La phase 5 de H. Reckeweg : l’auto-immunité
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Selon les Dr. Willem et Devaux, il y aurait sans doute plus de six grands facteurs déclencheurs de maladies auto-immunes. Pour lui les hypothèses possibles favorisant leur apparition seraient :
- Le facteur intestinal, lorsque la membrane intestinale devient poreuse suite à une absorption disproportionnée de gluten ou d’aliments susceptibles de provoquer des intolérances.
- Le facteur médicamenteux, avec les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les IPP, les immuno-supresseurs, les statines, les corticoïdes… s’attaquant directement à la paroi de l’intestin grêle, ainsi qu’au métabolisme.
- Le facteur infectieux, avec des infections chroniques généralement silencieuses (HPV, Chlamidiae, Borréliose …) et les polyvaccinations, épuisant le système immunitaire et favorisant le développement de certains auto-anticorps.
- Le facteur toxique, c’est à dire environnemental, avec la pollution atmosphérique, mais surtout le mercure dans les plombages, l’aluminium dans les vaccins, l’eau du robinet, les ustensiles de cuisine, les additifs alimentaires, les cosmétiques, les nano-particules, les pesticides …
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C’est précisément en réaction à ces diverses toxiques que l’organisme va fabriquer des anticorps. En outre, le phénomène va être amplifié par :
- Le facteur du stress, déstabilisant les systèmes hormonal et immunitaire, conduisant volontiers à la dépression qui amplifiera le phénomène.
- Et bien entendu, le facteur génétique, apanage de la recherche allopathique.
Or, on recense aujourd’hui deux types de maladies auto-immunes se ramifiant en dizaines d’affections spécifiques.
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1/ Les maladies auto-immunes dites « systémiques » s’attaquent à une molécule, fallacieusement identifiée par le système immunitaire comme étant dangereuse, à différents endroits du corps. Sont considérées comme des maladies auto-immunes systémiques :
- la spondylarthrite ankylosante,
- les rhumatismes articulaires aigus,
- la polyarthrite rhumatoïde,
- la sclérodermie,
- le syndrome de Sharp… etc.
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2/ Les maladies auto-immunes spécifiques s’attaquent pour leur part à des organes bien précis. Sont considérées comme spécifiques des maladies auto-immunes bien connues, par exemple :
- la maladie de Gougerot-Sjögren,
- la thyroïdite d’Hashimoto,
- mais aussi le diabète sucré de type 1,
- l’hépatite chronique active,
- les maladies coeliaques… etc.
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Or la réponse officielle aux maladies auto-immunes, je veux dire celle que vous trouverez dans toutes le pharmacies, est souvent un traitement à base de cortisone mettant le système immunitaire hors d’état de nuire, mais le rendant également incapable de jouer son rôle protecteur. Pour cette raison, et tant d’autres, lorsqu’un tel médicament donne l’impression de provoquer des résultats sur les symptômes, il n’en demeure pas moins dangereux à long terme.
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Et pourtant cela parait être un moindre mal devant des immunosuppresseurs comme l’ « Imurel » augmentant considérablement le risque de :
→ pancréatite,
→ hépatite,
→ pneumopathie,
→ altération de la fonction rénale,
→ et troubles cardiaques…
Oui, mais comment faire autrement ? Les solutions naturelles :
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Comme toujours le point de vue naturopathique est central, et ce dernier commence invariablement par les habitudes alimentaires et thérapeutiques, conditionnant la santé du côlon et de l’intestin. Ainsi, il y a des années, le Dr. Jean Seignalet mit au point un régime hypotoxique consistant, pour simplifier, à bannir le gluten ainsi que les substances allergènes de son alimentation. Il permit tant de rémissions à lui seul (50% des cas !) qu’il est depuis largement connu, et rencontre de nombreux adeptes. Cependant, bien que cette diététique fasse évidemment partie des solutions que proposent les médecines naturelles, elle demeure trop contraignante pour beaucoup. Qui plus est, la méthode Seignalet est si exclusive qu’une brève rechute dans un mode d’alimentation intoxicant peut provoquer plus de mal qu’auparavant.
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D’autre part, contre le stress on propose : la méditation, le Qi-Gong, le yoga, l’art thérapie et d’autres pratiques s’avérant parfois miraculeuses lorsqu’elles sont correctement employées.
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Pour nettoyer l’organisme des métaux lourds, il existe : la spiruline, le charbon, la coriandre, etc …
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Et afin de reconstituer l’équilibre intestinal, on utilise avec succès les pré et probiotiques ou l’organothérapie. Le FOIE en particulier a un rôle central (Hepar compositum), car c’est lui qui exerce un feed-back sur la production d’AC (cf. Cycle de Jayle), ainsi que les organes de l’immuno-tolérance : Thymus et Placenta. Et toujours le FOIE : Hepar compositum (les enzymes pro-inflammatoires du foie ont un effet immuno-modulant au niveau des anti-corps)
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Mais qu’existe-il pour rééduquer le système immunitaire lorsque, comme c’est le cas avec les maladies auto-immunes, il s’en prend à son propre organisme ou à des leurres ?
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Le BNS s’avère l’examen de choix qui va faire le point des troubles = sécheresse tissulaire, stress oxydatif (Ubichinon comp.), dysrégulations hormonales et métaboliques, et proposer certains remèdes et plantes spécifiques à chaque cas. On peut par exemple envisager :
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Le pin sylvestre =
→ agissant comme antihistaminique et anti-inflammatoire (effet cortisone-like),
→ renforçant les vaisseaux sanguins,
→ fabriquant de la protéine de collagène,
→ protégeant l’organisme contre les bactéries et les virus,
→ aidant à la fabrication d’hémoglobine,
→ stimulant la production d’interféron,
→ agissant comme diurétique.
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L’huile essentielle de Laurier Noble est à la fois :
→ équilibrante pour le système nerveux,
→ antibactérienne, antifongique et anti-virale,
→ antispasmodique et antinévralgique.
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La vitamine B3 (ou PP) est antioxydante et participe à une bonne circulation sanguine.
La vitamine B6 participe à la bonne santé du système nerveux et régule l’activité hormonale.
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L’extrait de Ginkgo Biloba :
→ favorise les fonctions cérébrales en harmonisant la circulation sanguine,
→ protège le système immunitaire,
→ tout en purifiant l’organisme.
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Néanmoins, pour se sortir durablement d’une maladie auto-immune, il reste évidemment fondamental de limiter au maximum les facteurs déclencheurs évoqués plus haut. Les symptômes se dissipent souvent plus lentement, de manière moins abrupte et la prise médicamenteuse doit être plus longue qu’avec un médicament synthétique.