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L’incidence de l’insuffisance rénale chronique progresse en Europe (trois millions de français seraient touchés) et dans le monde (les causes en sont multiples : glomérulonéphrite, maladie de Berger, polykystose rénale, diabète …). On en contrôle la sévérité par le calcul de la clearance de la créatinine (normalement supérieure à 60 ml/mn), un des premiers symptômes en est la crise de goutte. A partir de 15 ml/mn, on envisage la dialyse.
Pour la soigner, plusieurs traitements sont possible mais attention, certains médicaments (Metformine, lithium, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou encore inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont contre-indiqués en cas d’insuffisance rénale évoluée !
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Il existe trois médicaments principaux, à utiliser lors des phases de décompensation de cette insuffisance rénale :
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Nous utilisons largement l’homéopathie complexiste dès qu’un état aigu apparaît : il ne faut alors passer la séquence suivante (CHU) = « Calcium comp. », « Magnesia comp. », « Natrum comp. », « Kalium comp. », « Sulfur comp. » (régulation des équilibres ioniques), avec « Ammonium comp. » et « Acidum comp. » si nécessaire (alcalose/acidose), accompagnés des remèdes unitaires correspondants aux troubles rencontrés, ainsi :
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Ce traitement devra accompagner des mesures hygiéno-diététiques drastiques :
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Elle représente en France (65 millions d’habitants) : 35 000 patients + 7500 nouveaux patients dialysés par an. Deux types de dialyses sont envisageables :
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Ces patients tireront le plus grand bénéfice d’une suivi par BNS, afin de réguler l’inflammation vasculaire induite par la présence d’une fistule artério-veineuse ou d’une irritation péritonéale chronique. Attention à l’utilisation des HE qui augmente le risque de thrombose de la fistule !
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Une supplémentation en vitamines B et C (ex.: Dialvit en Suisse) + antioxydants et Oméga 3 est également à prévoir.
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La solution de la dialyse est la greffe. Les délais d’attente sont de 3 à 5 ans, selon le groupe sanguin, l’âge et la présence de pathologies associées. En France, on surveille actuellement 25 000 porteurs d’un greffon rénal (sous traitement immunodépresseur adapté) et il s’effectue 2000 transplantations/an – la durée de vie moyenne du greffon étant de dix ans (20 ans pour les greffes de donneurs vivants).
Le « don vivant » peut se faire, entre parents et enfants, frères et soeur ou conjoints compatibles. Le donneur doit être en bonne santé. Ce don a l’avantage de raccourcir la période d’attente (il faut compter 6 mois environ pour les différents examens à effectuer aux donneur et receveur) et, le rein greffé n’ayant pas souffert, d’avoir une durée de vie théorique supérieure (parfois plus de 20 ans).
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Cependant, il faut savoir qu’il existe un nombre non négligeable de complications :
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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