.
L’aluminium est léger, malléable, résistant à la corrosion. Sa fabrication à partir de la bauxite est très récente dans l’histoire de l’humanité : elle date de la seconde moitié du XIXe siècle. En 2018, la production d’aluminium s’est élevée à 64 millions de tonnes, soit 2 tonnes par seconde ! Et où va tout ce métal ? Dans la construction, l’industrie alimentaire (sous forme d’emballages principalement), les usines de cosmétiques et, évidemment, les véhicules (voitures, vélos, bateaux, avions …).
.
.
L’aluminium est un métal toxique à dose pondérale, en particulier pour le cerveau. On le retrouve très fréquemment dans les analyses de cheveux (méthode d’évaluation toxicologique) car nos instruments de cuisine en contiennent beaucoup (casseroles …), mais aussi par pollution de l’air (pots catalytiques au platine ou palladium fixés sur un substrat d’alumine !), dans les cosmétiques (les anti-transpirants, les crèmes solaires …) et plusieurs médicaments : notamment des pansements digestifs contenant de l’hydroxyde d’aluminium (les argiles = silicates d’aluminium et de magnésium sont mieux tolérés). Un taux très élevé doit faire penser à une hyperparathyroïdie avec calcium bas (ce qui favorise son absorption).
.
Les vaccins sont pour la plupart adjuvés aux sels d’alumine (c’est à dire que la présence de ces sels décuple la réponse immunitaire). La « myofascite à macrophages » est une maladie grave se développant classiquement après l’emploi de tels vaccins (lire article joint, ci-dessous).
L’apparition d’encéphalopathie et de la maladie d’Alzheimer s’observe, suite à une accumulation de phosphate d’aluminium à l’intérieur de lysosomes des neurones du système nerveux central.
.
Le Professeur Chris Exley, spécialiste mondialement reconnu de l’aluminium et de sa toxicité, a fait part d’une découverte majeure : la découverte d’inclusions d’aluminium, à des doses importantes, dans le tissu cervical de personnes décédées ayant été diagnostiquées autistes.
.
Le Pr Exley dirige un laboratoire de l’université de Keele, au centre de l’Angleterre. Dans le dernier numéro du Journal of Trace Elements in Medicine and Biology, publication qui est en ligne, il publie avec trois collègues une étude intitulée : « Aluminium in brain tissue in autism » (« De l’aluminium dans des tissus cérébraux des autistes »). L’équipe y présente les résultats d’observations réalisées sur des tissus cérébraux prélevés chez cinq sujets décédés avec un diagnostic d’autisme, 4 hommes et 1 femme, âgés de 15 à 50 ans. Encore stupéfait de sa découverte, il explique lors du colloque :
« Nous avons examiné la présence d’aluminium dans les tissus. Il y était présent en quantité extraordinairement élevée. Jusqu’à son extraction de l’écorce terrestre il y a 150 ans, l’aluminium n’entrait pas dans le cycle de la vie biologique. Dans la durée de vie normale d’un être humain, il ne devrait pas y avoir d’aluminium dans le cerveau »
.
Précisons tout de suite à ceux qui objecteraient que cela ne concerne que 5 sujets qu’il est très difficile de se procurer de tels tissus et que d’avoir trouvé des résultats similaires chez ces 5 sujets relèverait d’une coïncidence extraordinaire. Depuis qu’il mène des recherches sur l’aluminium, Exley en a mesuré la quantité dans plus de cent cerveaux. Les tissus prélevés chez les sujets autistes étaient parmi ceux qui en avaient les concentrations les plus élevées. Il n’avait trouvé des résultats comparables que dans des tissus cérébraux de sujets atteints de la maladie d’Alzheimer examinés pour une étude publiée au début de l’année 2017.
.
Des cargos d’aluminium dans le cerveau ?!
« C’était quelque chose que nous n’avions jamais vu. On a trouvé de l’aluminium dans des cellules neuronales, mais l’essentiel de l’alu était dans des cellules non neuronales. Nous avons eu la preuve que des cellules des lymphocytes et du sang emportaient des “cargos d’aluminium” dans le cerveau. Cela ne prouve pas que l’aluminium cause l’autisme, mais cela signifie que l’aluminium joue très probablement un rôle dans la maladie. »
.
Jusque là le Pr Exley pensait qu’il n’y avait pas assez d’arguments scientifiques pour établir un lien entre l’aluminium et l’autisme. Il n’excluait pas que l’aluminium vaccinal soit responsable de certains effets indésirables, mais jugeait que le bénéfice de ces vaccins restait supérieur et avait à plusieurs reprises fait savoir publiquement qu’il ne fallait pas en retirer l’aluminium. Aujourd’hui, Chris Exley est très inquiet. Il pense que pour chaque vaccin contenant de l’aluminium, il faut s’interroger pour savoir s’il va vraiment sauver une vie. Sinon, il vaut mieux ne pas vacciner, non pas en raison d’effets secondaires immédiats, mais en raison des effets à long terme comme dans l’autisme, après des mois, des années et même des décennies. Il déplore qu’il soit si difficile de faire de telles recherches qui ne sont financées par aucun État, mais par des fonds d’origine citoyenne.
.
Confirmation chez les moutons ! Lors du même colloque, le Dr Lluis Lujan, médecin vétérinaire, chargé d’enseignement à l’université de Saragosse (Espagne), spécialistes des maladies ovines, a fait le bilan de ses travaux (qui ont été publiés en 2013 et 2017) sur les adjuvants des vaccins vétérinaires. Voyant la souffrance de moutons vaccinés contre la fièvre catarrhale ovine (aussi appelée « maladie de la langue bleue ») et la contrariété de leurs propriétaires face à leurs troubles neurologiques plus ou moins sévères (avec quelques décès), il a mené une étude comparative, sur 15 mois, entre un groupe de moutons vaccinés, un groupe non vacciné et un groupe n’ayant reçu que de l’aluminium à des doses identiques à celles présentes dans le vaccin. Résultat : les moutons vaccinés sont plus agités, qu’ils soient au repos ou debout, présentent une diminution de leur comportement grégaire et deviennent plus agressifs. La combinaison vaccin et aluminium aggrave les problèmes par rapport à l’injection d’aluminium seul. Le Dr. Lluis Lujan s’inquiète d’effets similaires potentiels chez les bovins et les autres ruminants recevant des vaccins contenant des adjuvants aluminiques. Lui aussi, il dénonce les difficultés qu’il rencontre pour publier ses recherches.
.
L’étude du Pr Exley, comme celle du Dr Lluis Lujan, vient donc conforter celles des Prs Gherardi et Authier, qui a été révélée récemment et qui n’a pas été prise en considération par les responsables de notre administration sanitaire. Ils avaient montré comment l’aluminium injecté chez des souris circule dans l’organisme, atteignant le foie, la rate, les ganglions lymphatiques puis gagnant inexorablement le cerveau. Il devient désormais difficile de soutenir les affirmations de notre ministre de la Santé Agnès Buzyn devant l’Assemblée nationale, selon lesquelles le problème de l’aluminium des vaccins est un problème franco-français et que le Pr. Gherardi serait le seul au monde à avoir décrit une maladie non reconnue par l’Organisation mondiale de la santé !
……………………………………………
Lorsqu’en 1997, il découvre une nouvelle maladie, qu’il baptisera « myofasciite à macrophage », le Professeur Gherardi est acclamé dans le monde entier. La « signature » de cette maladie est troublante : de « grandes nappes de cellules bleues », dites « macrophages », apparaissent dans le muscle deltoïde du bras… à un endroit où l’on n’avait encore jamais observé ce type de lésion !
La souffrance des patients, elle aussi, déroute les médecins : douleurs invalidantes des muscles et des articulations, épuisement permanent, troubles cognitifs inquiétants… Voilà des symptômes bien étranges ! En France et dans le monde, c’est le branle-bas de combat. L’Institut de Veille sanitaire (InVS) prend l’affaire très au sérieux et lance une étude de terrain approfondie.
En 1998, la plus prestigieuse revue médicale au monde, The Lancet, publie l’article du Professeur Gherardi et de ses collègues détaillant leur découverte. [1] Immédiatement, il est invité à s’exprimer dans les plus grands médias, dont la BBC en Angleterre. Tout allait bien… jusqu’à ce qu’il découvre la cause de l’apparition de ces mystérieux macrophages bleus.
En octobre 1998, premier coup de tonnerre : le Pr Gherardi apprend que ces cellules bleues contiennent… de l’aluminium ! Et il n’a pas besoin de chercher bien loin pour comprendre comment ce métal s’est retrouvé là.
Car les organismes vivants ne contiennent normalement pas le moindre atome d’aluminium. Du fer, oui, en quantité. Mais de l’aluminium, jamais, c’est un métal trop toxique pour nos cellules. Malheureusement, depuis que l’industrie a commencé à extraire ce métal de la croûte terrestre, on en trouve un peu partout autour de nous. Jusque dans nos déodorants, dentifrices, crèmes solaires et additifs alimentaires ! Et on en trouve aussi dans… la plupart des vaccins.
Des vaccins que l’on injecte dans le muscle deltoïde du bras, celui-là même où l’on a observé les grandes nappes bleues. Pas de doute possible : l’aluminium de la myofasciite à macrophage provient des vaccins ! Rapidement, le Professeur Gherardi confirme que 100 % de ses malades avaient bien subi une injection de vaccins contenant de l’aluminium dans les deux ou trois ans précédant l’apparition de leur maladie.
Le Pr Gherardi a même injecté le vaccin contre l’hépatite B dans le muscle d’un rat… et il a observé quelques semaines plus tard, au microscope, toutes les caractéristiques de la maladie ! Restait encore une énigme : pourquoi cette maladie est-elle apparue au milieu des années 1990, alors que les adjuvants d’aluminium dans les vaccins étaient utilisés depuis plus longtemps ?
La réponse est d’une simplicité lumineuse : parce qu’il a été décidé mondialement, au début des années 1990, de vacciner dans le muscle et non plus sous la peau ! Et comme la France a décidé de lancer une campagne massive de vaccination de l’hépatite B entre 1994 et 1997, il n’est pas étonnant que ce soit le pays où des centaines de cas ont subitement émergé !
Tout ceci, le Pr Gherardi en fait la démonstration implacable devant l’Organisation mondiale de la Santé en 1999. Les plus grands experts sont venus du monde entier pour l’écouter. Dans la foulée, il publie un article de synthèse lumineux dans une grande revue médicale. [2] Bien sûr, il reste quelques éléments à éclaircir, mais les preuves sont alors largement suffisantes pour agir sans tarder.
L’urgence est d’autant plus grande que l’on vaccine tous les jours des milliers de patients avec des vaccins contenant de l’aluminium ! Certes, la myofasciite à macrophage est très rare, fort heureusement, mais elle ruine l’existence des malheureux qui sont frappés. Le bon sens voudrait donc qu’on lance au plus vite de vastes études scientifiques complémentaires… et que l’on force les laboratoires à remplacer l’aluminium des vaccins par des adjuvants moins toxiques (et il en existe !). Mais à la grande surprise du Pr Gherardi, ce n’est pas ce qui se produisit. Bien au contraire.
À partir du moment où il a eu le malheur de mettre en cause les adjuvants dans les vaccins, tout a été mis en œuvre pour l’empêcher de dévoiler la vérité. Il est impossible de retracer ici les innombrables coups bas et embûches subis par le Pr Gherardi depuis 1999 – et je vous conseille vraiment de lire son livre passionnant, Toxic Story : deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins.
Il y raconte par exemple ce qu’a osé lui dire, les yeux dans les yeux un grand Professeur de médecine, le Pr M-F Kahn : « Cher ami, je crois que vous avez raison… Mais je dirai toujours que vous avez tort ! »
Pourquoi ? Non pas parce que ce médecin était « vendu » aux laboratoires. Mais, raconte le Professeur Gherardi, parce que la myofasciite à macrophage a le malheur d’être ce que l’on appelle une maladie « iatrogène ». C’est à dire provoquée par un acte médical… et donc par des médecins ! Il n’est jamais évident de remettre en cause sa propre profession et c’est même contraire à la déontologie des médecins. [3] Et c’est encore pire lorsque l’on touche à la vaccination, LE grand tabou de la médecine moderne ! [4]
Rapidement, le Pr Gherardi est « lâché » par la plupart de ses collègues : « Alors qu’en 1998 tout le monde se battait pour figurer sur la photo de famille de la myofasciite à macrophages, dès que le fatidique mot « vaccin » a été prononcé, chacun s’est retiré sur la pointe des pieds, fuyant un débat où il n’y avait que des coups à prendre. »
Et des coups, le Pr Gherardi ne manquera pas d’en recevoir.
Ce qui se passe en 2001 est digne des grands films d’espionnage. L’événement se produit au moment où le Pr Gherardi s’apprêtait à vérifier si le « syndrome de la guerre du Golfe » était, oui ou non, causé par les vaccins. Petit rappel : de nombreux soldats britanniques et américains envoyés en Irak en 1991 ont souffert de symptômes inexpliqués : douleurs musculaires et articulaires, fatigue persistante, troubles de la mémoire, etc.
C’est un vrai mystère médical. Toutes les hypothèses ont été envisagées… sauf la plus probable [5], à savoir le programme de vaccination intensif subi par les soldats juste avant les opérations, notamment contre l’hépatite A et B. En 2001, une association de vétérans britanniques veut en avoir le cœur net. Elle contacte donc le Pr Gherardi pour lui demander d’examiner 12 soldats souffrant de ce fameux « syndrome de la guerre du Golfe », et de vérifier si le muscle de leur avant-bras ne contiendrait pas les fameux macrophages bleus. Le Pr Gherardi accepte immédiatement, trop heureux de vérifier cette hypothèse. Tout est planifié, et son service est sur le pied de guerre pour accueillir dignement ces vétérans malades.
Mais croyez-le ou non, la veille de la venue de ces vétérans, un mystérieux correspondant appelle le Pr Gherardi pour l’informer que la venue des soldats britanniques est « annulée ». Comme cela, du jour au lendemain, sans la moindre explication ! Mais le pire reste à venir.
En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) recommande officiellement de stopper toute recherche sur le lien entre aluminium et la myofasciite à macrophages. Cette autorité « sanitaire » décide donc d’enterrer le dossier, malgré les preuves accablantes déjà réunies ! Résultat : du jour au lendemain, le Pr Gherardi perd tout espoir de voir ses recherches financées par l’État. Ce qui le condamne, lui et son équipe, à la marginalité !
Inutile de préciser que les « experts » ayant pris cette décision dramatique avaient tous des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique. Mais le scandale du Médiator n’avait pas encore éclaté, et les conflits d’intérêt n’étaient pas aussi suspects qu’aujourd’hui.
Écoutons le Pr Gherardi :
En ce triste mois de mai 2004, les industriels ont donc eu la peau du Pr Gherardi. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient.
Car c’était sans compter sur son intelligence et sa détermination exceptionnelles.
La dernière pièce du puzzle, celle qui lui fait encore défaut, c’est la démonstration physiologique du lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie. Statistiquement, il ne fait aucun doute que les terribles symptômes dont souffrent ces malades sont bien liés aux vaccins à l’aluminium. Mais biologiquement, comment cela se passe-t-il ? Comment une dose infime d’aluminium injectée dans un muscle pourrait-elle causer de tels dégâts ?
C’est la toute dernière clé du mystère… et il faudra de longues années au Pr Gherardi, privé de financements nationaux et internationaux, pour la révéler au grand jour. Mais il y parvint enfin, en 2013, dans article publié dans BMC Medicine. [6]
Jusqu’à cette date, tout le monde croyait (ou voulait croire) que l’aluminium des vaccins se dissolvait dans le sang. Si c’était le cas, il ne pouvait pas causer la moindre maladie : l’aluminium serait alors rapidement filtré par les reins et expulsé dans les urines. Mais des expériences réalisées sur des souris prouvent que cela ne se passe pas comme cela. En réalité, 50 % des particules d’aluminium des vaccins migrent vers les ganglions, la rate… puis s’accumulent dans le cerveau !
Encore plus étonnant : on retrouve d’autant plus d’aluminium dans le cerveau des souris que les doses d’aluminium injectées sont faiblement concentrées ! Pourquoi ? Tout simplement parce que des doses trop fortes ne peuvent pas être « gobées » par les macrophages – et ne sont donc pas emmenées dans le cerveau ! Ce qui réfute de manière éclatante l’argument des labos, qui répètent sur tous les tons que la dose d’aluminium injectée est trop faible pour pouvoir être dangereuse !
Et comme si cela ne suffisait pas, le Pr Gherardi et son équipe ont même réussi à montrer pourquoi la maladie ne touche qu’une petite fraction de ceux qui sont vaccinés. Comme toujours avec les métaux lourds, c’est une question de loterie génétique. Par exemple, certaines personnes ne parviennent pas à éliminer correctement le fer qu’ils avalent dans leur alimentation – c’est l’hémochromatose, une maladie génétique qui touche 1 personne sur 200.
D’autres ne se détoxifient pas bien du mercure[7] : dans leur cas, manger trop de poisson ou avoir plusieurs amalgames au mercure (« plombages ») dans la bouche peut créer de graves troubles cognitifs. S’agissant de l’aluminium, le Pr Gherardi a admirablement montré que ceux qui souffrent de la myofasciite à macrophage avaient des variations génétiques rares et spécifiques au sein des 34 gènes qui déterminent la détoxification de ce métal. Voilà pourquoi vous ne risquez pas grand-chose à vous faire vacciner… sauf si vous avez le malheur de faire partie des personnes « vulnérables » ! C’est vrai pour la myofasciite à macrophage mais aussi pour d’autres graves problèmes de santé.
.
NB. La chelation de l’aluminium est impossible et seuls ses antagonistes sont utiles : Calcium, Magnésium et vitamine B6.
La-présence-daluminium-dans-lorganisme
.
L’aluminium en homéopathie : Alumina = « L’opposant »
Alumina un de 25 polycrest (c’est la famille de Lycopodium et de Berberis).
.
.
Psyché : Dépression, phobies et impulsions (toujours pressé), sur fond de confusion mentale
C’est un patient is constamment triste. il rumine sans arrêt ses nombreux soucis. Il pleurniche (Pulsatilla)
.
Soma : Déshydratation,sécheresse de la peau et des muqueuses, vieillissement,
faiblesse neuro-musculaire : névrite de la queue de cheval, avec anesthésie douloureuse des orifices.
.
Aggravé au réveil (tristesse, comme Lachesis et Sepia) et par les pommes de terre !
.
.
Comparaison de deux remèdes « secs » :
.
.
Cas clinique :
.
[1] Macrophagic myofasciitis: an emerging entity. RK Gherardi et all. The Lancet, August 1998.
[2] Macrophagic myofasciitis lesions assess long-term persistence of vaccine-derived aluminium hydroxide in muscle. Rk Gherardi et all. Brain, 2001.
[3] Article 31 du Code de déontologie du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
[4] Comme le dit si bien le Pr Gherardi, page 83 : « Dans le monde médical, le vaccin représente un véritable totem que l’on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en objet d’étude scientifique comme les autres, considérer qu’il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ? Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques ».
[5] « Si on me demandait de sélectionner quelques facteurs de risque, je retiendrais non pas l’uranium appauvri ni la pyridostigmine mais la vaccination », a par exemple déclaré à ce sujet le Pr Roger Salamon devant une mission d’information parlementaire.
[6] Slow CCL2-dependent translocation of biopersistent particles from muscle to brain. Zakir Khan et all. BMC Medecine 2013
[7] Modification of neurobehavioral effects of mercury by genetic polymorphisms of metallothionein in children. James S Woods et all. Neurotoxicol Teratol 2013 Sept-Oct.
[8] Avis relatif à la vaccination des nourrissons vis-à-vis des gastroentérites à rotavirus. Haut Conseil de la Santé publique. Avril 2015
[9] Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis. Elizabeth Miller et all. BMJ 2013.
[10] Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis. A prospective study. CME 2004
[11] Hepatitis B vaccine and first episodes of central nervous system demyelinating disorders: a comparison between reported and expected number of cases. Annie Fourrier et all. BrJ Clin Pharmacol. 2001
[12] Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood. Yann Mikaeloff, Guillaume Caridade, Samy Suissa et marc Tardieu. Neurology 2010.
[14] Selon les termes bien choisis du Pr Gherardi, page 74.
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.
Vous appréciez les articles de notre site ?
Vous vous intéressez à la santé naturelle et à la médecine fonctionnelle ?
Laissez nous votre email pour recevoir toutes les semaines des articles, des infos et des conseils