Volumineuses et de structure assez complexe, ils sont constitués de l’union d’un sucre (désoxyribose ou ribose) avec un ion phosphate + une base azotée (ex. l’adénine). Organisés en « double hélice ». ils constituent la molécule d’ADN. Celle-ci, pelotonnée au sein du noyau cellulaire (1,20 m) est le support des gènes (plan de construction de l’organisme).
En quantité dans les tissus jeunes (en croissance = volailles et poissons), ils sont à l’origine des crises de goutte (bases azotées/acides nucléïques/purines –> sera éliminé en acide urique).
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NB. différente selon les auteurs !
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Régime qu’il faudra bien sûr faire évoluer en fonctions des pathologies rencontrées.
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Sans oublier le recyclage, un grand principe de la biochimie et de l’écologie !
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