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L’ostéoporose est liée au déplacement de la masse calcique, de l’os vers le tissu conjonctif (ostéophytose) et l’endothélium des vaisseaux (artères calcifiées). Ce phénomène est essentiellement du à une désadaptation endocrinienne prolongée (ovarienne vers 50 ans et parathyroïdienne plus tard). On observe une raréfaction de la trame protéique de l’os (agrandissement des espaces médullaires et atrophie trabéculaire), exposant au risque de fracture.

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Le tassement vertébral est la complication la plus fréquente, surtout à partir de 80 ans : 70 000 tassements sont découverts chaque année en France, alors que tous les paramètres biologiques classiques (VS, Calcémie, Calciurie, Phosphore …) sont normaux ! Les causes peuvent être iatrogènes (corticoïdes, hormones thyroïdiennes, héparine, chimiothérapie …..). Les femmes perdent 40 % de leur masse osseuse au cours de leur vie (25 % pour les hommes). 

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Seule une ostéodensitométrie > à – 2 écart-types permettra de l’affirmer.

Curieusement, les résultats de celles-ci sont assez systématiquement basses (validité des moyennes ?!). D’autant qu’avant 80 ans les fracture de faiblesse sont extrêmement rare … Cet examen peut cependant être utile, mais il est imparfait :

  • — il ne mesure que les minéraux et non le collagène, la partie organique sur laquelle reposent les minéraux ;
  • — il exclut d’autres paramètres comme la présence de microlésions, l’architecture de l’os, qui rentrent en compte dans le risque de fracture.

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L’interrogatoire reste donc le moment essentiel du diagnostic :

  1. âge de la ménopause, prise d’un THS (à quel âge et combien de temps ?), existence d’une sécheresse cutanéo-muqueuse ?
  2. antécédents fracturaires personnels et familiaux,
  3. sédentarité, épisode d’immobilisation récent, pratique de sports. En effet, l’activité physique représente aujourd’hui la meilleure prévention de l’ostéoporose (cf. les spationautes qui effectuent 2 heures d’exercices par jour pour éviter la déminéralisation induite par l’absence de gravité !)
  4. hyperthyroïdie ou prise de corticoïdes, antécédent de cancer (métastase ?!). L’ostéolyse ou l’ostéocondensation d’un myélome ou d’une tumeur métastatique est évoquée au chapitre « cancer ».
  5. prise de laitages et exposition au soleil.
  6. origine ethnique : les peau noires ayant plus facilement un déficit en vitamine D

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Incidence de l’ostéoporose en % population, en fonction de l’age :

  1. 60 ans = 10%
  2. 70 ans = 20%
  3. 80 ans = 50% des femmes et 25% des hommes !

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« L’ostéoporose, épidémie silencieuse » titrent les journaux ! … Le squelette, par sa charge en calcium, joue un rôle tampon essentiel dans l’équilibre acide-base de l’organisme. Dans l’alimentation, les principales sources :

  1. – d’acides sont les nitrates, les sulfates et les phosphates, apportés par les protéines animales,
  2. – d’alcalins sont les fruits, les légumes et les légumineuses (protéines végétales), riches en citrate de potassium (donc favorables).

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Les classiques proposent :


Le fluor 25 mg/jour maximum, est à présent abandonnée … car à trop fortes doses expose à des troubles de la minéralisation = la « fluorose« , or même à dose faible, il induit une perturbation du métabolisme thyroïdien (car le fluor prend la place de l’iode !). De plus, 25 % des sujets sont « non-répondeurs », c’est-à-dire qu’ils n’augmentent pas leur densité vertébrale sous fluor !

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— Le calcium 1500 mg/jour maximum (norme de la FDA)… mais le risque de calcul rénal est augmenté. De plus, les prises de calcium doivent être décalées des prises de fluor –> fluorure de calcium non absorbable ! Saviez-vous – en outre – que la prise de Calcium augmente la tension artérielle ! 

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En 1980 aux États-Unis, une équipe de chercheurs sous la houppette de Diane Feskanich a entrepris une étude clinique sur 12 années. Commandée et financée par les National Institutes of Health et le Département de l’Agriculture des États-Unis, cette étude a été menée auprès de 77 761 femmes âgées entre 34 et 59 ans. Le projet de l’étude était de chercher à savoir si le lait avait un quelconque impact sur la santé des os chez les femmes. Et le résultat fut sans appel. Les chercheurs n’ont trouvé aucun bienfait du lait sur les os. Mais pire encore, le risque de fracture des os de la hanche et du fémur augmente respectivement de 50% et 10% par rapport aux femmes ne consommant pas de lait.

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La décalcification des os n’est pas provoquée par le manque de calcium alimentaire, mais par un problème d’assimilation et de maintien du calcium sur la structure des os. Pour assimiler et maintenir le calcium, vous avez besoin de magnésium (360 mg par jour), de vitamine D (1 500 UI par jour) et de vitamine K2 (90 mg par jour)

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— La vitamine D 800 UI/jour, dont l’ostéomalacie en est l’indication privilégiée, mais par contre, elle augmente le risque d’aggravation d’une artériopathie sévère des membres inférieurs ou même coronarienne ! La vitamine K2, souvent oubliée, est un bon adjuvant de la vitamine D3.

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L’hormonothérapie (à présent majoritairement abandonnée) :

  1. la calcitonine … associée au Phosphore, indiquée dans les ostéoporoses résistantes 
  2. les anabolisants stéroïdiens … intéressants chez les sujets très âgés du fait de leur effet trophique général. La DHEA a un effet semblable à minima …
  3. les œstrogènes … chez la femme après la ménopause, mais dont les études récentes révèlent l’augmentation du risque de cancer du sein.
  4. attention aussi à l’utilisation sauvage de la DHEA !
  5. l’hormone somatotrope … facteur anabolisant essentiel, mais très cher et toujours en cours d’essais thérapeutiques (quelques complications : ovarites …)
  6. les cytokines … IGF (insulin-like growth factor), TGFB (transforming g.f.), FGF (fibroblast g.f.) … sont à l’étude actuellement. Des études récentes mettent en évidence le rôle de l’interleukine 6, qui stimule la production médullaire des ostéoclastes.
  7. FOSTEO … injections d’hormone parathyroïdienne, traitement limité à 24 mois dans la vie (non renouvelable) et encore largement expérimental !

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—  Les biphosphonates sont très utilisés dans l’ostéoporose, la maladie de Paget et l’hypercalcémie des métastases cancéreuses. 

Les biphoshonates sont encore les principaux médicaments utilisés pour l’ostéoporose. Pour la petite histoire, ce sont des molécules étudiées à l’origine par les fabricants de lessive pour leur capacité à rendre le linge plus souple et plus blanc ! Ils inhibent la résorption osseuse (limitent la suppression des cellules de l’os) et améliorent la densité de l’os, mais ils n’ont aucun effet prouvé sur la qualité de l’os.

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Depuis 2003, on ne peut plus ignorer que ces traitements (Fosamax®, Boniva®, Didonel®, Actonel®, Clastoban®, Lytos®, Zometa® …) sont à l’origine d’ostéonécroses de la mandibule et du maxillaire (ONM). Ces complications peuvent apparaître pendant et après un traitement par Biphosphonates. Nombreux sont actuellement les patients qui « bénéficient » de ce traitement préventif de l’ostéoporose, dont le mode d’action est un ralentissement du remaniement osseux, par blocage de l’activité des ostéoclastes. Or, ces remèdes diminuent ainsi l’angiogenèse et contribuent à la disparition progressive de la vascularisation intra-osseuse. Ils ne sont que très faiblement métabolisés et s’accumulent dans l’organisme.

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Si on peut accepter ce risque (de 0,8 à 12 % des cas selon les auteurs ?!) dans les myélomes multiples et les métastases osseuses de certaines tumeurs (la voie intra-veineuse est alors conseillée), il nous paraît extrêmement risqué de maintenir un tel traitement, surtout que l’on sait que le risque d’ONM est majoré par le moindre foyer inflammatoire ou infectieux de voisinage. Ainsi les lésions apparaissent fréquemment après une extraction dentaire (risque multiplié par sept) ou une chirurgie buccale simple (dépose de prothèse par exemple).

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Ces ulcérations peuvent aussi survenir spontanément, même sur des maxillaires édentés ! Lorsque l’ostéonécrose est avérée, il n’y a plus qu’à adresser votre patient au service hospitalier de chirurgie maxillo-faciale, car la nécrose peut envahir largement la mandibule. A ce stade, il n’y a plus grand chose à faire, les reconstructions ou les greffes étant à éviter : reste la prescription d’antalgiques, d’un antiseptique local et un débridement chirurgical si nécessaire.

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Dans une étude récente, il a été mis en évidence :

  1. Dans un rapport de la fondation Cochrane, un de ces médicaments n’a montré un potentiel de réduction des fractures de la hanche que de…1 à 2 % seulement
  2. le rôle des ostéoclastes dans le métabolisme de la sérotonine (neuromédiateur antidépresseur) : ils réduisent durablement l’activité de ceux-ci ?!

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— Le Ranélate de Strontium (Protélos®), peu efficace et non dénué d’effets secondaires (céphalées, nausées, diarrhées, douleurs musculaires, confusion mentale …). À partir de 2011, certains scientifiques commencent à s’inquiéter de certains de ses nombreux effets secondaires : thrombose veineuse, embolie pulmonaire, allergie extrême, troubles de la mémoire, convulsions… Mais les autorités font la sourde oreille. En 2014, un comité d’experts de l’Agence européenne des médicaments recommande de suspendre totalement son utilisation en raison de risques cardiaques sévères.

Mais l’agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) se contente de poser des restrictions sur son utilisation. Et il faut attendre août 2017 pour que le laboratoire qui le commercialisait le retire du marché… 13 ans après sa sortie ! En 13 ans, combien de personnes ont eu le temps d’être empoisonnées ?!

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Les anticorps monoclonaux (Prolia, Amgen, Aclasta) qui inhibent la formation, la fonction et la survie des ostéoclastes et le « Rank ligand » médiateur essentiel de la résorption osseuse. Il s’administre via une seringue pré-remplie (60 mg), en sous-cutané, une fois tous les 6 mois. Contre-indication : les hypocalcémies. Effets secondaires : ceux des biphosphonates + infections (cutanées, urinaires ou respiratoires), eczéma et rougeurs articulaires, ainsi qu’un taux de cancer plus élevé (?!). De plus, des travaux récents (Centre des maladies du CHUV-Suisse), ont démontré que l’arrêt du traitement s’accompagnait d’effet rebonds sévères, caractérisés par une accélération de la perte osseuse et des fractures spontanées ! Le Romosozumab, qui cible la sclérostine, n’aurait pas ces inconvénients:

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Avant de vous ruer chez votre médecin pour demander une ordonnance. Vous devez savoir que le romosozumab, qui sera réservé aux femmes à haut risque, avait d’abord été refusé par l’Agence européenne des médicaments (AEM). Car des études ont montré que l’utilisation de ce médicament augmentait le risque de mort cardiovasculaire, de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral.

Sans compter que l’efficacité du médicament reste relative… Une étude a démontré qu’elle diminue après l’injection de 12 doses et que le gain de masse osseuse observé s’estompe à l’arrêt du traitement. Alors pour des effets sur la durée… c’est plutôt mal parti.

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Nous voudrions raconter une petite histoire (vraie) à ceux qui croient encore aux boniments (merveilleux) des laboratoires distribuant les biphosphonates, le calcium etc … Il y a une vingtaine d’années, les spécialistes du vol spatial étaient inquiet : pour chaque semaine en orbite, les cosmonautes perdaient environ 3 à 6% de leur masse calcique : rappelez-vous les images des premiers retours de vols longue durée, où les braves pilotes ne tenaient plus debout … 

Or, quand on exerce cette belle profession, on est tenu d’accepter tous les traitements passant par la tête des divers médecins spécialistes : le calcium (hautes doses), les vitamines, les oligoéléments (strontium …), les différentes hormones (PTH, testostérone…) …  tout y est passé et les cosmonautes se déminéralisaient toujours autant ! 

Un d’eux a eu l’idée de demander à apporter avec lui un tendeur avec deux poignées, pour faire un peu d’exercice : ses résultats calciques étaient bien meilleurs. Depuis, la station spatiale internationale comporte une salle de fitness avec 2 à 3 heures d’exercice quotidien obligatoire pour chacun ! 

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Donc, arrêtez d’effrayer les mamies et de les gaver de médicaments potentiellement toxiques : faites ressortir le vieux vélo du garage, demandez-leurs de regonfler les pneus et de faire 3 fois par semaine un petit tour d’une demi-heure … c’est suffisant pour repousser le risque fracturaire bien au-delà de 80 ans. D’autant que personne ne sait actuellement comment traiter une nécrose (évolutive) aux biphosphonates (préconisation officielle : antalgiques à la demande !).

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Les homéopathes savent depuis longtemps que cinq minéraux sont à la base du métabolisme osseux : le Calcium, le Magnésium, le Phosphore et la Silice (agent de pontage entre polysaccharides et protéines). C’est pourquoi nous prescrivons à ces patient(e)s une à deux cures par an des sels de Schüssler suivants : Calcarea phosphorica + Calcarea fluorica + Magnesia phosphorica + Silicea 6 DH aa. 

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Les calcium =

CALCAREA CARBONICA

Patiente lombalgique, anxieuse, fatiguable, frileuse et en surpoids

CALCAREA FLUORICA

Malformations des os. Luxation articulaire facile. Fissuration dans les articulations. Élargissements enflés et indurés ayant leur siège dans les tissus et les ligaments. Lumbago chronique. Lumbago pire en commençant à bouger et mieux en continuant à bouger. Mieux en frottant, les applications chaudes.

CALCAREA PHOSPHORICA

Ossification lente, pseudarthrose. Il a une affinité où les os forment des sutures ou une symphyse, des douleurs, des brûlures le long des sutures. Courbure de la colonne vertébrale vers la gauche. Les vertèbres lombaires se penchent vers la gauche. Douleur de la symphyse sacro-iliaque, comme cassée. Douleur violente, pire moindre effort, hurle de douleur.

SILICEA

Ostéoporose due à une mauvaise assimilation du calcium. Nécrose, carie et ramollissement des os. Silicea peut stimuler l’organisme à réabsorber les conditions fibrotiques et le tissu cicatriciel. Le patient Silicea a froid, a froid, serre le feu dans ses bras, veut beaucoup de vêtements chauds, déteste les courants d’air, les mains et les pieds froids, pire en hiver. Manque de chaleur vitale. Prostration de l’esprit et du corps. Maladies associées à la formation de pus. Tendance à l’épuisement facile et aux sueurs anormales. Transpiration agressive sur les mains, les aisselles et les pieds.

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Ce traitement « de fond » sera dynamisé par la prescription épisodiques de dilutions de sels de Baryum (sujet obèse) ou de Strontium (sujet maigre), dont le métabolisme est proche de celui du Calcium (alcalins, comme lui), qui en s’incorporant à la trame calcique augmentent sa résistance. Cf. leur pathogénésies :

  1. Baryta carbonica … laxité ligamentaire, ostéoporose
  2. Strontium carb. (ba) … rétraction ligamentaire, sujet aux entorses et névrites.

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Remèdes à utiliser lors des douleurs erratiques de décalcification : Anantherum (hg), Arsenicum album, Fluoricum acidum, Heckla lava (si), Lachesis, Phosphorus (douleurs brûlantes, améliorées par le repos), Silicea

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La solution idéale – pour nous – consiste à faire pratiquer un BNS qui évaluera les tendances dominantes qui expliquent la déminéralisation (sécheresse d’origine hormonale, dysfonction de l’épuration rénale, déficit vitaminique ou minéral …?), puis de prendre une correction spécifique (plantes + micro-nutrition) que l’on réactualisera chaque année. Deux plantes se révèlent particulièrement efficaces :

  1. la Prèle (Equisetum arvense), qui a en outre des propriétés anti-inflammatoires … en poudre
  2. la Consoude (Symphytum off.), qui peut aussi agir sur les pseudarthroses (retard de consolidation) … en tisanes

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SYMPHYTUM OFFICINAL

Fractures dues à l’ostéoporose. Symphytum est communément appelé «os tricoté» et, comme son nom l’indique, il aide à tricoter/unir l’os fracturé en augmentant la production de callosités. Ce remède aide à l’union de l’os fracturé très efficacement. Douleurs piquantes et courbatures au site fracturé.

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Il faudra souvent compléter ce traitement par un apport informatif séquentiel, grâce à l’homéopathie gazeuse : nous préconisons le coffret « RHUMA.STOP » (Pharmacie des Bergues – Genève), deux granules trois fois par semaine, 10 tubes = un an de traitement.

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Des équipes françaises et tchèques ont rapporté les effets bénéfiques d’un médicament homéopathique complexe Osteocynesine dans le traitement de l’ostéoporose chez les femmes ménopausées. Les femmes ont subi des tests de densité osseuse avant et après un traitement de 3 et 6 mois avec Osteocynesine qui contient des dilutions homéopathiques de Calcarea carbonica, Calcarea phosphorica, Calcarea fluorica et Sulphur iodatum. Les suivis ont montré une augmentation de la densité osseuse.

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Les remèdes complexes du laboratoire Reckeweg :

Dr. Reckeweg® R34 CALCOSSIN … fracture ou ostéoporose : Calcarea carb. D30 + Calcarea fluor. D12 + Calcium phosphoricum D12 + Chamomilla D6 + Hekla lava D12 + Mezereum D6 + Mercurius rubr. D12 + Silicea D30

Dr. Reckeweg® R20 EUGLANDIN F … équilibre hormonal féminin : Thymus D12 + Thyroïdea D12 + Hypophysis D12 + Pancreas D12 + Surrenale D12 + Ovarium D12

Dr. Reckeweg® R69 INTERCOSTALIN … douleurs intercostales : Arsenicum album D12 + Colocynthis D12 + Ranunculus bulb. D2 + Rhus tox. D30

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Les remèdes complexes du laboratoire Heel :

  1. CARTILAGO SUIS COMP. (Zeel) ampoules, gouttes et pommade … arthrose, ostéoporose
  2. OVARIUM compositum … ostéoporose post ménopausique
  3. OSTEOHEEL S … ostéophytose associée (surtout pour les « becs de perroquet »)

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Oligo-éléments : Cuivre-Or-Ag + Mn-Cobalt + Phosphore + Fluor + Mg + Zing + Silicium

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MicronutritionMINERALIUM …  est un complément alimentaire qui contribue :

  • à réduire la fatigue (Magnésium)
  • à l’équilibre électrolytique (Magnésium) et au métabolisme acido-basique normal (Zinc)
  • au maintien d’une ossature normale (Magnésium, Zinc, Vitamine D3)
  • à la formation normale de tissus conjonctifs (Manganèse) et à leur maintien (Cuivre)
  • à protéger les cellules contre le stress oxydatif (Cuivre, Manganèse, Zinc)
  • au fonctionnement normal du système immunitaire (Cuivre, Sélénium, Zinc, Vitamine D3).

Avec : SYNERGIUM OMEGA3 + HORMONIUM

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Il existe aussi – bien sûr – d’autres excellents « compléments alimentaires » qui vont limiter l’évolution de cette affection dégénérative, ainsi :

  1. OSTEON (lab. Acepsa – Suisse – 1034 Boussens)
  2. Dictyolone 500 (extrait de Padina pavonica – lab. Texinfine – 69006 Lyon)

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Sérothérapie (IMOV) : ARTIMA + VITALIMA

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Références :  

The effects of vitamin D, K and calcium co-supplementation on carotid intima-media thickness and metabolic status in overweight type 2 diabetic patients with CHD.Br J Nutr. 2016 May 20:1-8.[4] Cumming RG, Cummings SR, Nevitt MC, Scott J, Ensrud KE, Vogt TM, Fox K. Calcium intake and fracture risk: results from the study of osteoporotic fractures. Am J Epidemiol. 1997 May 15;145(10):926-34.

Site Overblog: les suppléments de calcium… attention danger cependant 

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