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Myocardite – Aortite

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La myocardite était autrefois rare. En raison des vaccins COVID19 et du COVID lui-même, la myocardite est devenue véritablement courante. L’inflammation du myocarde entraîne une destruction des cellules musculaires cardiaques.

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Il existe de nombreuses étiologies (causes) à la myocardite :

  • La principale est l’infection par un virus qui attaque les cellules cardiaques. Les principaux virus sont les entérovirus, les adénovirus, le CMV, les parvovirus, l’herpès, l’EBV.
  • Les infections par des bactéries (maladie de Lyme, Bartonellose, brucellose, Corynebacterium diphtheriae, gonocoque, Haemophilus influenzae),
  • Des maladies auto immunes, parfois après vaccination
  • Des réactions d’hypersensibilité à certains médicaments, lors d’intoxication par des produit toxiques comme le plomb, l’arsenic, l’alcool, certaines chimiothérapies, après une radiothérapie ou une électrocution.

Les principaux symptômes de la myocardite sont :

  • Une douleur thoracique : « elle peut faire penser à une brûlure, à une pression ou encore à une sensation de compression au niveau de la poitrine« . Elle se situe plutôt derrière le sternum, au milieu de la poitrine, et est assez diffuse (ce n’est pas un « point »). Elle peut perdurer pendant plusieurs jours d’affilée.
  • Un essoufflement : « lorsque l’atteinte cardiaque est importante (en cas de myocardite sévère, donc), il peut y avoir des symptômes respiratoires et notamment un essoufflement à l’effort » ajoute le cardiologue.

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Propagande officielle … et chiffres réels (décembre 2021) :

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Biologie :

Le test de troponine a montré que de nombreuses personnes continuent d’avoir une inflammation myocardique de bas grade après un retour à la normale clinique. Cela fait de ces individus des bombes à retardement prêtes à développer une grave aggravation de leur pathologie sous-jacente lorsqu’une injection de rappel est reçue ou qu’une recontraction du COVID ou de l’une de ses variantes se produit. L’inflammation persistante dans le cœur signifie qu’il y a une persistance de la protéine de pointe dans cet organe et très probablement dans une grande partie du corps. Cela ouvre la voie à un déclin soudain et dramatique de la santé lorsque davantage de protéines de pointe sont administrées ou autorisées à être répliquées dans le corps.

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Des niveaux élevés de D-dimères indiquent un état hyperactif de coagulation sanguine dans le corps, et lorsque ces niveaux restent élevés, le pronostic à long terme est probablement très mauvais en termes de morbidité et de mortalité précoce.

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Des problèmes de rythme cardiaque et un bloc cardiaque peuvent survenir lorsque les niveaux de troponine restent élevés. Des intervalles PR à l’ECG qui s’allongent dans la population âgée peuvent laisser présager des problèmes cardiaques importants, y compris une mort précoce. 

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Données de l’ANSM en 2022 =

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Il existe – bien sûr- des contre-exemples = 

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Traitement classique :

Les patients auxquels on diagnostique une myocardite sont généralement hospitalisés, en particulier pour surveiller l’apparition d’éventuelles complications (arythmies cardiaques…) ». Le traitement repose sur l’administration de deux classes de médicaments, en fonction de la sévérité de la myocardite, pendant une période de 6 mois à 1 an :

  • Des inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC) : ces médicaments aident le cœur à mieux se contracter et à diminuer de volume (car, en perdant de la capacité de contraction, le cœur a tendance à se dilater pour compenser),
  • Des bêta-bloquants : ces médicaments sont surtout prescrits pour prévenir l’arythmie cardiaque.

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Un BNS est indispensable pour envisager une prise en charge alternative.

A défaut, les suppléments de nutriments/vitamines/minéraux suivants sont conseillés pour le soutien général de la santé à long terme :

  • Vitamines C, D, K2
  • Magnésium
  • Zinc et quercétine
  • Extrait de feuille d’olivier
  • Préparation multivitaminée et multiminérale (sans calcium, fer ou cuivre ajoutés)
  • Nattokinase, lumbrokinase et/ou serrapeptase pour minimiser tout futur problème de coagulation sanguine

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En Europe nous pouvons utiliser : VITAMINIUM, ANTI-AGIUM, SYNERGIUM Q10, SYNERGIUM OMéga3

Et la serothérapie : KARDIMA et HEPATIMA (Mediamine)

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Remèdes homéopathiques de la pathologie aortique :

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