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Nos gaz homéopathiques comprennent 4 gaz à base d’azote : N2 / NH3 / HCN / N2O
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Ci-dessus, quelques autres gaz d’azote (exemple : Trimethylamine = Me3N)
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L’oxyde nitrique (NO), ou monoxyde d’azote, composé d’un atome d’oxygène et d’un atome d’azote, est omniprésent dans l’organisme sous forme gazeuse. Soluble dans l’eau, il peut traverser librement les membranes cellulaires, et c’est heureux car il est impliqué dans une grande variété de processus physiologiques : vasodilatation, neurotransmission, immunité, reproduction, inflammation, apoptose, régulation de la transcription génique… Mais sa durée de vie courte (de l’ordre de quelques secondes) limite souvent sa disponibilité, et par conséquent ses effets physiologiques.
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Le NO peut aussi bien favoriser qu’inhiber différents processus essentiels comme l’inflammation, la croissance de nouveaux vaisseaux (angiogenèse), le stress oxydatif… Qu’il fasse l’un ou l’autre semble dépendre de sa concentration et de la durée d’exposition dans le corps. La plupart du temps, trop peu de NO favorise les processus inflammatoires et oxydants. Des conditions métaboliques dégradées (diabète, maladies cardiovasculaires…) seraient par exemple associées à une moindre synthèse de NO par le corps. C’est pourquoi un apport externe pourrait s’envisager pour promouvoir les fonctions cellulaires et, le cas échéant, accompagner ou traiter différentes conditions pathologiques (voir ci-dessous). Toute la difficulté est d’apporter la bonne dose au bon moment, car se complémenter en concentrations trop élevées pourrait favoriser le stress oxydatif au niveau cellulaire, avec une kyrielle d’effets sur le corps (problèmes de neurotransmission, entretien de tumeurs cancéreuses) difficiles à anticiper.
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Le monoxyde d’azote est produit dans l’organisme à partir de l’acide aminé arginine et d’une enzyme spécifique (oxyde nitrique synthase) par plusieurs types de cellules : nerveuses, immunitaires et endothéliales principalement. Mais sa synthèse baisse avec l’âge et avec l’apparition des maladies chroniques. De surcroît, sa structure chimique très simple rend le NO hautement réactif ; il peut facilement évoluer en divers produits de réaction (nitrites, nitrates, dérivés de protéines nitrosées…). Heureusement, ceux-ci peuvent aussi bien jouer le rôle de « réservoirs circulants » et être à tout moment réduits à nouveau en NO dans les tissus corporels cibles.
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Nitrogenum oxydatum (N2O = le gaz hilarant)
Pour être précis, il s’agit du N₂O, découvert en 1772 par Joseph Priestley lors de ses études sur les gaz. C’est un peu un « couteau suisse » tant ses domaines d’application sont variés :
— En médecine, il est employé pour l’anesthésie et l’analgesie.
— Dans l’industrie alimentaire, il sert de gaz propulseur pour les crèmes fouettées.
— Dans l’industrie automobile, il augmente les performances des moteurs.
Coté chimie, c’est une toute petite molécule de masse molaire 44,01 g/mol. Sa température de fusion est de -90,8 °C et celle d’ébullition de -88,5 °C.. Très stable dans l’atmosphère, ses formes mésomères stabilisent les charges.
Le N₂O n’est pas vraiment un gaz inoffensif… Il est utilisé de manière récréative comme drogue euphorisante, ce qui n’est pas sans risque, car sa toxicité n’est pas à négliger : une exposition prolongée peut causer des dommages neurologiques et il présente un risque de suffocation à haute concentration.
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Ce gaz est émis par les stations d’épuration en grande quantité, car les bactéries dénitrifiante devraient émettrent du N2 mais à cause des polluants ( antibiotiques…) elles dégagent du N2O. Or c’est un polluant atmosphérique majeur, il contribue 273 fois plus au réchauffement climatique qu’une même masse de CO2 émise en même temps pendant les cent ans qui suivent leur émission….
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Nitrogenum oxydatum (N2O) a bénéficié il y a un siècle, d’une pathogénésie du dr. Clark, reprise par divers auteurs …
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En voici les principaux symptômes (répertoire de Kent) :
PSYCHISME – ACTIVITÉ – désir d’activité
PSYCHISME – CONFIANCE – manque de confiance en soi
PSYCHISME – DÉVELOPPEMENT chez les enfants – arrêt de développement
PSYCHISME – DISCRIMINATION; manque de
PSYCHISME – EXCITATION – tremblement; avec
PSYCHISME – FANTASMES – exaltation de l’imagination
PSYCHISME – IDÉES – déficience des idées
PSYCHISME – GAIETÉ – nuit
PSYCHISME – GAIETÉ – danses, rires, chants; avec
PSYCHISME – GESTES; fait des – enthousiastes
PSYCHISME – GESTES; fait des – majestueux
PSYCHISME – GESTES; fait des – pieds; mouvements involontaires des – danser; pas glissés comme pour
PSYCHISME – GESTES; fait des – pieds; mouvements involontaires des – trépigne, tape des pieds
PSYCHISME – ILLUSIONS – agréables
PSYCHISME – ILLUSIONS – découvertes; de faire des
PSYCHISME – ILLUSIONS – élévation – airs; d’être élevé dans les
PSYCHISME – ILLUSIONS – fou – devenir fou; de
PSYCHISME – ILLUSIONS – mal de mer; d’avoir le
PSYCHISME – ILLUSIONS – voler, s’envoler; de
PSYCHISME – INDIFFÉRENCE – douleur – à la douleur
PSYCHISME – MÉMOIRE – faiblesse de mémoire
PSYCHISME – MENTAL; EFFORT – désir de
PSYCHISME – MENTAL; EFFORT – désir de – nuit
PSYCHISME – PENSÉES – afflux de pensées
PSYCHISME – PENSÉES – rapides
PSYCHISME – PENSÉES – torturantes
PSYCHISME – PENSÉES – vagues
PSYCHISME – RIRE – désir de rire
PSYCHISME – RIRE – excessifs; rires
PSYCHISME – RIRE – incontrôlable
PSYCHISME – RIRE – involontairement; rit
PSYCHISME – SENS – acuité des sens
PSYCHISME – TEMPS [= repères temporels] – lentement et paraît plus long; passe trop
PSYCHISME – THÉORIES; fait des
PSYCHISME – TRISTESSE – choc; suite à un
TÊTE – DOULEUR – sourde; douleur
OEIL – FIXE; regard
OEIL – PUPILLES – dilatation
OEIL – PUPILLES – dilatation – insensibilité à la lumière
OEIL – soubresauts – Paupières
VUE – ACCOMMODATION – défaut d’accommodation
OREILLE – BRUITS dans l’oreille
OREILLE – BRUITS dans l’oreille – bourdonnement sourd, ronronnement
OREILLE – BRUITS dans l’oreille – bourdonnements aigus
OREILLE – BRUITS dans l’oreille – chants, chantonnements
OREILLE – BRUITS dans l’oreille – écoulements, courants, jets
OREILLE – BRUITS dans l’oreille – écoulements, courants, jets – eau; comme un jet d’
OREILLE – CHALEUR (fièvre)
OREILLE – COLORATION – bleue
OREILLE – COLORATION – rougeur
OUÏE – ACUITÉ accrue
OUÏE – DISTANCE – voix semblent éloignées; les
VISAGE – COLORATION – bleuâtre
VISAGE – COLORATION – bleuâtre – Lèvres
VISAGE – COLORATION – rougeur
VISAGE – TRANSPIRATION
BOUCHE – ÉLOCUTION, phonation – bégaiement
BOUCHE – ÉLOCUTION, phonation – difficile
GORGE – AVALER – difficulté à
ESTOMAC – NAUSÉE
VESSIE – MICTION – involontaire
MASCULINE; SEXUALITÉ – DÉSIR SEXUEL – augmenté
LARYNX ET TRACHÉE – DOULEUR – Larynx
LARYNX ET TRACHÉE – DOULEUR – Larynx – piquante; douleur
RESPIRATION – HALETANTE, pantelante
RESPIRATION – IRRÉGULIÈRE
POITRINE (THORAX) – PALPITATIONS cardiaques
EXTRÉMITÉS – FROIDEUR – Pieds
SOMMEIL – INSOMNIE
SOMMEIL – SOMNOLENCE
RÊVES – CAUCHEMARS
RÊVES – ÉROTIQUES
RÊVES – PLAISANTS
GÉNÉRAUX – ANESTHÉSIE
GÉNÉRAUX – CONSTRICTION – Extérieurement
GÉNÉRAUX – CONVULSIONS – épileptiques
GÉNÉRAUX – DOULEUR – Muscles – pressurante; douleur
GÉNÉRAUX – ENGOURDISSEMENT – Extérieurement – Corps; tout le
GÉNÉRAUX – FAIBLESSE
GÉNÉRAUX – FORCE; sensation de – Musculaire
GÉNÉRAUX – MALAISE
GÉNÉRAUX – POULS – dur
GÉNÉRAUX – POULS – fréquent
GÉNÉRAUX – POULS – intermittent
GÉNÉRAUX – POULS – lent
GÉNÉRAUX – POULS – mou
GÉNÉRAUX – POULS – plein
GÉNÉRAUX – PULSATIONS – Extérieurement
GÉNÉRAUX – SOUBRESAUTS
Et ses dilutions se commandent sans problème (sauf en France … merci au laboratoire Boiron !) :
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Une nouvelle expérimentation de cette molécule est faite, prenez-en connaissance … THESE_MASSON
On utilise le N2O comme gaz propulseur pour les syphons à Chantilly car il inhibe la croissance des bactéries et ne laisse aucune odeur.
Il est dommage que sont utilisation soit détournée à des fins récréatives comme euphorisant, ce qui peut créer des atteintes neurologiques graves et irréversibles.
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«Des patients qui ne peuvent plus marcher» : face aux ravages du gaz hilarant, un dispositif inédit dans les hôpitaux lyonnais
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Power-point de présentation thèse : Thèse_Soutenance_MASSON
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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