Le syndrome de la bouche qui brûle

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Glossodynie : un feu invisible souvent mal compris ?

Ces dernièrs mois, trois personnes nous ont décrit la même sensation étrange : une brûlure persistante dans la bouche, sans cause apparente, aggravée par la plupart des aliments ingérés.

 

Le « syndrome de la bouche qui brûle » (BMS) illustre parfaitement l’interconnexion entre alimentation, système nerveux autonome et inflammation silencieuse.

Les causes sont souvent multiples :
–-> un terrain carencé (vitamine B12, zinc, fer, folates …) ;
–-> des nutriments irritants (intolérences au gluten, lait, oeuf  …) ou des anti-mitotiques (en cours de chimiothérapie ?)
–-> une chute des œstrogènes, qui accroît la sensibilité des récepteurs TRPV1 et réduit la salivation (préménopause ?) ;

–> une douleur projetée d’un pincement cervical haut (faire une radiographie – consulter un ostéopathe)
–-> un déséquilibre du nerf vague, qui amplifie la douleur sensorielle.

–> peut même se révéler être un syndrome para-néoplasique !

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La solution n’est donc pas unique : elle passe par une approche intégrative — nutrition, modulation vagale, désensibilisation sensorielle (capsaïcine douce), et soutien global du terrain. Nous conseillons donc de pousser les investigations de BIOLOGIE FONCTIONNELLE (BNS / BNT et IMUPRO) afin d’en comprendre le mécanisme.

Ce « feu buccal » n’est pas qu’un symptôme local, mais le reflet d’une hypersensibilité systémique. Restaurer le dialogue entre alimentation, nerfs et équilibre du milieu intérieur intérieur permet souvent de l’éteindre durablement.

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La biologie fonctionnelle : BNS / BNT et bilan IMUPRO permettent souvent de lever le doute.

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