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ORL = carrefour (aérien, lymphoïde et sensoriel)

Siège de nombreux troubles, mais qui va aussi récupérer plein de dysfonctions périphériques …

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Obstruction nasale : impossibilité de respirer par une ou les deux fosses nasales de façon intermittente dans les rhinites, par l’œdème de la muqueuse, ou de façon permanente dans les obstacles organique (objet, tumeur…).

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Les rhinites chroniques

Pathologie fréquente (20% de la population) à la séméiologie classique : obstruction + rhinorrhée + éternuements, qui s’accompagne fréquemment d’anosmie, de céphalées, de prurit nasal et oculaire. On en distingue plusieurs types :

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La rhinite allergique : réactivité des muqueuses ORL à la présence d’un élément sensibilisant (pollens, poussières, acariens … ), chez un sujet réagissant (à faible seuil de tolérance : leur nombre a doublé en 10 ans). Mécanisme MTC : plénitude du foie (au printemps) qui pénètre le poumon (par voie méridienne) et s’exprime à la face (gorge, nez, œil). Le traitement consistera donc en la dispersion du pôle foie et le renforcement du poumon (insuffisant).

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La rhinite vaso-motrice, associe un gonflement des muqueuses avec écoulement nasal clair. C’est un trouble associé à la libération d’histamine (pas forcément une allergie) qui évolue spontanément vers la polypose. De nombreux médicaments modernes la favorise (bêta-bloquants, IEC, antidépresseurs), comme certaine situations endocrines (diabète, grossesse, hypothyroïdie). L’utilisation excessive de médicaments (spray vaso-constricteurs) entraîne un effet rebond et une évolution vers la rhinite atrophique.

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La rhinite infectieuse (bactérienne ou virale)

Se développe dans le contexte d’un rhume : fébricule, céphalée et toux. L’écoulement nasal est épais, parfois purulent. Sa répétition peut évoluer vers une sinusite chronique purulente.

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Epistaxis : Ecoulement de sang rouge par le nez, qui peut traduire une pathologie rhinologique ou générale (ex. hémophilie, HTA …)

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Amygdales : tissu lymphoïde de défense de la gorge. Peut s’hypertrophier et gêner ainsi la respiration et la déglutition de l’enfant. Mieux de les garder, par contre les végétations moins traumatisant et souvent bénéfique.

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Oreille2

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Otalgie : douleur d’oreille, inflammatoire locale ou à distance (dent de sagesse, parotide …).

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Otite externe et otite moyenne aiguë

Inflammation, œdème, douleur, fébricule et écoulement éventuel du conduit auditif externe. Les causes en sont multiples, toujours sous-tendus par un phénomène « humidité-chaleur » qui accentue la densité des glaires. C’est la première cause d’antibiothérapie dans les pays développés.

Otite séreuse fréquente après antibiothérapie

Hypoacousie : baisse de l’audition, préciser si c’est bilatéral ou unilatéral, le niveau de l’écoute (audiogramme éventuel) et la faculté de discriminer les sons (presbyacousie)

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Vieillissement de l’ouïe : la presbyacousie (très fréquente) est l’incapacité à dissocier 2 sons proches: si 2 personnes parlent en même temps on ne comprend rien. Il n’existe pas d’appareil pour corriger ça !

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Vertiges et bourdonnements d’oreilles

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