Paul KOLLITSCH (1896 – 1976)

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Fils d’un médecin homéopathe, il effectue ses études secondaires au lycée parisien Louis-le-Grand (Paris). Il s’engage en 1914 à 18 ans, lors de la Grande guerre pendant laquelle il sera présent à Verdun, puis participera à la campagne d’Orient.

Démobilisé, il commence des études médicales en 1919. Il soutient sa thèse en 1925.

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Il est chargé d’une consultation à l’hôpital Saint-Jacques. Il rejoint, au sein de la Société française d’homéopathie, Léon Vannier,  et Maurice Fortier-Bernoville  avec celui-ci il, à ce moment, crée la revue L’Homéopathie moderne en collaboration avec Charles Noailles.

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Il est élu président de la Société française d’homéopathie, quelques années plus tard, en 1937, et vice-président de la Ligue médicale homéopathique internationale qu’il présidera en 1957.

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Il assure des consultations de médecine homéopathique dans les hôpitaux Léopold Bellan, Hahnemann et Saint-Jacques. De plus, il enseigne avec Paul Chiron et Jean-Paul Tessier. Outre ses nombreuses activités et communications, il publie un ouvrage pédagogique de référence : Homéopathie, Matière médicale Thérapeutique (Maloine, 1955).

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Ses qualités médicales et humaines le font élire président de la Société médico-chirurgicale des hôpitaux libres de France, ce qui contribue à rapprocher les médecins homéopathes des autres praticiens.

Il sera fait chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’Ordre national du mérite.

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