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Le toxicomane s’oppose au réel : il a intégré une mauvaise image de lui (souffrance narcissique) qui va induire des phases d’autodestruction logique (heureux de se mettre en péril !). C’est un manipulateur, souvent menteur, impulsif et compulsif … En MTC, on considère que ce patient détruit :
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Selon les Nations unies, en 2005, on recensait 200 millions d’usagers de drogues parmi les sujets âgés de 15 à 64 ans. L’usage de la cocaïne a connu une forte augmentation en Europe. Les conséquences sur la santé physique et mentale, comme sur l’abandon des activités sociales, sont importantes. Il faut en outre tenir compte des co-morbidités : alcool + drogue + troubles psychiatriques (troubles anxieux, dépression, impulsivité, jeu pathologique ou achats compulsifs …).
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La « passion amoureuse » constitue l’exemple d’un investissement toxicomaniaque de l’existence …!
1/ L’initiation : le « coup de foudre passionnel » : révélation du premier contact, les effets « négatifs » sont couverts par l’importance ressentie des effets positifs. 20% des sujets sont accrochés.
2/ La consommation intermittente : au bout d’une période plus ou moins longue, ce n’est plus le plaisir enthousiaste qui fait tenir le couple, mais l’impression que la rupture serait une souffrance trop importante.
3/ La consommation régulière et les abus : la tolérance est le processus d’adaptation qui se traduit par l’affaiblissement progressif des effets de la drogue qui entraîne la nécessité d’augmenter la dose pour avoir les même effets.
4/ Le sevrage : même dans les cas où s’objective de nets troubles physiques (« syndrome de manque » variable selon les produits), la souffrance est surtout psychique, à cause de l’idée obsédante qu’une seule prise de drogue mettrait immédiatement fin à sa souffrance. 80% des sujets rechutent.
5/ Le « craving » : pour certaines drogues ou conduites, il n’y a pas de réel syndrome de sevrage, mais l’organisme fait plutôt l’objet d’une sensibilisation : une petite dose de drogue procurera un effet important, supérieur à ce qu’il était au début de la toxicomanie ! Cas de l’alcool, des rechutes d’accès boulimique, mais aussi les retrouvailles amoureuses (nouvelle lune de miel), après une séparation tumultueuse …
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Les intoxications européennes traditionnelles (drogues légales) :
4. Café = Cocculus (am) … céphalées et vertiges
5. Tabac = Caladium (am) … paresse, irritabilité, oublie tout, ou poussée d’HTA suite d’arrêt du tabac
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Le tabac est un toxique dévastateur : 50% des fumeurs vont en mourir !
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En France, les décès liés au tabac représentent la chute d’un Airbus A320 TOUS LES JOURS !!! De plus il est très addictif.
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Comparatif des méthodes classiques employées pour l’arrêt :
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Phytothérapie : la Valériane est une plante qui dégoute du tabac !
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Profil homéopathique des patients « drogués » :
3 granules à sucer, dès que l’envie se fait sentir. Il n’y a aucune limitation dans le nombre de prises au départ.
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Les intoxications propres au lycéen :
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NB. La marijuana aggrave les problèmes respiratoires des bronchiteux chroniques (risque x 8) et tend à faire baisser la tension artérielle.
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Avec le Nosode de diathèse qui revient souvent : Tuberculinum ++
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Selon une étude italienne (Aquaro et coll. « Silent myocardial damage in cocaine addicts » Heart 2011), la prévalence des lésions cardiaques est très élevée chez les cocaïnomanes asymptomatiques : 83% d’entre eux ayant à l’IRM, soit un œdème (signe d’une consommation récente), soit une fibrose (signe d’une consommation ancienne).
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La cocaïne est la deuxième drogue illicite la plus consommée en Europe. Toutes les catégories sociales sont concernées (4% sur la vie et 1,2% sur l’année écoulée, avec une prévalence jeune – 15/35 ans et masculine).
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4. L.S.D./ Ecstasy = Agaricus (pb) … désorientation temporo-spatiale.
5. Les « Poppers » = Amylenum nitrosum (ge) … bouffées de chaleur congestives et battements ressentis dans tout le corps (Clarke)
6. Les NDS : Nouvelles Drogues de Synthèse … Moins chères, vendues légalement sur le net dans des emballages fluo, les nouvelles drogues de synthèse explosent. Mais ces dérivés moléculaires dérivés de drogues classiques, de composition souvent inconnue, peuvent se révéler très dangereux. Aussi appelées “research chemicals” ou “designer drugs” sont des produits dérivés de drogues plus classiques comme la cocaïne, l’héroïne ou le cannabis, dont on modifie la structure moléculaire. Ce qui permet d’avoir des effets similaires à la drogue d’origine tout en bénéficiant d’un vide juridique. En effet, la loi sur les drogues illicites classe comme produits stupéfiants des formules chimiques précises. En modifiant une composante de la formule de base, on sort de la définition juridique et, partant, on échappe aux poursuites judiciaires !
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NB. La tendance actuelle de la prise en charge des addictions est de travailler bien plus sur la personnalité du sujet (et le mécanisme addictif) que sur la substance utilisée.
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Oligo-éléments : Soufre + Magnésium + Zinc + Lithium
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Phytothérapie (si possible après avoir réalisé un BNS): Avena sativa (zn), Humulus lupulus (pour le cannabis), Passiflora incarnata (cu), Valeriana off. (na) …
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Les syndromes de manque sont différents selon les drogues utilisées :
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Micronutrition, si possible après avoir réalisé un profil des neuro-transmetteurs :
ENERGIUM … est un complément alimentaire à base de Magnésium, d’Eleuthérocoque et de Rhodiola et de Ginseng Rouge Il contribue à :
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SERENIUM … est un complément à base de protéines de soja et de tryptophane. Il contribue :
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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