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Débat sur les vaccins : l’intoxication a déjà commencé !

Le sujet des vaccinations est d’une très grande importance pour les familles.

Il est hors du champ politique. Il s’agit de la santé de nos enfants, les 820 000 qui sont nés cette année, les 820 000 qui vont arriver et bien plus encore. Depuis la pétition que j’ai lancée avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, signée par près de 750 000 personnes – du jamais vu –, j’ai été inondé de questions très pertinentes, car la rentrée approche. Sept types de questions dominent dans les familles :

  1. J’ai vacciné mon enfant en primovaccination avec un tétravalent contre Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche à 3 mois et rappel à 5 mois. Est-il bien vacciné contre ces 4 maladies ?
  2. Je ne veux pas que mon enfant reçoive le vaccin contre l’hépatite B. Comment faire puisqu’en pharmacie on ne trouve que le vaccin hexavalent qui en plus contient de l’aluminium que je ne veux pas pour mon bébé ?
  3. Quand aurons-nous le vaccin obligatoire contre Diphtérie-Tétanos-Polio sans aluminium dans toutes les pharmacies ?
  4. Pour mon voyage en Asie, quels vaccins dois-je faire ?
  5. Si j’allaite mon bébé 6 mois comme le recommande l’OMS, et pendant 1 année de plus matin et soir, dois-je faire vacciner mon enfant ?
  6. Mon enfant se porte très bien, la crèche m’impose des vaccins non obligatoires : puis-je les refuser sans risque de voir mon enfant interdit de crèche ?
  7. Si mon enfant n’est pas vacciné, comment peut-il transmettre telle ou telle maladie à ceux qui sont vaccinés ?

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Joyeux

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La ministre lance un débat national à propos des vaccins

J’avais demandé début juin à débattre en direct avec la ministre de la Santé sur la chaîne de son choix. Elle a préféré m’insulter en me traitant de médecin « rétrograde » plutôt que de répondre. Parce qu’elle sent quand même qu’il y une vraie attente dans l’opinion, elle vient finalement de proposer un « débat public ».

Mais on sait comment ce gouvernement fonctionne : discutez tant que vous voudrez, manifestez, mes décisions sont déjà prises, car le Président l’a dit. Un président qui a bien démontré qu’il ne connaît rien à la santé des familles.

La ministre confondant vaccins obligatoires et vaccins recommandés, il est logique qu’elle demande une mission parlementaire à l’une de ses amies députées. Celle-ci appartient évidemment au même parti, coprésidente du Groupe d’étude sur le médicament et membre du conseil d’administration de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Que connaît-elle de la vie réelle en dehors de la pression des lobbies de tout bord ?

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Joyeux  Le pr. H. Joyeux

Il n’est pas question d’entrer dans le jeu des auditions que je connais bien, étant membre du Conseil économique social et environnemental. On vous questionne et on ne tient aucun compte de vos avis ! C’est hélas comme cela que ça fonctionne. La ministre promet la transparence, mais le débat n’est pas ouvert qu’il est déjà faussé par six de ses phrases qui cherchent à culpabiliser les familles – qu’elle n’aime pas – et à stigmatiser les plus fragiles, de plus en plus nombreuses.

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Les six phrases qui faussent déjà le débat !
  1. « Enrayer une défiance grandissante à l’égard des vaccins ».
  2. « Contrer ceux qui jouent sur des peurs scientifiques infondées ».
  3. « Mettre en avant le risque sanitaire que font prendre les parents hostiles à la vaccination à l’ensemble de la population ».
  4. « Se vacciner n’est pas un geste de confort, ni uniquement un choix individuel. C’est un enjeu collectif ».
  5. « Les premières victimes du refus de vaccination sont les populations les plus fragiles, enfants et personnes âgées ».
  6. « Le risque est aussi de voir réapparaître certaines maladies contagieuses et mortelles, qui ont aujourd’hui complètement disparu ».

Curieusement, la ministre ne parle ni des coûts, ni des laboratoires étrangement muets et encore moins des pharmacies en rupture de stock. Quant aux nombreux médecins réticents à vacciner les nourrissons à 2 mois contre l’hépatite B, ils sont certainement comme moi « rétrogrades » !

Le discernement médical n’est plus possible : autoritarisme ou dictature ? C’est ainsi que, de droite ou de gauche, les dictatures ont toujours fonctionné.

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A ce jour près de 750 000 personnes ont signé la pétition. Je reçois beaucoup de lettres de soutien et ne peux répondre à chacune.

Vous le savez, je ne peux plus consulter à l’Institut du cancer de Montpellier depuis le 7 juillet dernier. C’est un « ordre d’en haut ». Mais je ne baisse pas les bras, au contraire. Je profite du calme de l’été pour préparer pour la rentrée, avec des spécialistes hyper-compétents, les réponses à toutes vos questions dans un livre à paraître : « VACCINS – Comment s’y retrouver sans perdre la santé ? »

Vous l’avez compris, sans langue de bois, je défendrai scientifiquement les familles pour la santé de leurs enfants, hors de toute pression politique ou des puissants laboratoires qui savent très bien ce que les familles attendent …
Bien cordialement à vous tous. Pr Henri Joyeux

——————-> On sait ce qu’il s’est passé : la ministre de la santé est passée de 3 à 11 vaccins obligatoires !

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Si les pouvoirs publics ne nous protègent pas, qui le fera ? C’est la question qu’on peut se poser à la lumière des griefs exprimés par 130 associations à l’Organisation Mondiale de la Santé hier.

On sait, depuis juillet dernier, que le ministère de la Santé américain (HHS) n’a pas respecté ses obligations légales en matière de sécurité vaccinale durant trente-deux ans. On doit cette révélation à l’ICAN (Informed Consent Action Network), association américaine ayant saisi la justice pour forcer le ministère à lui transmettre ses rapports sur le sujet, ce à quoi il s’était refusé pendant huit mois. Voici pourquoi : ces documents n’existaient tout simplement pas. Pourtant, depuis 1986, la loi américaine oblige ce ministère à fournir, tous les deux ans, un rapport au Congrès décrivant les améliorations de la sûreté des vaccins.

L’obligation légale de fournir ce rapport est la contrepartie d’un énorme cadeau fait aux laboratoires pharmaceutiques par cette loi de 1986, les déresponsabilisant juridiquement et financièrement en cas d’accident vaccinal par le biais d’un fonds public – donc payé par les impôts des Américains – d’indemnisation aux victimes. Ainsi, alors que sur la période ce fonds a versé aux victimes d’effets indésirables graves post-vaccination 3,9 milliards de dollars, l’immunité juridique et économique octroyée aux laboratoires leur a enlevé toute incitation à améliorer la sécurité des vaccins – ce dont les pouvoirs publics devaient théoriquement s’assurer.

« L’HHS dépense des milliards chaque année pour promouvoir les vaccins et produit à la chaîne des rapports vantant leurs bénéfices », indique Del Bigtree, un des plaignants de l’ICAN, avant d’ajouter : « Quand, en dépit de la loi, le ministère ne prend pas la peine d’écrire un simple rapport biannuel sur la sécurité vaccinale, il y a peu d’espoir qu’il s’attelle à la tâche plus ardue de l’améliorer. »

Qu’en est-il pour le reste du monde ? Est-il mieux loti en matière d’évaluation et de limitation des risques vaccinaux ? Absolument pas, estiment plus d’une centaine d’associations, qui viennent d’envoyer une lettre ouverte commune aux représentants de l’OMS en ce moment réunis à Rome, mais également au Parlement européen, à l’Agence européenne du médicament et à la Direction européenne pour la qualité des médicaments.

Le diagnostic est très sévère : « Lors de votre précédente réunion, vous avez affiché l’objectif de diminuer les tests indépendants, considérés comme “redondants”, afin d’accélérer la mise à disposition de vaccins. La récente administration de 250 000 vaccins défectueux en Chine, la tragédie de la campagne pour le vaccin polio oral qui a causé plus de 450 000 cas de paralysie et de décès en Inde, les dommages du vaccin contre la dengue aux Philippines et les témoignages venus du monde entier sur l’apparition de douleurs chroniques et de paralysies après l’administration du vaccin anti-HPV démontrent, de manière tragique, que la sécurité et l’efficacité des vaccins sont de plus en plus négligées dans cette course à l’accélération des procédures de mise sur le marché et à l’assouplissement des contrôles de qualité. »

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