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Ressentez-vous parfois l’un de ces symptômes ?
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Si vous observez un ou plusieurs de ces signes, alors on vous a déjà sûrement conseillé de réduire votre consommation de sel !
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On mange beaucoup trop de sel. Le problème, ce n’est pas le sel qu’on ajoute à nos plats pour les assaisonner. Le problème, c’est le sel qu’on ne met pas. Celui qui n’est pas dans la salière, mais qui est caché : la majorité du sel que nous avalons chaque jour est INVISIBLE. On en trouve dans pratiquement tous les aliments industriels, et même… tenez-vous bien… dans les médicaments. Ils contiennent absolument TOUS du sel, que ce soit des aliments salés ou sucrés !
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C’est beaucoup trop semble-t-il ! En fait, la ST YORRE ne contient que très peu de Chlorure de Sodium (Na Cl) mais du Carbonate de sodium et du Chlorure de Magnésium et cela fait toute la différence !! Cette erreur est permanente chez les détracteurs de la ST YORRE qui est une des meilleures eaux minérales pour les troubles hépatico-biliaires..
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L’OMS recommande de consommer moins de 5g de sel par jour. Il faut simplement bien choisir, car la teneur en sel dépend beaucoup des marques. L’eau pétillante Salvetat par exemple est 250 fois moins salée que la Saint-Yorre !
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Mais la quantité de sodium dans votre bouteille n’est pas le seul paramètre à surveiller : les teneurs en autres minéraux sont aussi à prendre en compte. Les études montrent que les effets potentiellement nocifs du sel peuvent être en partie neutralisés par des apports significatifs en calcium, magnésium et potassium. Ce que votre corps réclame, c’est l’équilibre. L’idéal est de privilégier une eau gazeuse dont la quantité de sodium par litre n’excède pas 200mg.
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Car on sait très bien que la surconsommation de sel est liée à de nombreuses maladies :
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Il y a une explication culturelle, et une autre très pratique, mais elles sont toutes les 2 liées à notre Histoire. En se sédentarisant, l’Homme a renoncé à se nourrir exclusivement d’aliments frais, et à commencer à vouloir les stocker et les conserver.
Très vite, les différentes civilisations ont compris l’intérêt du salage pour préserver leurs denrées alimentaires. Les Romains et les Égyptiens utilisaient déjà le sel pour faire des réserves en périodes de récolte, et résister aux famines. C’était un additif de première nécessité et un élément de survie. Si précieux qu’au Moyen-Âge, cet « or blanc » est carrément un monopole royal, et la population devait l’acheter en petites quantités dans des « greniers à sel ».
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Mais aujourd’hui nous avons des réfrigérateurs, des congélateurs et des camions frigorifiques. La chaîne du froid est respectée : nous n’avons plus besoin du sel pour protéger nos aliments. On pourrait donc s’en passer. Pourquoi ne le fait-on pas systématiquement ?
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D’abord parce que le sel est… délicieux ! Il rehausse les saveurs. C’est pourquoi les industriels en usent et abusent dans leurs produits – il sert aussi à masquer le caractère insipide de certains aliments. Il est donc nécessaire de décrypter les étiquettes pour sélectionner les aliments qui contiennent peu de sel.
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Mais attention : il ne faut pas complétement bannir le sel de votre alimentation. Sinon, vous risquez de manquer de sodium. Ce que votre corps réclame, encore une fois c’est l’équilibre.
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C’est ce qu’a montré une étude récente menée auprès de patients souffrant d’une maladie cardiaque. Elle a été publiée dans le Journal of the American College of Cardiology : un régime pauvre en sel augmenterait de 92,5% le risque d’hospitalisation et de décès. C’est ce qu’on appelle le « paradoxe du sodium ».
Quand les apports en sel sont trop faibles, notre organisme réagit bizarrement. Il produit des substances (comme l’angiotensine) qui stimulent la réabsorption du sodium au niveau des reins. Malheureusement, ces substances sont potentiellement dangereuses pour le cœur et les artères.
En croyant bien faire, on se fait du mal !
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En petite quantité, il est indispensable au bon fonctionnement de notre organisme. Sans lui, la machine tourne au ralenti.
Sa principale qualité c’est qu’il retient l’eau. Il permet donc à notre corps d’être toujours bien irrigué et garantit une bonne hydratation des cellules.
L’eau de notre organisme peut donc assurer ses grandes fonctions :
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Il faut donc faire attention à ne pas complètement supprimer le sel de son alimentation, au risque de se retrouver en carence de sodium !
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Et il y a un autre problème lié au sel, c’est l’iode. Vous l’avez peut-être remarqué : dans n’importe quel sel de table qu’on achète, il n’y a pas « que du sel », il y a aussi de l’iode.
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L’iode, c’est un oligo-élément absolument indispensable à la fabrication des hormones thyroïdiennes. Ce sont elles qui régulent la croissance et contribuent au développement cérébral. Si l’on en manque, on peut développer de graves maladies de la thyroïde et des troubles cognitifs.
C’est d’ailleurs ce qu’il s’est passé au milieu du XIXème siècle : la carence en iode était tellement répandue qu’on peut parler d’une véritable épidémie. On estime que plus de 20 000 personnes étaient concernées par ce qu’on appelle aujourd’hui le « crétinisme ». Affligés d’un goitre, combiné parfois à une petite taille, un retard mental ainsi que des problèmes de surdité et de mutisme, ils habitaient principalement dans les régions montagneuses. Voilà pourquoi on les appelaient les « Crétins des Alpes ». A cette époque, le lien entre leur pathologie et la carence en iode n’est pas encore démontré. Ce n’est que plus tard, à partir de 1922, qu’une mesure de santé publique est prise pour tenter d’éradiquer le crétinisme.
Elle consiste à enrichir en iode un aliment consommé par tous : le sel de table. C’est donc une raison de plus pour ne pas complètement bannir le sel de notre alimentation.
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La question à se poser maintenant c’est…
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Ce n’est pas évident de savoir, c’est même quasiment impossible. Entre le sel que vous ajoutez vous-même dans votre assiette et le sel « caché » un peu partout dans nos aliments, c’est difficile de savoir quand on dépasse le seuil critique. La solution, c’est de naviguer avec bon sens, et d’adopter quelques bons réflexes :
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En plus, c’est délicieux ! Vous allez modifier votre seuil de perception du goût salé au niveau du cerveau. Croyez-moi : au bout de quelques semaines, vous serez complètement habitué. Vous ne pourrez même plus supporter un plat trop salé. A ce moment-là, vous aurez gagné la partie. Vous protègerez vos artères, et votre risque de cancer de l’estomac sera beaucoup plus faible.
Et vous apprécierez d’autant plus les quelques grains de fleur de sel que vous mettrez occasionnellement sur vos plats.
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D’après un article de Julie Taglioni
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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