Latex vulcani

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Nom commun : Préservatif en latex

Date du proving : 2001, réalisée par : Misha Norland, Peter Fraser et l’École d’homéopathie

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Le caoutchouc naturel se présente sous forme de suspension colloïdale dans le latex produit par un certain nombre de plantes. Le latex naturel a des propriétés élastiques et peut être étiré excessivement avant de se rompre. C’est un liquide laiteux présent dans 10 % de toutes les plantes à fleurs et qui offre une protection contre les insectes. Il est composé de protéines, d’alcaloïdes, d’amidons, de sucres, d’huiles, de tanins, de résines et de gomme qui se transforment en un état solide (dur et cassant au froid) ou semi-solide (mou et collant à la chaleur) lorsqu’il est exposé à l’air. Dans de nombreuses plantes, le latex est perçu comme blanc mais peut également être jaune et orange. Plusieurs espèces de Compositae, dont le guayule et le pissenlit russe, ont été utilisées dans la production de caoutchouc. Plusieurs arbres de la famille des Sapotaceae ont également été utilisés, notamment la gutta-percha et les arbres mésoaméricains du genre Manilkara (dont on récolte le chicle pour l’utiliser dans la fabrication de chewing-gum). Le latex le plus pur et le plus important commercialement est récolté à partir d’arbres de la famille des Euphorbiaceae tels que l’Hevea brasiliensis. Les sensations clés pour la famille incluent attaché, ligoté, empêtré, camisole de force, arrêté, pris au piège, emmêlé et piégé.

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L’utilisation de préservatifs pour la prévention de la syphilis et des grossesses non désirées fait partie d’une histoire culturelle basée sur la honte et la peur des affiliations sexuelles et de l’éthique sociale. En Égypte, en Grèce et à Rome, la protection contre la grossesse était considérée comme la responsabilité de la femme. Au XVe siècle en Asie, l’utilisation de préservatifs à gland est attestée. En Chine, les préservatifs à gland étaient fabriqués à partir de papier de soie huilé ou d’intestins d’agneau ; au Japon, on utilisait de la carapace de tortue ou de la corne d’animal. À la Renaissance, les préservatifs étaient fabriqués à partir d’intestins et de vessie. Les préservatifs à des fins contraceptives n’étaient connus que des classes supérieures. L’invention et le nom du préservatif sont attribués au Dr Condom, à la cour des rois Charles II dans les années 1600, qui était alarmé par le nombre de descendants de Charles. Il n’existe pas de nom avéré pour le mot préservatif, mais le nom latin « condus », qui signifie réceptacle, a été utilisé et les spéculations se sont poursuivies avec l’utilisation d’un mot italien « guantone », qui signifie gant.

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Le remède a été préparé par Peter Fraser. Un grain de latex d’un préservatif non spermicide, nettoyé de toute trace de lubrifiant, a été coupé en petits morceaux et trituré dans un pilon et un mortier en porcelaine avec du sucre de lait. Peter a écrit : « J’avais chaud et je transpirais. Je tremblais. La substance était dure et tenace et ma réaction était de la même qualité. J’ai ressenti une tendance à devenir obsessionnel/compulsif pendant que je travaillais à la trituration. L’odeur était nauséabonde, cela s’est poursuivi jusqu’à la trituration 3c.

J’éructais et me sentais nauséeux, presque, mais pas tout à fait au point de vomir. J’avais un mal de tête affreux. J’avais l’impression que la peau de ma tête se tendait. Chaleur au front. Je me sentais pressé et précipité, emporté par le processus. Je suis devenu agressif et violent. Je me sentais si malade que j’ai dû faire 2 longues pauses dans le processus. J’étais maladroit et je laissais tomber et cassais des objets. »

Le caoutchouc est associé au travail – pensez aux milliards de pneus qui nous emmènent au travail et en reviennent ! Dans Latex vulcani, le soufre est l’agent liant, transformant la sève molle en un matériau résistant et élastique que nous trouvons si utile, et nous retrouvons des thèmes soufrés dans les tests. En plus des démangeaisons, des symptômes cutanés et des problèmes au niveau des orifices, des bordures muco-cutanées, de l’estomac, des intestins, etc., nous pourrions nous attendre à ce que des problèmes relationnels surviennent. La « colle », que le soufre est aux molécules d’hydrocarbures, comme c’est le cas dans le caoutchouc, pourrait s’exprimer dans la psyché des patients sous forme de ruptures relationnelles (manque de colle) ainsi que d’isolation, de manque de connexion et d’indifférence. Le latex est utilisé dans la fabrication de tétines et de sucettes pour bébés, il pourrait donc avoir une place dans le traitement des bébés nourris au biberon, amplifiant encore les thèmes de la déconnexion, du dégoût et de la négligence. Le contact physique étant transmis par la peau, ces symptômes doivent avoir une signification particulière dans le contexte des patients nourris au biberon. D’autres aspects du soufre et du caoutchouc sont le feu et la puanteur. Comme le caoutchouc brûle ! Il y a des symptômes de chaleur, de transpiration, de saleté et de dégoût de soi. Le latex a une fonction protectrice – il fournit un revêtement pour une blessure végétale, comme le fait le fibrinogène pour les animaux dans la formation d’une croûte. Étant donné l’attaque des arbres, il n’est pas étonnant qu’il y ait des imaginations ou des rêves d’attaque et des images de couteaux et de coupures.

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Certains testeurs ont senti qu’ils manquaient de limites , se sentaient vulnérables ; certains ont fait l’expérience de la clairvoyance, tandis que d’autres ont développé des symptômes de claustrophobie, se sentant limités , resserrés avec des sensations de bande. Il y avait aussi des thèmes d’isolation et de confort, de calme et d’immobilité. Les testeurs ont décrit des thèmes de déconnexion, comme s’ils étaient enfermés dans une bulle. Il y avait des rêves incompréhensibles dans des langues étrangères. Ils sont devenus méfiants à l’égard de la violence – le cocon offrant une séparation irréelledu danger, du manque de sensation, du manque de sensibilité (choc et paralysie ). La barrière à la maladie offerte par le port d’un préservatif s’exprimait également comme une barrière au sentiment et au toucher, comme la stérilité et l’inhibition, cependant, il y avait de l’imprudence , un sentiment d’excès de confiance, en fait courageux et impitoyable , fort et égoïste, « dire ce que j’ai envie de dire sans peur des répercussions » et un sentiment de perte de contrôle . « Je savais que j’avais fait quelque chose de vraiment horrible et que je serais découvert. » Culpabilité honteuse .

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Isolation, constriction, sensations de bande, crampes et engourdissement. Violence avec choc et paralysie.

Enfermé – Restreint – Séparation irréelle – Impitoyable – Stérilité – Hors de contrôle – Violence – Paralysie – Téméraire – Manque de limites – Suspect – Sens exacerbés – Culpabilisation honteuse