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Les choses se mettent en place durant la petite enfance : c’est la génèse de la SUBJECTIVITE :
1ère année … phase narcissique (dédifférentiation d’avec la mère) … la confiance en soi ?
2ème année … phase de la mise en place de l’oralité et de l’analité
3ème année … phase phallique (indépendance et confrontation au monde)
De 5 à 7 ans … phase oedipienne (comprendre les règles de la vie sociale)
De 8 à 12 ans … phase de latence (l’âge de raison – la petite école)
De 13 à 18 ans … phase de puberté (remise en question des repères)
L’âge adulte … à la recherche d’une identité sociale harmonieuse (construire une personnalité épanouie)
Puis le 3ème et 4ème âge … nouvelle remise en question de l’image et du rôle social ! Se faire plaisir et se sentir utile ?
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Sur ce sujet, lire sur ce site la SUBJECTIVITE
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Il faudra s’appuyer sur des arguments objectifs :
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–> Le « Quotient intellectuel » (QI) chez les jeunes (évaluation statistique du potentiel intellectuel)
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–> le « Mini mental state » (MMS) chez les plus âgés (évaluation des secteurs en déclin)… à regarder sur internet.
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Séméiologie psychiatrique :
La dynamique de l’adaptation est importante ++
Langage :
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Mémoire :
Hypermnésie : déroulement accéléré des souvenirs lors de la prise de « stimulants » (?!)
Amnésie : perte des souvenirs, peut être le premier symptôme d’un état démentiel, exemple : syndrome de Korsakoff (déficit en vitamines B de l’alcoolisme chronique).
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Perception :
Hallucinations sensitives de type divers (odorat, visuelles, auditives, tactiles …).
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Alimentation : Anorexie mentale / Boulimie (sujet traité dans le chapitre digestif).
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Psychomotricité :
NB. Quand on ne verbalise pas une contrainte psychologique, le corps parle … et quand il parle, il fait mal !
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Sexualité :
Rechercher surtout les perversions sexuelles, caractérisées par l’anomalie du choix du partenaire, ou des moyens de satisfaction
Dysfonctionnements :
– chez l’homme = impuissance, éjaculation précoce,
– chez la femme = frigidité, dyspareunie (rapports douloureux), le vaginisme (refus de pénétration)
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Sommeil :
Trois types d’insomnie :
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Troubles sphinctériens :
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Névroses troubles commun du contrôle social :
– Névrose d’angoisse : anxiété sans cause, perte de contrôle = attaque de panique !
– Névrose phobique : crainte angoissante en confrontation du sujet =
agoraphobie – claustrophobie – phobie d’impulsion (crainte de blesser quelqu’un, de se jeter dans le vide …), hypochondrie : personne persuadée d’avoir une maladie
– Névrose obsessionnelle : mental envahit par des idées obsédante (handicapant si plus d’1h par jour) = rituel de vérification, de conjuration de sort, alimentation …
– Névrose hystérique : se mettre en avant, théâtralisme, tatouages, perçings …
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Psychoses (trouble grave, car CLIVAGE, donc le sujet contrôle mal ses pulsions) :
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— Schizophrénie : trouble de la cohérence de la pensée, se coupe du monde extérieur, se retire dans un monde intérieur avec négativisme et ambivalence affective.
Psychose paranoïde : idées de persécution
Syndrome dissociatif : discordance idéo-motrice avec mouvements répétés et anomalies du discours (lié au « clivage »)
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— Délires :
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L’autisme et ses différents aspects :
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Troubles de l’humeur :
Episodes dépressifs, tristesse douloureuse, avec sensation d’échec, culpabilité, désintérêt du monde extérieur et de l’activité sociale, baisse des performances intellectuelles, anorexie, fatigue matinale, constipation… Deux formes :
– Dépression réactionnelle : après un épisode quelconque (deuil, licenciement, changement de poste, divorce …)
– Dépression d’involution, lié à l’âge ou à une affection évolutive grave …
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Dans la bipolarité (ou Psychose maniaco-dépressive), les phases dépressives sont entrecoupées d’épisodes maniaques : humeur expansive, joie excessive, tristesse, chants, rire, vêtements extravagants ou dénudation, idée de grandeur et de toute-puissance, suppression de censure morale …
Excitation psychomotrice : fuite des idées, avec logorrhée et graphorrhées, jeux de mots, calembours … Sujet hyperactif, le maniaque déborde de projets…
Tout ça est compliqué par le fait qu’ils prennent des drogues, de l’alcool… Le trouble à long terme est souvent un déficit mémoriel et dépendance.
NB. 15 à 20 % des patients qui viennent nous consulter sont dans une de ces catégories !
Notre but est de mettre à disposition des internautes (étudiants, professionnels de la santé et patients) les renseignements disponibles dans le domaine des médecines douces (en anglais, l’on parle de « complementary and alternative medicine »), au sein d’un concept global d’équilibre du terrain, pour qu’ils participent avec nous au débat ouvert sur la médecine de demain … dans une approche systémique de la santé, des symptômes et des remèdes !
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