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Comme expliqué dans le chapitre précédent, les voies d’abord décrites ci-dessous pourront être traitées par :
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* Rôle de l’électro galvanisme buccal : détermination, mesure et traitement sont du domaine du dentiste équipé d’un matériel spécialisé. Il mesurera le pH de la salive et la différence de potentiel par rapport à la zone traitée de la dent, parfois supérieur à de 175 mV ! S’il faut enlever un amalgame, on commencera par celui qui a la plus forte différence de potentiel, puis on refera les mesures.
http://www.medecine-integree.com/Stomatologie-art-dentaire/lelectro-galvanisme-buccal.html
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* Les foyers dentaires réactogènes : détermination (lecture d’une radiographie panoramique ++), analyse des traitements dentaires déjà effectués, nettoyage des poches (intérêt des lasers dentaires, YAP par exemple).
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Procaine en infiltration des racines
* Déséquilibre occlusal (DCM ou SADAM = Syndrome Algo Dysfonctionnel de l’Appareil Masticateur)
Signes d’appel:
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Principales étiologies:
Dans ces deux cas, principalement dans une étiologie traumatique dentaire, on parlera de syndrôme descendant (de la dent à la structure). Exemple : suite d’intubation lors d’une anesthésie générale.
Dans ces deux derniers cas, la lésion n’est plus primaire dentaire, mais secondaire. On dira que l’on a affaire à un syndrome ascendant (de la structure aux dents). La différence doit être faite, car un traitement dentaire sur une lésion ascendante sera voué à l’échec.
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Exemple de gouttière de transition souple
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Traitement directement lié à l’étiologie :
* L’infiltration (ou irradiation) des amygdales (piliers supérieur et inférieur) ou des cicatrices amygdaliennes.
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Les champs perturbateurs sur le corps :
* Les cicatrices superficielles et profondes : testez (au pouls) tous les plans musculaires, car les coupures se font souvent à 90° sur chaque plan !
Cas particuliers : les épisiotomies (et lésions des accouchements difficiles) ainsi que les cicatrices de cure de hernie inguinale (parfois répétées).
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* Les zones indurées algiques (à valoriser par la « Méthode de L. H. JONES » : traitement des foyers perturbateurs par les positions antalgiques pour la décharge du l’arc réflexe).
* Les ganglions cervicaux (C1-C2) : commande sympathique de la tête et du cou (vertiges, bourdonnements d’oreilles, algies faciales …)
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* Les sinus de la face (frontaux ou/et maxillaires) :
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* Les ganglions stellaires (C7-D1) : commande para-sympathique de tout le thorax (cardio-respiratoire) et des bras (troubles vasculaires) :
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Les voies d’abord antérieure (méthodes de Herget) et antéro-latérale (méthode de Leriche et Fontaine) nous paraissent plus risquées, car le dome pulmonaire n’est pas loin, ce qui a valu au dr. Richand un procès pour un pneumothorax accidentel !
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Ganglion stellaire, par voie postérieure
* L’atteinte du ganglion de Gasser entraîne des douleurs intenses en décharges électriques : on parle de « névralgies du trijumeau » (l’injection se pratique la bouche ouverte, à partie du point 0′, en avant du tragus, parallèlement à la base du crane, 4 cm) :
ganglion de Gasser
* L’infiltration du parenchyme thyroïdien (facile, car superficielle et sans danger), clef des dysthyroïdies, des nodules, des phénomènes tétaniformes (angoisses, palpitations, boule hystérique dans la gorge et l’estomac …), des troubles menstruels (c’est la thyroïde participe au déclenchement de l’ovulation) :
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* Traitement segmentaire des régions précordiales (angor, troubles du rythme), en plus du traitement du ganglion stellaire, on utilisera des injections intra-dermiques, aux bords latéraux gauche du sternum, à la clavicule et en IV si nécessaire (en clinique, à cause du risque de choc vasculaire).
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* Traitement segmentaire des maladies des poumons (bronchite, DDB …), avec l’infiltration antérieure des points 1 et 2 du méridien du Poumon (MTC) et du ganglion stellaire (si asthme) :
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Points de commande des poumons
* Les foyers génitaux (ligaments larges et prostate) :
– pour la prostate, injection à l’aiguille longue, à travers le raphé médian, un doigt rectal maintenant le contact prostatique. Avec un laser, on utilisera un anuscope ou un tube à essai amené au contact prostatique :
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– pour l’utérus et les annexes, injection à l’aiguille longue, maintenue avec un pince de Kocher (seul 1 cm dépasse), sous spéculum, des deux côté des culs de sacs vaginaux (droite et gauche du col). Ci-dessous, méthode au laser athermique avec fibre optique dans un tube à essai :
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* Névralgies sciatique, sacrée et pudendale (rappel anatomique) :
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* Les lésions péri-articulaires (épaule, coude, poignet, coxo-fémorale et genoux surtout) … une articulation peut, non seulement subir l’action d’une zone réactogène, mais également se transformer en zone réactogène ! Ce qui devra faire apprécier le système tonique postural et les lésions ostéopathiques (blocages positionnels) éventuelles.
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infiltration antérieure de l’épaule
Le membre supérieur :
infiltation péri-articulaire du coude
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infiltration du canal carpien et du poignet
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Le membre inférieur :
infiltration des genoux
en construction …
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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