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La photographie à haute fréquence ou « électrophotonique », « redécouverte » en 1939, en Russie, par les époux Kirlian, permet de visualiser un halo lumineux ressemblant à une aura de couleurs variées, large d’environ 1 à 3 cm, autour d’objets ou d’êtres vivants. Ce halo lumineux est expliqué par « une ionisation gazeuse engendrée aux abords immédiats du sujet plongé dans un fort champ électrique alternatif ».
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Certains praticiens ont pu dire qu’il s’agit de la mise en évidence des « énergies du corps » sur la surface sensible d’une pellicule photographique, donc en chambre à éclairage inactinique, sur un appareil émetteur d’un champ électromagnétique. Pour l’humain, le corps fait masse. Mais pour des objets, ceux-ci seront mis à la terre (de l’appareil).
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extrémité d’un doigt
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Les paramètres de tension, de fréquences et d’intensité pour l’étude choisie, autorisent une certaine reproductibilité des données, ce qui nous permet – dans une certaine mesure – d’analyser les champs électriques humains et d’établir des bilans énergétiques. Ce dernier sera modifié selon l’état du sujet. L’excitation entre le bord de la plaque et la perpendiculaire des doigts entraîne un passage des électrons sur un spin supérieur, puis une chute qui provoque l’émission d’un photon, qui va marquer la pellicule. C’est pourquoi il est actuellement d’usage de parler d’électrophotonique.
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Appareils existants (malheureusement, certains ne se fabriquent plus) :
à « Spectro-Mini2 » d’Alain Lambin-Dostromon, basses fréquences (80 Hertz), pour les études sur l’humain, pré-réglage pour les mains et les pieds. Uniquement pour l’argentique.
à « GH30 » de Georges Hadjo, avec des réglages possibles, pour les études sur l’humain et les études de produits, homéopathiques ou autres. Uniquement argentique. Fréquences de 1 à 360 Hz.
à « GH34 », où l’image se fait sur une plaque directement reliée au PC. La résolution n’est pas aussi fine qu’avec le système argentique, mais c’est plus pratique, car cela élimine la nécessité d’avoir chambre de développement, mais on peut aussi l’utiliser avec une pellicule photographique. Nombreux réglages possible. Pour l’humain et les tests de produits. On peut traiter les images par des logiciels ad hoc (Scion Image et autres). Cela permet des effets visuels supplémentaires.
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Mise au point de certains expérimentateurs :
Nicolas STELLING : « Je les ai beaucoup utilisés lors de mon travail dentaire, pour repérer les problématiques générales se répercutant sur les dents, et pour le suivi des traitements« .
J.Yves HENRY : « J’en ai fait plusieurs centaines et l’intérêt en médecine générale me semble se trouver au niveau de la recherche des « champs perturbateurs » objectivés par des aspects anormaux (billes noires ou bulles) sur la plaque, au niveau des points TING, extrémités des méridiens d’acupuncture correspondants aux lésions (dents, épines irritatives, cicatrices …)«
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Bibliographie :
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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