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Les médicaments anti-cancéreux

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Voici le graphique publié par l’American Cancer Society (ACS), la première organisation mondiale consacrée à la lutte contre le cancer

  • Sur les courbes du haut, vous voyez l’évolution du nombre de cas de cancer, à population constante, depuis 1970.
  • Sur celles du bas, vous voyez le nombre de morts par cancer, à population constante également, au cours de la même période :

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On voit que le risque de mourir d’un cancer a un peu baissé depuis 1975, même si les cas ont augmenté chez les femmes (ligne rose en haut). Chez les hommes, le nombre de morts a baissé, mais reste très supérieur aux morts chez les femmes. Le nombre de cas de cancer, lui, a d’abord énormément augmenté, puis a baissé pour revenir actuellement au même niveau qu’en 1975. Cela est dû à l’apparition de nouvelles techniques de dépistage du cancer dans les années 80, en particulier le test PSA du cancer de la prostate. Ces tests ont énormément fait monter les « surdiagnostics » du cancer à la fin des années 80. Depuis, les Autorités de santé sont revenues sur cette « bêtise », qui a poussé des millions d’hommes à se faire retirer la prostate inutilement, et donc à souffrir pour le reste de leurs jours d’incontinence et d’impuissance tout aussi… inutilement.

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Globalement, toutefois, on voit que la situation n’a guère évolué en 50 ans. Pourtant, le cancer est de loin la maladie ayant absorbé les budgets les plus importants, tant pour la recherche que pour les traitements. L’effort consenti est comparable aux sommes dépensées pour la conquête spatiale. À partir des années 2000, le coût des thérapies contre le cancer a explosé, beaucoup de chimiothérapies coûtant 100 000 euros ou plus par patient.

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Les médicaments de chimiothérapie sont à but curatif (ex. leucémies) ou palliatif (douleurs, volume tumoral ++), de délivrance hospitalière le plus souvent. Ils ont tous de nombreux effets indésirables et une séquelle : l’immuno-dépression (infections, agranulocytose et risque de reprise tumorale rapide !). On distingue cinq classes :

  • Agents alkylants (inhibent l’ADN tumoral) : cis-platine, cyclophosphamide
  • Antimétabolites : méthotrexate, 5-Fluoro-Uracyl,
  • Alcaloïdes de la pervenche (lymphomes) : vincablastine, vincacristine
  • Antibiotiques cytotoxiques (leucémies) : bléomycine
  • Hormones et antagonistes hormonaux (sein, prostate): tamoxifène

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NB. Le cis-platine, anti-mitotique largement utilisé, a des effets secondaires neurologiques qui peuvent survenir dans la demi-heure qui suit l’injection : troubles de l’audition (perception et acouphènes), pertes d’équilibre. Puis tardivement, des paresthésies durables.

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L’approche du pr. M.  Beljanski est un peu différente : ses alcaloïdes freinent la croissance tumorale, il s’agit donc de cytostatiques :

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Et d’ADN microbien aux effets immunostimulants objectivés :

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Homéo/phyto/sérothérapie : une « approche stratégique » est capitale, sous contrôle des BNS ++

De nombreuses plantes ont des effets cytostatiques remarquables, ainsi que certains sels (ex.: Palladium muriaticum, Natrum selenicum …), cf. travaux du professeur Arthur Vernes

L’EFFICOMPLEX n°7 (les acétates) a un bon effet sur les douleurs et la fatigue

La sérothérapie (Foie / SRE … mais jamais l’organe dans lequel se développe la tumeur !) sont détoxifiants et immunostimulants

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