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D’ici 2020, plus de la moitié de l’humanité habitera les villes. Les écosystèmes urbains (pollution automobile, chauffages domestiques, élimination des déchets) participent à l’aggravation de l’effet de serre … une ville « moderne » d’un million d’habitant rejette par jour : 4 tonnes de pneus usés, 1500 tonnes de déchets solides et 300 000 m3 d’eaux usées ! Le taux d’ozone (au sol) a été multiplié par 5 durant l’ère industrielle …
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En ce qui concerne l’espérance de vie, le premier pays est le Japon (74,5 ans), suivi de l’Australie (73,2 ans), la France et la Suède arrivent en troisième position (73 ans d’espérance de vie sans incapacité). Les Etats-Unis sont à la 24ème place, c’est à dire dans le peloton de queue des pays industrialisés (en grande partie en raison du rôle joué par l’obésité, véritable fléau de la société de consommation). En effet, des relations entre nutrition et santé recouvrent deux aspects distincts : l’impact de la nutrition sur la durée et la qualité de vie et les modifications du statut nutritionnel lors de l’avance en âge.
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Les dépenses de santé :
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La tendance actuelle s’articule autour de quelques points forts :
* Le pain (mauvais mûrissement, stockage, raffinage) … pour faire lever ces farines polluées, on ajoute des « améliorants » : farine de fèves, acide ascorbique (E 300), sel (E 301), Calcium (E 302), palmitate d’ascorbyle (E 304), malt, lécithine de Soja (E 322) … 1% du poids de farine est autorisé pour chacun. Les pâtisseries et les biscuits contiennent en outre des colorants, des émulsifiants, gélifiants et substances anti-oxygènes.
* Les huiles animales (crème, beurre, saindoux …) saturées, favorisent les troubles lipidiques. Les huiles végétales peuvent être saturées (margarines hydrogénées pour la cuisson) ou insaturées : Oméga 9/6/3 (plus elles sont insaturées, plus elles sont liquides à température ordinaire et doivent être extraites en première pression à froid ).
* Les viandes … autrefois nourris de céréales et de fourrages produits sur la propriété, les animaux sont passés depuis une vingtaine d’années aux farines et aux granulés, avec les résultats que l’on sait (la fameuse « vache folle »). De plus, les interventions humaines (antibiotiques et hormones de synthèse en implants = facteurs de croissance … d’où 49 substances interdites … mais tant d’autres encore utilisées !).
* Les produits laitiers (problème assez comparable à celui de la viande, mais plus riche en graisses saturées et en calcium). La production d’enzymes nécessaires à la digestion de la caséine du lait (lactases et lipases) est réduite dès l’âge de 3 ans. La fermentation (yaourt, fromages) des laitages en facilite la digestion. Les atopiques sont très sensibles aux produits laitiers (eczéma, rhume des foins, asthme). De plus, les laitages concentrent les polluants environnementaux : nitrates (engrais), pesticides, antibiotiques, bicarbonates … La pasteurisation, si elle stabilise le lait, réduit son taux en enzymes et en vitamines (A et C), limitant l’assimilation du Calcium.
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* Les volailles/œufs … sont à présent nourris à la farine de poisson et aux tourteaux de soja.
* Les produits de la mer figurent parmi les aliments les moins contaminés. Les poissons d’aquaculture (nourris avec des granulés) et les poissons d’eau douce n’ont pas ces qualités.
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* Les boissons :
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* Les emballages alimentaires (80 000 tonnes/an en France) sont en polystyrène et en polychlorure de vinyle (or les monomères et les oxydes de ces produits sont dangereux).
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* Le sel a longtemps été rajouté aux aliments comme conservateur (peu coûteux) et rehausseur de goût. Or, nous consommons actuellement beaucoup trop de sel. La dose préconisée est de 6 grammes par jour, alors que les moyennes constatées en Europe sont actuellement de 10 à 20 gr./jour, induisant une HTA précoce et une aggravation du risque ostéoporotique (par fuite du Calcium urinaire). Les trois quart de l’apport en sel proviennent d’aliments industriels (pizzas, quiches, sandwiches, charcuterie, biscottes …).
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un petit ouvrage bien fait !
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* Les additifs (4000 environ) : Si nos ancêtres utilisaient le sel et la fumée pour conserver les viandes et les poissons, ajoutaient des plantes aromatiques et des épices aux aliments pour en améliorer le goût, au cours de ces 40 dernières années, le progrès des techniques dans le domaine alimentaire, ainsi que l’évolution de la demande des consommateurs ont conduit à une utilisation de plus en plus large des additifs alimentaires. Cette diversification des additifs est encadrée par une réglementation stricte au niveau européen (dénomination E suivi de 3 ou 4 chiffres), parmi lesquels il faut distinguer :
E 100 à 199 = les colorants alimentaires (jaune, rouge, vert = riboflavine, caroténoïdes, chlorophylle … mais aussi chimique : vert, bleu, noir).
E 200 à 299 = les conservateurs évitent le développement de micro-organismes (acide acétique, benzoïque, lactique, sorbique, des sulfites, des benzoates …). Dans les conserves de viande, on cherche à supprimer le risque botulique, contre lequel seuls les nitrites sont efficaces (E 250, 251 ou 252 : saucisses et jambon). L’acide sorbique contrôle les levures (il est utilisé pour les fromages et les saucisses). Les benzoates et les propionates sont utilisés contre certaines moisissures, dans le pain et la boulangerie. Enfin, les sulfites sont utilisés pour le vin et la bière.
E 300 à 399 = antioxygènes : ils retardent l’oxydation des huiles et des matières grasses (rancissement). On utilise l’acide ascorbique (vit. C), l’acide gallique et des dérivés de synthèse (exp. : BHA dans les préparations instantanées de pommes de terre).
E 400 à 495 = agents de texture : émulsifiants (margarines), stabilisants et gélifiants (confitures). Ces agents de texture ont surtout une origine végétale : graines, fruits ou algues (pectine, caroube, lécithine, agar-agar …) mais aussi animale (gélatine).
E 500 à 619 = acidifiants (conservateurs, exp. : acide acétique, citrique ou tartrique des fruits), alcalis et édulcorants de synthèse (saccharine).
E 620 à 637 = les révélateurs de goût (glutamate) et édulcorants (exp. : sorbitol ou mannitol)
E 700 à 715 = antibiotiques (Bacitracine, Chloraphénicol, Tétracyclines …)
E 761 et suivants = arômes artificiels.
Lire = dioxyde-de-titane-et-stearate-de-magnesium
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Le point commun entre les M&M’s, les Mentos, les chewing-gums Hollywood, Freedent, Malabar mais aussi les gâteaux LU, les raviolis Panzani, le hachis parmentier William Saurin, les blanquettes de veau Leader Price et encore beaucoup d’autres produits ? Leurs fabricants leur ont fait prendre le même bain toxique, à base de dioxyde de titane, utilisé pour stabiliser les couleurs des aliments. Les dentifrices sont aussi désormais plus blancs, plus brillants, grâce à cet additif magique. Aujourd’hui on en retrouve aussi sous forme de nanoparticules dans les compléments alimentaires et même dans certains médicaments. Il n’existe à l’heure actuelle aucune étude scientifique qui puisse statuer sur la toxicité des nanoparticules de dioxyde de titane. MAIS… Leurs effets in vitro et in vivo sur les animaux de laboratoire (rats, cochons, etc.) font froid dans le dos.
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Une étude américaine de 2009 sur des souris vivantes a montré que ces nanoparticules causent un stress oxydatif et une réaction inflammatoire qui peut aller jusqu’à casser l’hélice de l’ADN [1]. Cette réaction inflammatoire a aussi été notée au niveau des poumons [2] de la bouche et des intestins [3]
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Les chercheurs ont montré qu’à dose massive (au-delà de 5 microgrammes par millilitre), les particules peuvent endommager la barrière hémo-encéphalique du cerveau avec, à la clé, dérégulation des cellules et apoptose (la mort cellulaire). Bien sûr, l’homme n’est ni un rat ni un cochon, il est donc difficile de conclure à partir de ces seuls éléments. Et c’est ce qui fait les affaires des industriels. Mais les nôtres ? Personnellement, je dirais qu’en attendant d’en savoir plus (dans 10, 15 ou 20 ans) sur la toxicité du dioxyde de titane, on peut s’abstenir. Alors notez bien également son « nom de scène », celui qu’on trouve sur les emballages pour mieux cacher sa vraie identité : E 171.
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[1] Schiestl R.H., Trouiller B., Reliene R., Westbrook A., Solaimani P., « Titanium Dioxide Nanoparticles Induce DNA Damage and Genetic Instability In vivo in Mice« , Cancer Res November 15, 2009 69:8784-8789; Published OnlineFirst November 3, 2009.
[2] Hussain, Salik, et al. « Research Carbon black and titanium dioxide nanoparticles elicit distinct apoptotic pathways in bronchial epithelial cells. » (2010).
[3] Schneider, Jordan C. « Can microparticles contribute to inflammatory bowel disease: Innocuous or inflammatory?. » Experimental Biology and Medicine 232.1 (2007): 1-2.
L’intolérance à certains produits alimentaires (lait, œufs, poissons fruits de mer, blé …) est de plus en plus fréquente et touche 45% des patients (troubles digestifs, cutanéo-muqueux et rhumatismaux surtout). Certaines études ont établi un lien entre des troubles du comportement chez l’enfant et la consommation de certains additifs (THADA).
Passons sous silence l’irradiation stérilisante … additif non comptabilisé, car sans odeur ?!
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Toute puissance des multinationales qui via des scientifiques à leur solde (financement d’études universitaires, de l’INRA) et les banques (Prêts et hypothèques du Crédit agricole) manipulent l’opinion et les politiques : Monsanto, Sanofi, Bayer, Rhône-Poulenc, Unilever, Sandoz, Ciba-Geigy (médicaments et pesticides) … 80 000 polluants chimiques répertoriés !
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Pollution aérienne : en légère amélioration (en ce qui concerne le CO, SO2 et le plomb), mais qui reste préoccupante pour le NO2 et les suies (moteurs diesels). La mortalité annuelle attribuée à la pollution atmosphérique est de 6% environ (cas d’asthme multipliés par 4 ces dix dernières années) !
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Pollution chimique … Une étude américaine récente sur 5000 individus par rapport à 27 polluants a mis en évidence la présence de métaux lourds : Cadmium, Caesium, Plomb (peintures murales, tuyaux), Uranium … et de phtalates (utilisés dans la fabrication des PVC, peintures, colles, adhésifs, lubrifiants, laques …). Mais il faut aussi prendre en compte les toxiques : Arsenic, Dioxine, Mercure (constituant à 50% des amalgames dentaires) et l’Amiante (environ 50 000 morts sont « prévus » pour les 20 prochaines années en France) !
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Cas de l’aluminium dont la question de la toxicité est posée … Cet élément (léger) est présent dans le sol (argiles et roches), l’air (poussières), l’eau (reconnu non toxique jusqu’à la dose de 0,2 milligrammes/litre par l’OMS), les aliments (exp.: le thé), les ustensiles de cuisine et la pharmacopée (gels antiacides, fluides de dialyse, les déodorants et adjuvants des vaccins). La dose maximale admise par l’OMS est de 7 mg/kg de poids corporel. Certaines recherches médicales ont mis en évidence de fortes concentrations de sels d’aluminium dans le cerveau des insuffisants rénaux traités par hémodialyse et chez certains patients atteints de syndromes démentiels. On peut provoquer des dégénérescences neurofibrillaires dans le cerveau des lapins après injection intra-cérébrale de sels d’aluminium. Ces atteintes ressemblent aux lésions cérébrales amyloïdes observées dans l’encéphale des patients atteints de maladie d’Alzheimer. En fait, cela dépend de la teneur en Silice de l’aliment ou du composé absorbé : les alumino-silicates sont difficilement absorbés, alors que l’hydroxyde d’aluminium est plus biodisponible. Pathogénésie d’Alumina : sécheresse extrême (tableau du syndrome sec de Gougerot-Swogren) jusqu’à une atteinte neurologique (syndrome de la « queue de cheval »).
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Pollution radioactive … les « Tchernobyl » et autre Foukuchima ? … NB. : la terre a subit 600 explosions nucléaire à l’air libre pendant 40 ans = les retombées sont continues (on peut dater les vins à partir de la quantité de Caesium radioactif contenu dans les bouteilles !)
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A/ La caractéristique principale du vieillissement nutritionnel des populations est l’apparition de sub-carences puis de carences nutritionnelles. Celles-ci sont fréquentes chez les sujets âgés en bonne santé vivant à leur domicile : 1/3 d’entre eux présentent une carence en au moins un Micro-nutriment (valeurs basses pour la vit. A (10% des hommes et 20% des femmes), vit. B1 et B2 (20% des adultes), vit. D (10% des adultes), vit. E (10% des hommes et 5% des femmes). Et de 2 à 4% présentent une Malnutrition Protéino-Energétique. Toutes deux induisent un déficit immunitaire. Certaines études ont montré que des supplémentations par des associations de micro-nutriments réduisent la fréquence et la durée des infections chez les sujets âgés autonomes comme chez ceux vivants en institution.
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B/ Immunitaires : Deux mécanismes influencent la vitesse de vieillissement et sont donc à l’origine de la diminution de certaines fonctions :
Ces mécanismes dégénératifs vont faciliter des mutations génétiques (cancers et dystrophies tissulaires) : « Il y a bien une augmentation réelle de l’incidence des cancers dans le monde : + 27% en 10 ans ! » (Pr. John Bailar – Université de Chicago)
Ces phénomènes de vieillissement tissulaire entraîne aussi des modifications :
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Les solutions (réalistes ?!)
C’est un problème social et mondial (rapports Nord/Sud, Capitalisme/Socialisme) nécessitant une volonté politique forte pour orienter le développement industriel dans un sens plus écologique. La solution réaliste que nous pouvons pour le moment apporter reste personnelle :
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—> Niveaux agricole, agro-alimentaire et industriel =
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—> Niveau diététique = surveiller son alimentation en quantitatif (nourriture – récompense) et qualitatif (apport en vitamines, oligo-éléments, AGE, AAE), ex.: le « régime crétois »…
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Elevage des poulets …
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—> Niveau médical = méthodes biologiques d’évaluation des troubles induits :
A/ les dosages quantitatifs (spectrographie, absorption atomique) sont intéressants sur le plan toxicologique (intoxication aux métaux lourds et à certains toxiques, ex.: l’Arsenic). Ils sont par contre aléatoires dès que l’on s’intéresse aux oligo-éléments physiologiques : ces méthodes sont complexes et dans la pratique limitées, car le traitement des excès par leurs antagonistes théoriques se révèle décevante.
B/ les Bilans Nutrition-Santé (BNS), qui mettent en évidence, au niveau du colloïde sérique, les épitopes (sites porteurs protéiques) des différents intervenants métaboliques, constituent à présent l’examen de choix pour appuyer votre prescription oligo-élémentaire. Vous y observerez l’affinité sérique pour les oligo-éléments classiques : Manganèse / Cuivre / Zinc / Iode / Ammonium …. On y observe également la réactivité pour certains métaux lourds (Argent, Cadmium, Mercure). De plus vous y apprécierez le niveau de dégradation des équilibres sériques, selon les 6 phases de Reckeweg.
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—> Niveau psychologique = La qualité de vie est liée au maintien du potentiel physique comme intellectuel, pour lesquels le rôle de la nutrition est primordial, mais aussi aux facteurs d’environnement. On connaît le rôle délétère de la dépression sur l’évolution du vieillissement. A l’inverse les relations sociales et la convivialité ressortent comme facteurs positifs dans toutes les études. Enfin la motivation et l’adaptation permettent de mieux faire face à toutes les situations qui peuvent survenir, puisque vieillir c’est aussi vivre longtemps. C’est le fait d’être bien « dans sa tête et dans son corps » qui conditionne la bonne santé.
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Quelques remèdes de détoxication et de relance métabolique/immunitaire (pris dans la gamme du lab. Heel) :
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Bibliographie :
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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