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De l’organothérapie homéopathique aux sérocytols puis aux compléments alimentaires IMMOV …
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Les sarcodes (de « Sarcx » = la chair) ou « organothérapiques » sont des produits (sécrétions) ou extraits tissulaires sains, d’origine animale. Citons par exemple dans la matière médicale homéopathique : Lac caninum, Cholesterinum, Thyroidinum … Son principe d’action est celui de la régulation par micro-doses de l’organe homologue du malade. Le sarcode est un remède tiré d’une partie d’un animal et non de l’animal entier, ce qui exclut de la définition des remèdes comme : Apis mel. (l’abeille), Asterias rubens (l’étoile de mer), Coccus cacti (la cochenille), Homarus (le homard), etc. qui sont des triturations d’animaux entiers.
Il ne s’agit donc pas d’homéopathie au sens strict, puisque la méthode utilise la loi d’identité, alors que l’homéopathie repose sur la loi de similitude symptomatique de substances de nature différente.
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Il ne faut pas confondre l’organothérapie avec l’opothérapie substitutive, l’administration pondérale ayant toujours pour conséquence d’induire un ralentissement des sécrétions endogènes – problème en particulier remis au goût du jour par l’hormonothérapie anti-âge.
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L’immunothérapie tissulaire a été mise au point dès 1930 à partir d’expérimentations pharmacologiques et cliniques : un sérum obtenu après immunisation par des extraits d’un organe peut produire deux effets inverses :
– provoquer des lésions pathologiques spécifiques de cet organe, lorsqu’il est administré à fortes doses,
– corriger un dysfonctionnement de l’organe concerné, lorsqu’il est administré à faibles doses.
L’immunothérapie diluée et dynamisée constitue depuis plus de cinquante années une application thérapeutique, à côté de l’homéopathie.
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Jean THOMAS, né en France en 1902, fait des études de médecine à Shanghai, puis obtient la chaire d’anatomie pathologique à l’Université de Carthagène. Nommé plus tard chef du laboratoire de l’hôpital du Sacré-Cœur de Shangai, il réalise ses premiers essais sur l’utilisation thérapeutique des sérums tissulaires en 1930. De retour en France, il met au point les premiers médicaments de cette classe dès 1945, puis vient s’établir en Suisse où il fonde le Laboratoire de Sérocytologie en 1958 et commence la production d’ immuns sérum organiques équin).
Les « anti-corps d’organes » du laboratoire français MEDIAMINE utilisent, non les sérums équins, mais le jaune d’œufs de poules préalablement sensibilisées par des extraits antigéniques. Ils sont commercialisés comme « complément ali- mentaire ». Ils ont bénéficié de ce statut, car l’aliment évitent les réactions au sérum de cheval qui ont pu être autrefois observées chez certains patients avec les produits de Sérolab.
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Il faut remarquer que la dynamique de l’organothérapie (antigènes) et de la sérothérapie (anticorps) est une peu différente. Il est cependant parfaitement possible d’associer ces deux formes de relance organique, si l’on veut un effet à la fois rapide et durable. Les organes (AG) ayant un effet net et bref (de l’ordre de la semaine, les sérums organiques (AC) ayant un effet plus lent à apparaître, mais prolongé (de l’ordre du mois).
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L’organothérapie aura un bon effet dans les allergies et les maladies dégénératives. On aura par contre intérêt à privilégier la sérothérapie quand le SRE est déficient (déficit en anti-corps), en particulier dans les cas d’infections chroniques et de cancer.
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Théorie et pratique d’une relance organique simple et efficace :
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Chapitre 1. Histoire des méthodes ………………………………………………….7
Choix des dilutions ………………………………………………………………………..12
Chapitre 2. Comprendre les dysfonctions organiques………………….21
Les « terrains hippocratiques » …………………………………………………….21
Le questionnaire symptomatique …………………………………………………24
Chapitre 3. Comprendre la dynamique des événements ……………..29
Les 6 « phases de Reckeweg » ……………………………………………………..29
La dynamique de l’inflammation……………………………………………………..31
Chapitre 4. La biologie fonctionnelle …………………………………………….33
Les « Bilans Nutrition-Santé » ………………………………………………………33
Autres méthodes de biologie fonctionnelle…………………………………..36
Chapitre 5. La gamme des produits IMMOV……………………………………41
Chapitre 6. Choisir un axe de traitement……………………. ………………..47
Le « terrain intoxiqué » …………………………………………………………………48
Le « terrain dystonique » ………………………………………………………………49
Le « blocage lymphoïde »………………………………………………………………51
La manifestation « acide » ……………………………………………………………52
Le « terrain vasculaire » ………………………………………………………………..54
Le « terrain déminéralisé » ……………………………………………………………55
Pathologies évoluées ou complexes ……………………………………………..57
Chapitre 7. Une étude clinique : CAPILLA …………………………….. ………61
Chapitre 8. Cas cliniques………………………………………………………………..65
Cas cliniques vétérinaires……………………………………………………………….71
Bibliographie …………………………………………………………………………………..75
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