Oxygenum

.

L’air contient 21% d’oxygène en volume. Le poids de l’oxygène respiré quotidiennement dépasse le poids des aliments avalés !

.

.

On sait que la consommation tissulaire en Oxygène est sous la dépendance d’un phosphate organique : le 2,3 diphosphoglycérate (2,3 DPG) qui est un régulateur de la fonction oxyphorique des globules rouges. La fixation du 2,3DPG diminue considérablement l’affinité de l’hémoglobine pour l’oxygène et de ce fait entraîne un accroissement de la libération d’oxygène au niveau des tissus.
Donc, si l’administration d’oxygène, à dose infinitésimale devrait agir sur le métabolisme de l’oxygène en favorisant la respiration cellulaire, on devrait observer une augmentation significative du taux sanguin du 2,3 DPG.
C’est ce qui a été mis en évidence par le laboratoire de Chimie Biologique de la Faculté de Médecine de Strasbourg. Après un dosage initial du 2,3 DPG, on a administré à quarante deux sujets quatre injections sous-cutanées d’O2 D6 (soit la dose de 1 ppm) ah merde alors, à raison d’une injection de 1 ml, à intervalle de quatre jours. Huit jours après la quatrième injection, a été réalisé un deuxième dosage de 2,3 DPG.

Ce protocole a permis de mettre en évidence une diminution du taux du 2,3 DPG chez cinq sujets tandis que chez les trente sept autres on a constaté une augmentation statistiquement significative.
Celle-ci s’est établie autour d’une moyenne de 19.04% avec des variations se situant dans une fourchette allant de 0.77 à 78.42%
Ainsi se trouvent démontés la loi d’identité et la capacité de l’Oxygène d’influer sur son propre métabolisme et par là sur la gestion énergétique de l’économie organique.

.

Le dr. Jan SCHOLTEN organise une répertorisation à partir de la table de Mendeleïev, en classant les SYMPTOMES COMPORTEMENTAUX MARQUANTS des remèdes homéopathiques selon leur place dans ce tableau. Il organise ainsi une lecture par colonne et par ligne.
Colonne 16 : OXYGENE, Soufre, Sélénium, Tellure, Polonium
J’ai tout perdu, je laisse filer : vit dans la paresse et la négligence.

.

Une première pathogenésie a été effectuée par le Dr Chetna N. SHUKLA (Inde), sur cinq de ses étudiants en dose unique de 30K, suivi de quelques semaines de recueil des symptômes, qui ressemblent tout à fait aux problématiques de SULFUR, comme notre tableau de correspondance nous le laissait supposer.

.

Psyché :

  • Se sent fort, confiant, indépendant, confiance en lui, dort mieux, quête d’idéal.
  • Accès de paresse, d’irritabilité, de colère. Egoïste. Très critique
  • Désir de reconnaissance. Se sent indispensable.

.

Soma :

  • Démangeaisons, rash, impression de chaleur, améliorée dans un bain chaud
  • Désir d’alcool et de boissons chaudes. Dérangé par le bruit

.

NB. Nous sommes à la recherche des textes originaux de ces pathogénésies des gaz, ou de nouvelles recherches les concernant : n’hésitez pas à nous contacter si vous pensez détenir des informations intéressantes.

Inscrivez vous à notre newsletter !

Vous appréciez les articles de notre site ?

Vous vous intéressez à la santé naturelle et à la médecine fonctionnelle ?

Laissez nous votre email pour recevoir toutes les semaines des articles, des infos et des conseils