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Les ¾ de ces saumons proviennent des milliers de fermes aquacoles installées dans les fjords norvégiens. Le marché, c’est maintenant 600 000 tonnes par an de ce poisson qui en sont exportées. Mais il y a un problème de taille : les saumons sont élevés dans de telles conditions concentrationnaires (l’équivalent de 27 truites dans une baignoire), qu’il s’est installé un parasite, le pou de mer, provoquant de gros trous dans leur peau ainsi que des abcès les rendant malades et invendables. Pendant 20 ans ce problème a été traité par les antibiotiques mais comme d’habitude, une résistance s’est installée.
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Alors les services sanitaires ont appliqué une solution radicale, le Diflurobenzuron, un pesticide pourtant interdit en Europe (sauf en France !) dans les milieux aquatiques pour son extrême dangerosité. La visite de fermes avec des cages de 400 000 saumons a révélé que la moitié des saumons meurent par l’effet combiné du manque d’espace, du manque d’oxygène, et des poux. Alors, toutes les 6 semaines en moyenne, on verse des sceaux de Diflurobenzuron dans le parc ; il s’ensuit à chaque fois la mort de 2 à 300 saumons par jour pendant une semaine. Puis le produit se répand aux alentours tuant immédiatement toutes les espèces de poissons qui s’approchent du site. Les saumons sont les seuls à résister (partiellement) à ce toxique légalisé en Norvège. Bien sûr, aucune étude n’a été effectuée sur l’incidence du « Diflurobenzuron » sur la santé humaine…
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Le lobby de l’aquaculture est devenu tellement puissant qu’il encadre tous les organismes de contrôle. La Norvège ne faisant pas partie de l’Europe, sa règlementation n’est pas assujettie à la législation européenne. Mais en raison d’un accord de libre échange (obligé par l’OMC), aucun contrôle n’est effectué à nos frontières… C’est comme cela que le Diflurobenzuron, classé hautement cancérogène arrive tranquillement dans votre assiette.
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Renseignements pris, aucun des éleveurs interrogés ne consomment de leur production…!
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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