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Il y a quelques semaines, le Professeur Raoult a fait une annonce étonnante : la vaccination favoriserait les pics d’épidémie auxquels on assiste actuellement1. Pensez-y, les campagnes de vaccination n’ont jamais été aussi intensives, pourtant le nombre de cas positifs explose partout dans le monde !
Si l’on regarde les résultats à l’échelle mondiale disponibles sur le site de la Johns Hopkins2 : carte des cas positifs détectés… et le nombre de vaccinés = ce sont les mêmes !!! Depuis le début de la vaccination, il y a eu plus de 9,5 Milliards de doses vaccinales injectées dans le monde, ce qui n’a PAS empêché le nombre de cas diagnostiqués positifs de continuer à grimper.
En conclusion, il semblerait bien que les lieux où la vaccination est la plus forte soit également les lieux où l’épidémie frappe le plus, comme l’annonçait le Pr Raoult. Cela laisse songeur… Pour expliquer ce phénomène, le Pr. Raoult a évoqué une diminution importante de l’immunité dans les deux à trois semaines après l’injection du vaccin. Autrement dit, une fois vaccinés, vous avez potentiellement toutes les chances d’être infectés par le virus ! Mais le Professeur a également évoqué une autre notion, que quelques autres médias et chercheurs commencent peu à peu à reprendre à leur tour : la théorie des anticorps facilitants !
Mais ce phénomène n’est pas nouveau, il s’est déjà observé avec la dengue (ou grippe tropicale)8. Résultat aujourd’hui, seules les personnes ayant déjà contracté le virus de la dengue sont vaccinées. Car il a été observé que les personnes d’abord vaccinées puis contaminées produisaient des formes beaucoup plus graves du virus, à cause des anticorps facilitants justement.
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Idem, avec le virus de la péritonite infectieuse féline (FIPV) dont la vaccination augmente la sévérité de la maladie9. Et visiblement, il se passerait la même chose avec les vaccins anti-Covid !
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Et il n’y a pas que le Pr. Raoult qui le dit10 ! Après quelques recherches, j’ai pu constater que le phénomène des ADE dans les vaccins anti-Covid est attesté par de multiples spécialistes ! En août 2021, le Pr. Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie et microbiologie à l’université d’Aix-Marseille, concluait déjà : « Les vaccins peuvent produire les mêmes effets que le virus SARS-CoV-2 et se montrer capables de conduire à des maladies de la Covid-19. (…) L’immunité naturelle conférée lors d’une infection par le SARS-CoV-2 et ses variants apparaît nettement supérieure à celle conférée par une vaccination11. »
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Également en 2021, une étude énonçait déjà les dangers potentiels des anticorps facilitants avec les nouveaux vaccins anti-Covid12. Fin 2020, le Vidal, référence en matière de savoir pharmacologique, avait publié un article, craignant que les anticorps facilitants interviennent de manière néfaste dans la vaccination anti-Covid13. L’auteur recommandait de surveiller les niveaux d’anticorps, car il craignait qu’en cas de coronavirus endémique (ce qui est le cas), on observe “des bouffées épidémiques de formes sévères chez des personnes vaccinées”.
En avril 2020, l’ancien Premier ministre Edouard Philippe avait lui aussi évoqué cette possibilité, mais ses inquiétudes ont été balayées par le directeur de la Santé, Jérôme Salomon14. Cela fait donc 2 ans que ce risque est connu mais volontairement ignoré ! Malgré ces doutes, tous les pays du monde se sont lancés tête baissée dans de vastes campagnes de vaccination et de rappels.
Pour “parer au plus pressé”, ils ont préféré accélérer la mise sur le marché de vaccins expérimentaux, en écourter volontairement les essais cliniques pourtant nécessaires à leur création, imposer des doses à répétition sans en connaître les dangers, plutôt que de prendre du recul et de réfléchir aux failles potentielles de cette méthode. Une méthode qui pourrait aujourd’hui se retourner contre tous ceux qui se sont fait vaccinés au moins une fois.
Je me pose aujourd’hui la question : quelle est la réalité des effets indésirables dus aux anticorps facilitants ? Se pourrait-il qu’ils soient plus dangereux que ceux du Covid ? J’ai bien peur que sur ce sujet comme sur tant d’autres, la vérité se fasse attendre pendant des années…
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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