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D’abord, servez-vous un grand verre d’eau. Ensuite… regardez la couleur de votre pipi quand vous irez aux toilettes !

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Cela vous donnera une première indication sur :

  • Quelle quantité d’eau boire ?
  • Comment savoir si vous vous hydratez suffisamment ?
  • Quand doit-on idéalement boire de l’eau ?
  • A quelle température ?
  • Faut-il filtrer l’eau de robinet ?
  • Dans quel cas boire de l’eau minérale ?

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C’est d’autant plus important que la teneur en eau de votre corps diminue de 4 à 6 litres entre 20 et 80 ans [1]. Et qu’avec l’âge, la sensation de soif a tendance à s’atténuer [2] et les reins ont une capacité moindre à conserver l’eau [3].

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Vous pouvez vous fier à l’échelle colorimétrique mise au point par les experts médicaux de l’US Navy, la Marine américaine.

Bien boire, cela vous assure :

  • Une bonne énergie physique : de nombreuses études [4] ont démontré qu’une perte d’eau, ne serait-ce que d’1%, provoquait une moindre endurance à l’effortune élévation de la sensation de fatigue et une diminution de la motivation. Le manque d’eau accélère le pouls et réduit la force musculaire ;
  • Des fonctions cérébrales, intellectuelles et émotionnelles intactes: plusieurs études [5],[6] sont arrivées à la conclusion qu’une hydratation insuffisante impactait les performances visuelles, la concentration, la mémorisation, et causait de l’irritabilité voire une humeur dépressive ;
  • De bons yeux : le manque d’hydratation peut causer des irritations de la cornée, une inflammation, des picotements, des yeux rouges, une baisse de l’acuité visuelle, une fatigue oculaire, une hypersensibilité aux poussières, aux polluants, à la lumière, une intolérance aux lentilles de contact, des maux de tête [7]… Et sur le plan esthétique, le manque d’eau fait s’enfoncer les yeux dans leurs cavités et accroît les cernes ! ;
  • Une voix claire : un manque d’eau réduit l’hydratation des cordes vocales et augmente les risques d’accidents multiples : fatigue vocale, voix enrouée, « cassée », laryngite ou extinction de voix [8];
  • Une peau plus souple et brillante : une mauvaise hydratation accélère le vieillissement de la peau, la rendant rigide, sèche et terne ;
  • Une bonne digestion et un microbiote en forme [9]: le manque d’eau va rendre vos selles plus dures, qui vont alors irriter les parois de votre tube digestif et entraîner une inflammation. Le ralentissement excessif du transit causé par la déshydratation peut abîmer votre microbiote, c’est-à-dire l’ensemble des bonnes bactéries présentes dans vos intestins. C’est la porte ouverte vers de très nombreuses pathologies : surpoids, diabète, maladies cardio-vasculaires, allergies, maladies inflammatoires digestives, maladies neuro-dégénératives, dépression, hyperactivité…
  • Le cœur et le cancer du sein : dans une étude portant sur 20 000 adultes, les chercheurs ont relevé que ceux qui boivent cinq verres et plus d’eau par jour verraient leur mortalité cardio- vasculaire réduite de moitié par rapport à ceux qui en boivent moins[10]. Plus étonnant : des études mettent en avant le fait que les femmes qui sont constipées ont leur risque de cancer du sein augmenter de manière très importante. Explication : une modification des sels biliaires dans le côlon, ceux-ci migrant ensuite jusque dans les glandes mammaires.
  • Évacuer déchets et polluants : boire suffisamment d’eau augmente le volume de vos urines, mais aussi de vos selles, de votre sueur et de votre haleine. Or ce sont toutes les voies que votre organisme utilise pour éliminer les toxines ;
  • Vos reins et votre vessie: une meilleure dissolution des polluants dans l’urine réduit aussi leur impact sur les reins et la vessie. Vous évacuerez mieux les minéraux en excès susceptibles de former de douloureux calculs rénaux ainsi que les germes comme Escherischia coli qui peuvent provoquer des cystites.

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Quelle quantité d’eau devez-vous boire ?

Voici les recommandations les plus récentes de la recherche scientifique :

  • Pour les hommes, 2 500 ml/j ;
  • Pour les femmes, 2 000 ml/j. Les femmes enceintes doivent boire davantage (2 300 ml/j), tous comme les femmes allaitantes (entre 2 600 et 2 700 ml/j).

Un verre classique contient environ 250 ml d’eau, vous devriez donc boire 6 à 8 verres d’eau par jour.

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Ces apports en eau s’ajoutent à ceux contenus dans les aliments eux-mêmes, qui fournissent en moyenne 20% de nos besoins quotidiens et tournent autour d’un litre par jour.

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Plutôt que de boire uniquement de l’eau, par contre, vous avez tout intérêt à remplacer certains verres par d’autres boissons riches en polyphénols et en antioxydants comme :

  • les thés noirs, oolong et, encore mieux, thé vert ou thé matcha ;
  • les infusions de type rooïbos ou hibiscus ;
  • les jus de fruits bio pressés fraîchement ou les smoothies, encore mieux d’agrumes, de grenade, myrtille, cassis, mûre, framboise, açai, goji…

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Quand boire ?

Contrairement à beaucoup de croyances qui circulent, rien ne s’oppose dans la littérature scientifique au fait de boire durant les repas. Au contraire, vous devriez boire entre un quart et un demi-litre pendant les repas, c’est excellent pour la digestion.

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La position allongée la nuit étant diurétique, il est préférable de consommer la majeure partie de l’eau de la journée avant 17 h et de réduire ensuite les apports. Vous éviterez ainsi les réveils nocturnes pour uriner la nuit.

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Fraîche ou chaude ?

En médecine occidentale, on estime que l’eau fraîche entre 15 °C et 22 °C est plus facilement absorbée que l’eau plus chaude ou plus froide. Mais selon les préceptes de la médecine traditionnelle chinoise, c’est l’eau chaude qui serait la meilleure.

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Peu d’études scientifiques sérieuses se sont penchées sur la question, mais on note tout de même que boire de l’eau chaude [11] :

  • peut aider à vous détendre avant de vous coucher ;
  • pourrait avoir des bienfaits sur la circulation sanguine ;
  • aiderait à activer le système digestif, en dissolvant la nourriture et faciliterait le mouvement des intestins et l’expulsion des gaz, d’après une étude de 2016[12], l
  • aide à décongestionner le nez si vous êtes enrhumé, mieux qu’une eau à température ambiante.

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En tout cas, même en été, les Chinois boivent toujours leur eau chaude. Ils estiment que boire une eau trop froide provoque une grande agression à l’estomac, qui aurait alors tendance à évacuer très rapidement les aliments, insuffisamment digérés. Faites donc l’essai si vous souffrez de troubles digestifs, buvez un verre d’eau chaude avec un peu de jus de citron !

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Faut-il boire de l’eau du robinet ou en bouteilles ?

Les principaux désinfectants de l’eau du robinet sont le chlore et le cuivre, toxiques à hautes doses. D’autres substances nocives peuvent également sortir de vos robinets : aluminium, plomb (issu des vieilles canalisations), arsenic, pesticides et même des résidus de médicaments [13] :

— Le Glyphosate, herbicide mutagène largement répandu dans la nature depuis plus de 30 ans, se retrouve présent dans l’eau du robinet un peu partout ! Or, il faut savoir qu’il a des propriétés antibiotiques qui sélectionnent les germes Klebsiella résistants, bouleversant les écosystèmes et cause d’affections que l’on observe de plus en plus (cf. pr. Raoult) !

— À chaque fois que vous buvez un verre d’eau du robinet, vous ingurgitez peut-être jusqu’à 19 molécules pharmaceutiques… Des antibiotiques, des antidouleurs, des bêta-bloquants, des antidépresseurs, des hormones contraceptives, des produits de contraste et j’en passe. C’est une véritable trousse à pharmacie qui coule dans nos robinets ! Ça paraît incroyable, mais c’est pourtant ce qu’ont révélé des analyses effectuées en 2012 par le Département Environnement et Santé Publique de l’Université de Lorraine.

La présence de résidus de médicaments dans l’eau a été mise en évidence dès les années 1970. Mais rien n’a été fait. Donc forcément, aujourd’hui, la situation est catastrophique au niveau mondial. L’année dernière, des chercheurs ont analysé 1052 prélèvements d’eau de rivières dans 104 pays différents. Ils contenaient tous des traces de médicaments.

Tous ces résidus de médicaments peuvent donc se retrouver dans l’eau que vous buvez tous les jours. En France, sur 45 molécules recherchées, 30 ont été détectées au moins une fois dans les eaux brutes (avant traitement).

Et ne croyez pas qu’en France nos stations d’épurations modernes permettent de les éliminer car on est vraiment loin du compte.
Par exemple, les rendements de purification sont seulement de : 
  • 48,8% pour l’Érythromycine (un antibiotique)
  • 34,6% pour le Diclofénac (un anti-inflammatoire)
  • 32,5% pour la Codéine (un antidouleur dérivé de la morphine)  
  • Et même 0% pour la Carbamazépine (un antiépileptique)

Le problème c’est que la France est le 4ème pays parmi les plus gros consommateurs de médicaments au monde.
Toutes ces molécules pharmaceutiques et leurs dérivés se retrouvent donc dans nos urines, puis dans nos toilettes, puis dans le réseau d’assainissement. Or celui-ci n’est pas adapté pour les éliminer correctement !

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Quatre systèmes de filtration me semblent fiables. Les résultats sont toutefois à prendre avec des pincettes, car il y a peu d’études scientifiques sur des modèles spécifiques.

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1/ L’osmose inverse garantit l’élimination des métaux lourds, du chlore, de la radioactivité, des pesticides, des bactéries et des virus.

Il s’agit d’une sorte de gros réservoir installé sous l’évier, composé de différents filtres : d’abord un filtre à sédiments et un filtre au charbon actif (pour piéger le chlore, les pesticides, les produits chimiques…).

Puis vient la pièce maîtresse du dispositif : la membrane osmotique qui, perforée de minuscules pores de 0,1 nanomètre, ne laisse passer que les molécules d’eau.

Points forts :

  • La qualité de l’eau : ce système permet d’obtenir une eau très pure, débarrassée de tous ses contaminants.
  • Il s’installe sous l’évier : l’appareil est encombrant, mais il reste discret sous l’évier.

Points faibles :

  • Le prix : cet appareil coûte très cher, entre 500 et 1 000 euros.
  • Gaspillage : le rendement est, dans le meilleur des cas, de 50 %, soit 2 litres d’eau utilisés pour obtenir 1 litre d’eau osmosée… et dans le pire des cas de 10 %, soit 10 litres d’eau utilisés pour obtenir 1 litre d’eau osmosée.
  • Le système supprime totalement les minéraux de l’eau. Il existe des appareils qui reminéralisent l’eau ensuite, mais c’est un nouveau coût à prendre en compte.

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2/ Le filtre Berkey jouit d’une excellente réputation.

Je n’ai pas réussi à trouver d’informations précises sur la nature des filtres, ni de recherches indépendantes sur leur efficacité.

Cela dit, les résultats de leurs propres études sont assez impressionnants[1].

Selon le fabricant, ce filtre éliminerait notamment le chlore, les métaux lourds et les contaminants chimiques dangereux sans pour autant supprimer les minéraux naturellement présents dans l’eau.

Points forts :

  • Ce système permettrait de débarrasser l’eau de la plupart de ses contaminants.
  • Les minéraux sont préservés.

Points faibles :

  • Le prix : moins cher que l’osmose inverse, il coûte tout de même relativement cher (à partir de 350 euros l’appareil, et les recharges à 150 euros la paire).
  • Encombrant : c’est un gros cylindre métallique de 50 cm de haut, que vous devez poser quelque part sur le plan de travail de votre cuisine

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3/ La distillation est une technique intéressante pour purifier l’eau : elle consiste à filtrer l’eau par évaporation. L’eau, sous forme de vapeur, circule dans un tuyau puis, en refroidissant se condense et retrouve son état liquide dans un autre récipient.

Cela permet en quelque sorte de transporter l’eau d’un récipient à un autre sans les impuretés qu’elle contient.

On trouve les distillateurs sous forme de carafe électrique.

Points forts :

  • L’appareil est plus petit que les deux systèmes précédents.
  • Le prix est plus accessible (il faut compter entre 100 et 200 euros pour un distillateur de qualité).

Points faibles :

  • Les distillateurs consomment beaucoup d’électricité pour fonctionner.
  • Quand il fonctionne, le bruit du ventilateur est assez présent. Mieux vaut trouver un endroit isolé pour l’utiliser.
  • La durée : il faut compter 5 à 6 heures pour distiller quelques litres d’eau.
  • Les produits : souvent en plastique, ces carafes pas très esthétiques peuvent être un nid à bactéries si on ne les lave pas régulièrement
  • Le système supprime totalement les minéraux de l’eau.

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Le binchotan est un charbon actif très particulier, fabriqué à partir du chêne Ubame selon une méthode ancestrale.

Il est utilisé depuis plus de 400 ans pour purifier l’eau. Et depuis, de nombreuses études ont validé les bienfaits de cette technique. C’est d’ailleurs celle que j’utilise pour purifier mon eau, que ce soit chez moi, au bureau, ou quand je voyage.

Points forts :

  • 100 % naturel
  • Le prix : entre 15 et 50 euros pour une durée de vie d’environ 6 mois.
  • Très simple à utiliser : il s’agit simplement de mettre votre bâton de binchotan dans une carafe
  • Peu encombrant : ce bâton de 15 cm de long est facile à transporter. Vous pouvez le prendre avec vous partout où vous allez

Points faibles :

  • La durée : il faut attendre au moins heure avant de pouvoir boire votre eau
  • La quantité : un bâton permet de purifier 1 à 2 litres d’eau à la fois. Vous devez donc prévoir une deuxième carafe pour alterner si vous voulez toujours avoir de l’eau de qualité à portée de main.
  • Tous les binchotans ne se valent pas : on trouve beaucoup de produits de mauvaise qualité sur Internet, avec des promesses parfois mensongères. Il n’est donc pas facile de faire le bon choix

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Selon une étude de 60 millions de consommateurs (https://www.60millions-mag.com) sur la qualité de l’eau du robinet, 8 des 10 prélèvements contenaient au moins un des polluants recherchés. Avec en tête de liste : le fameux glyphosate, l’Altrazine (un désherbant interdit depuis 2001 !!) et une hormone utilisée dans les traitements anticancer (https://www.notre-planete.info/actualites/4383-pesticides-cours-eau-France) …

Que faire ? Dépenser des sommes folles et gâcher des quantités astronomiques de plastique pour acheter de l’eau en bouteille ?

La même étude indique que 10 des 47 échantillons d’eau en bouteille analysés présentaient des traces de pesticides ou de médicaments…

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Devez-vous boire de l’eau minérale ?

L’eau minérale en bouteille présente deux inconvénients majeurs : elle coûte cher et les bouteilles en plastique peuvent contaminer l’eau avec des perturbateurs endocriniens (polystyrène, polyéthylène) et autres substances toxiques (bisphénol A, chlorure de vinyle…).

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De plus, si vous souffrez d’hypertension ou de problèmes rénaux, vous devez éviter les eaux minérales, qui contiennent trop de sels minéraux, notamment du sodium.

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Malgré tout, les eaux minérales sont reconnues pour leurs bienfaits mesurables sur la santé dans certains cas précis :

  • Les eaux riches en sulfates ont des effets diurétiques et laxatifs et sont conseillées en cas de constipation;
  • Les eaux riches en magnésium sont indiquées en cas de stress et de fatigue;
  • Les eaux riches en bicarbonates en cas de digestion difficile;

Je vous recommande de ne pas boire plus d’un demi-litre d’eau minérale dans une même journée.

Et si vous souffrez de reflux gastro-œsophagien, choisissez toujours votre eau plate et non gazeuse, afin d’éviter toute source de gaz ou d’air supplémentaire.

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Voici, d’après les analyses effectuées par le Dr Jean-Paul Curtay [14], la composition idéale d’une bonne eau minérale, que vous pouvez vérifier sur l’étiquette :

  • Magnésium : supérieur à 60 mg/L
  • Calcium : supérieur à 250 mg/L
  • Sulfates : entre 200 et 300 mg/L
  • Bicarbonates : supérieurs à 1000 mg/L
  • Silicium : supérieur à 10 mg/L
  • Fluor : inférieur à 2 mg/L
  • Sodium : inférieur à 200 mg/L sauf si vous souffrez d’hypotension ou de déshydratation importante

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Les marques Evian et Vittel ont un profil minéral équilibré correspondant à ces critères. Idéalement, vous devriez opter pour des bouteilles en verre (la marque Châteldon en propose par exemple, avec un profil minéral idéal) : elles contiennent deux fois moins de perturbateurs endocriniens que les eaux minérales vendues en bouteilles plastiques.

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Veillez alors à choisir un type de plastique le moins nocif qui soit. Pour cela, décollez le pictogramme au fond de votre bouteille. Il s’agit d’un triangle au centre duquel se trouve un chiffre. Evitez les bouteilles contenant du PVC (n°3), polystyrène (n°6), autres plastiques (n°7) et en PET (n°1), dans la mesure du possible, même si beaucoup de bouteilles sont malheureusement produites en PET.

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D’après un article de Rodolphe Bacquet (mars 2021)

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Apprendre-Preparer-Survivre-Les-5-meilleures-techniques-pour-purifier-de-l-eau-non-potable

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Sources :

[1] Hydratation for Health. Hydratation chez les personnes âgées. https://www.hydrationforhealth.com/fr/sciences-de-lhydratation/laboratoire-dhydratation/hydratation-chez-les-personnes-%C3%A2g%C3%A9es/

[2] Schols, J.M., van der Cammen, T., Olde Rikkert, M. G. et al. (2009). Preventing and treating dehydration in the elderly during periods of illness and warm weather. J Nutr Health Aging 13(2): 150-157 ; Kenney, W.L. and P. Chiu (2001). Influence of age on thirst and fluid intake. Med Sci Sports Exerc 33(9): 1524-1532.

[3] Bennett, J.A. (2000). Dehydration: Hazards and Benefits. Geriatric Nursing 21(2): 84-88.

[4] Popkin, B. M. et al. (2010). Water, hydration, and health, Nutrition reviews, 68 (8) : 439–58; Ritz, P. et al. (2005). The Importance of Good Hydration for Day-to-Day Health, Nutrition reviews, 63 : S6–S13.

[5] Lieberman, H.R. (2007). Hydration and Cognition: a Critical Review and Recommendations for Future Research, J Am Coll Nutr, 26: S555-61.

[6] EFSA Panel on Dietetic Products, Nutrition and Allergies (NDA). (2011). Scientific Opinion on the substantiation of health claims related to water and maintenance of normal physical and cognitive function maintenance of normal thermoregulation) and “basic requirement of all living things” EFSA Journal 9: 2075-91.

[7] Gayton, J.L. (2009). Etiology, prevalence, and treatment of dry eye disease, Clin Ophthalmol, 3: 405-12.

[8] Solomon N.P. et al. (2000). Effects of a vocally fatiguing task and systemic hydration on phonation threshold pressure, Journal of voice: official journal of the Voice Foundation, 14 (3): 341–62.

[9] Goffredo, M. et al. (2016). Role of Gut Microbiota and Short Chain Fatty Acids in Modulating Energy Harvest and Fat Partitioning in Youth, J Clin Endocrinol Metab: jc20161797.

[10] Chan, J. et al. (2002). Water, other fluids, and fatal coronary heart disease: the Adventist Health Study, Am J Epidemiol, 155 (9): 827-33.

[11] Kubala, J., Watson, K., & Potter, D. (2020). What Are the Benefits of Drinking Hot Water? Healthline. https://www.healthline.com/health/benefits-of-drinking-hot-water

[12] Çalişkan, N., Bulut, H., & Konan, A. (2016). The Effect of Warm Water Intake on Bowel Movements in the Early Postoperative Stage of Patients Having Undergone Laparoscopic Cholecystectomy: A Randomized Controlled Trial. Gastroenterol Nurs 39(5):340-7. doi: 10.1097/SGA.0000000000000181. PMID: 27684632. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27684632/

[13] Roy, S., 13.09.2019. Médicaments, l’invisible pollution de l’eau », Le Figaro, consulté le 6 juin 2019, disponible sur http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/09/13/25392-medicaments-linvisible-pollution-leau

[14] Numéro spécial, L’eau : bien s’hydrater sans s’empoisonner, Les dossiers de santé & nutrition, n°70, juillet 2017

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