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Un vaccin « militaire » contre la variole et le charbon 

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Une équipe de chercheurs américains a développé un vaccin (Wyeth/IL15/PA) actif à la fois contre la variole et l’anthrax, armes du bioterrorisme : l’équipe de Tod Merkel (Merkel TJ, Perera P et coll. « Proc Natl Acad Sci USA » publié en ligne, 2010) a développé ce double vaccin lyophilisable qui intègre l’IL15, une puissante cytokine immunostimulante. Les essais chez le lapin ont donné des titres d’AC significativement supérieurs (dès le troisième jour et deux fois plus après rappel) et maintient d’une réponse forte à 6 mois, donc stockable et utilisable en urgence.

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1/ Le taux de mortalité de la variole atteignait près de 30%. L’éradication de la maladie (annoncée en 1977) avait été rendue possible par l’utilisation du vaccin Dryvax (contre-indiqué chez la femme enceinte et susceptible de complications fréquentes et graves, ex.: encéphalites).

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Ce virus fait partie des pox-virus qui causent entre autres :

  • — le « Molluscum contagiosum », petites tumeurs bénignes de la peau des enfants
  • — la variole pandémique (Small pox)
  • — la vaccine (Cow pox), qui a permis la création des premiers vaccins et qui atteint plusieurs espèces animales : vache, singe, etc.
  • — la variole du singe, sujet d’actualité :

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Mpox : une urgence sanitaire mondiale qui frappe particulièrement les enfants, comptant pour 80 % des victimes.

L’entreprise pharmaceutique Bavarian Nordic détient actuellement le seul vaccin (efficace) capable de sauver des vies face au virus Mpox. Il est cependant vendu à 100 dollars la dose.

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L’Afrique centrale et l’Afrique de l’Ouest sont les régions les plus durement touchées par le virus. Mais des cas ont toutefois été signalés en Suède, en Australie, ou encore en Thaïlande. Pour enrayer efficacement la propagation du virus, il est crucial de rendre les vaccins accessibles et abordables en Afrique, là où les besoins sont les plus pressants …

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2/ Le taux de mortalité du charbon atteint près de 60%, même en cas de couverture antibiotique. Le vaccin existant contre le charbon (Biothrax ou AVA) présente de nombreux inconvénients (variabilité d’efficacité en fonction des lots, nécessité de multiples doses, effets secondaires …). 

Le charbon est une maladie infectieuse aiguë causée par la bactérie Bacillus anthracis. C’est une anthropozoonose, c’est-à-dire une affection qui touche aussi bien l’animal que l’homme.Arme bactériologique potentielle depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle a été particulièrement médiatisée à la suite des attentats qui ont suivi le 11 septembre 2001.

 

NB. Certains journalistes francophones ont confondu l’anthrax qui, en français, ne désigne qu’un gros furoncle (staphylococcie cutanée), et le « charbon maladie » qui, dans les pays de langue anglaise, est appelé « anthrax ».

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La « VARIOLE DU SINGE »

Il ne vous aura pas échappé que, cet été 2024, les médias dominants ont essayé de nous vendre la fameuse « variole du singe » (monkey pox, en anglais), qui s’est rapidement vue caricaturer en « money pox », la « variole de l’argent ». En effet, la cupidité des laboratoires transpirait des informations insignifiantes que l’on nous transmettait, et qui n’avaient d’autre but que de nous rendre malades… de panique. Il est facile de déduire comment cela s’est monté. Les médias dominants savent qu’en ce qui concerne la politique vaccinale – comme tout ce qui touche à l’industrie pharmaceutique et agroalimentaire –, ce sont leurs rapports avec le pouvoir et leurs subventions qui sont en jeu. Ils jouent donc leur survie financière, qui est déjà pour le moins précaire dans un environnement médiatique très concurrentiel. Par conséquent, nos « grands » médias doivent faire semblant de prendre très au sérieux une menace virologique que les laboratoires pharmaceutiques et les institutions publiques présentent comme exagérément grave. Ces mêmes médias n’y perdent pas grand-chose : le public a, à présent, bien compris qu’on essaierait à toute force de lui vendre des vaccins expérimentaux, à lui ou à son gouvernement. Or le bon peuple ne s’y laisse plus prendre, et il lui faut un peu plus que de fausses alertes pour le paniquer désormais, et faire de lui ce que l’on veut bien.

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D’autant que tout le monde a vu quels avaient été les effets de la panique sanitaire sur l’économie. Nous voyons désormais que l’économie est elle aussi vitale et que les confinements ne faisaient pas que réduire les dépenses des ménages en diminuant les sorties. Les ruptures des chaînes d’approvisionnement, réelles ou supposées, ont permis de faire monter artificiellement les prix. Résultat ? Les réseaux de distribution se sont taillé la part du lion. Ils rachètent les magasins les uns des autres et font monter les prix de l’alimentation au détriment de la population, si bien que l’on se demande comment on peut encore faire pour nourrir sa famille correctement, ou se permettre un petit plaisir qui, il y a quatre ou cinq ans encore, était pour le moins anodin. Donc nous avons compris : les états d’urgence se font toujours contre nous. C’est une leçon que nous payons cher et que nous continuons de payer chaque jour un peu plus… Une gêne pécuniaire constante a donc supplanté les phases de panique artificielle. Nous vivons désormais sous tension permanente, et chacun essaie comme il peut de s’en sortir, soit en se ménageant une vie encore agréable en réduisant son train de vie, – et en s’éloignant autant que possible des agglomérations – soit, quand on n’est pas à la retraite, en essayant de travailler plus, ou de trouver des arrangements afin de joindre les deux bouts. Que ce soit par la lutte quotidienne ou le retour à la campagne, on n’a donc guère le temps, et surtout pas l’envie de tirer le bilan sanitaire de la panique originelle, la crise sanitaire, dont les méfaits économiques n’ont pas fini de se faire sentir. Des révélations choc Pourtant, on commence doucement à faire la lumière sur cet épisode historique.

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En Allemagne, par exemple, les ressorts de la politique sanitaire officielle ont été exposés à cause d’une fuite des dossiers de l’Institut Robert Koch, qui est l’organe de gestion de la santé nationale. En effet, il a été établi noir sur blanc que les vaccinés étaient tout aussi contaminants que les non-vaccinés, que les tests ne servaient qu’à gonfler la pandémie, que les masques n’avaient servi à rien sinon à traumatiser les enfants et à étouffer physiquement la population, que les confinements avaient été contre-productifs et avaient causé des dommages psychologiques souvent irréparables. De plus, comme vous le savez, la population a été poussée à toute force à une expérimentation scientifique qui implique des modifications génétiques dont les conséquences sont encore loin d’être tout à fait élucidées. À ce titre, la chercheuse texane Janci Lindsey, assez opiniâtre, a déclaré que les modifications génétiques étaient non seulement susceptibles d’augmenter les risques de cancer, mais de les transmettre d’une génération à l’autre. Plus globalement, l’étendue et la gravité des effets secondaires ont été passées sous silence. Au minimum, il y a eu des dizaines de milliers de morts dans chaque pays, dus à cette arnaque au vaccin, qui est issu d’expérimentations militaires, comme l’a encore confirmé Robert Kennedy Jr. Nous avions de notre côté évalué, à partir des chiffres officiels, jadis ouvertement disponibles, du site européen Eudravigilance, ce chiffre à des centaines de milliers de morts et d’handicapés à vie pour des pays aussi importants que la France et l’Allemagne.

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Aux États-Unis, qui ne sont pas les derniers à exagérer mais aussi à expérimenter de nouveaux produits sur leur propre population, le nombre de morts dus aux injections anti-Covid pourrait se chiffrer en millions. Tout cela, et je le comprends parfaitement, est devenu quelque peu tabou. Personne n’a vraiment envie de revenir sur ces années d’hystérie, où la population a été tellement malmenée, sinon maltraitée, qu’elle ne savait plus à quel saint se vouer. Mais cela n’empêche pas l’ingénierie sociale de continuer à accomplir le même travail qu’à l’époque, à savoir de diviser la population grâce à la télévision et aux réseaux sociaux, et s’appuyer sur les profiteurs en tous genres – du consortium pharmaceutique international aux petits médias toxiques qui pullulent sur Internet, notamment sur Telegram. Désinformation de tous bords Ainsi, côté grandes compagnies, il n’y a pas eu que la campagne publicitaire du Mon(k)ey Pox, la fructueuse variole du singe. Bill Gates, notre savant fou planétaire, est de retour. Dans une interview donnée à la très mondialiste chaîne CNBC, il a déclaré compter sur l’intelligence artificielle pour censurer à l’avenir toute information médicale alternative à la sienne, pro-vaccinale et prête à tout expérimenter sur une population mondiale qu’il a toujours tenue pour trop nombreuse. N’oublions pas non plus le Forum économique mondial, club des mégalomanes aspirant à diriger la planète, dont l’idéologie sectaire ne manque jamais de glacer le sang à qui lui tend l’oreille. Dans une page désormais retirée de l’un de leurs blogs, ces fiers philanthropes se sont enorgueillis que la politique sanitaire mondiale fut un test de « responsabilité sociale ». Une tentative de soumettre l’humanité définitivement, plutôt ! Il est tout de même étonnant que ces comploteurs soient non seulement encore en liberté, mais cherchent à poursuivre leur œuvre d’asservissement. Toutefois, notons que ces tentatives demeurent pour le moment timides. C’est que si la soumission directe a échoué, la division des populations pour l’affaiblir a encore un grand avenir devant elle, et les charlatans ne manquent pas pour la nourrir. À ce titre, il y a trois sortes de charlatans sur Internet. Il y a d’abord tous ceux qui donnent dans un ésotérisme qui reste amusant tant que vous ne les financez pas. Je parle ici de ceux qui adorent les extraterrestres, qui aiment croire qu’il y a des puissances bienveillantes qui feront que l’Histoire se terminera toujours bien. L’ésotérisme ayant fait son grand retour, comme dans toutes les périodes de chaos, les cartomanciennes et autres voyantes ont retrouvé du poil de la bête. Ce n’est vraiment pas le pire. Ce qui est plus grave, cependant, c’est que certains se servent de la santé naturelle pour devenir des gourous, ou que l’on caricature la médecine alternative en montant en épingle des thérapeutes peu sérieux, ou encore les propos excentriques qu’ont pu avoir quelques originaux. L’essentiel est de savoir se tenir à bonne distance – mais ce n’est jamais simple naturellement, quand vous êtes malade.

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D’où l’intérêt de bien s’informer et à de multiples sources, avec un scepticisme de bon aloi, surtout si vous êtes du côté « complotiste » de l’information. Enfin, et c’est ce qui m’attriste le plus, il y a des charlatans qui deviennent très dangereux. Je parle ici de très nombreuses chaînes sur les réseaux sociaux, et sur Telegram en particulier, qui effectuaient un travail d’information durant le chaos sanitaire, et qui sont désormais rentrés dans la surenchère et la radicalisation, soit par dépit, soit pour simplement survivre. Car si la pandémie a représenté un petit « âge d’or » pour les médias alternatifs, celui-ci s’est terminé, et beaucoup n’arrivent pas à passer à autre chose, si tant est qu’ils arrivent même à capter un autre public… Résultat : ces canaux n’incitent plus qu’à la colère, à la haine et à l’isolement, en s’adressant à une population de plus en plus pauvre, de plus en plus déboussolée, voire désespérée. Et cela se comprend aussi. Les scientifiques qui passent à la télévision sont achetés. Les universitaires sont égarés, quand ils ne versent pas dans les mœurs troubles du wokisme. La télévision et les médias subventionnés sont vendus aux puissants. Il est donc difficile de s’y retrouver. Alors, de même que les chaînes de télévision en continu font leur beurre en attisant quotidiennement les flammes de l’hystérie ; de même, les réseaux sociaux cherchent à nous diviser et à nous isoler en toutes petites cellules, qui sont pour eux autant de niches mercantiles. Je dois l’admettre : je suis assez inquiet de certains canaux de diffusion qui cherchent à faire en sorte de séparer les nonvaccinés du reste de la population. Il y a là une logique sectaire qu’il nous faut briser à tout prix ou tout du moins, dont nous devons nous méfier par-dessus tout. Car le mieux que nous avons pu faire, pendant les années de la crise sanitaire, a consisté à protéger toute la population et à faire toute la lumière sur ce qui était en train de se passer – avec des résultats certes mitigés, mais souvent probants. Nous devons continuer à faire la lumière sur cette période et surtout soigner les personnes malades des expérimentations « vaccinales », afin que de rester unis contre nos gouvernements pharmacratiques. Unis, nous tenons ; divisés, nous tombons.  Docteur Thierry Schmitz

  

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