Retrouve ton poids de forme !

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D’abord comprendre les mécanismes qui génèrent la prise de poids.

Puis identifier les obstacles qui s’opposent à la normalisation de celui-ci.

Enfin proposer – selon le cas – des solutions simples et efficaces, au sein d’une motivation sans faille.

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Le mécanisme qui génère la prise de poids : l’hyperinsulinisme essentiellement ! 

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« Les vices de la chair, parmi lesquels on compte la gourmandise, la luxure, la concupiscence et la superbe, sont engendrés par le ventre » (Saint Thomas d’Aquin, Somme théologique, article 3).

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La bouche est le premier lieu d’échange entre soi et le monde et elle en portera jusqu’au bout le poids et la logique, jouissance et culpabilité confondues. Sa genèse se situe dans le « mam-mam » (mère – manger) : je te mange parce que je t’aime ! L’oralité constitue les premières expériences sensorielles fondamentales, décrites sur un plan tactile et affectif. La « cuisine-de-ma-mère », c’est une sorte de désir amoureux sans cesse recrée ! Trois repas par jour = décharges pulsionnelles (satisfaction). Mais l’aliment peut être dévoré parfois, ou émietté, rejeté, fécalisé …

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J.Yves HENRY s’est trouvé confronté, comme beaucoup de praticiens, au problème complexe du surpoids de certains de ses patients. Il a eu la chance de rencontrer plusieurs praticiens nord-américains spécialisés dans le domaine – là bas, on parle d’obésité à partir de 160 kg. jusqu’à jusqu’à 300 kg et on les suit quotidiennement en clinique de jour – d’expérimenter leurs méthodes, de l’adapter aux habitudes européennes et d’en vérifier le bien fondé par un suivi biologique au long cours.

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Les régimes « qui marchent » ne sont pas nombreux, et le problème essentiel reste la motivation et son maintien dans le temps, au sein des « histoires de vie » de chacun. Devant les résultats obtenus à l’aide de moyens simples, logiques et économiques au service de la régulation du poids, nombre des étudiants et confrères utilisateurs du site www.medecine-integree.com, lui ont demandé de présenter son expérience en un petit ouvrage pratique qui pourra aussi servir à éclairer les difficultés et efforts de leurs patients.

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Les symptômes des phases d’hypoglycémie :

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.Sommaire :

Avant propos ………………………………………………………………………….. 7

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Première partie. Ce que le patient doit savoir ………………………. 11

1. Pourquoi ce surpoids ? ………………………………………………………. 11

L’IMC ………………………………………………………………………………………. 11

Mais quel est votre poids idéal ? …………………………………………… 12

Les problèmes métaboliques ……………………………………………….. 15

Les différents types de surpoids…………………………………………… 17

2. Les outils que vous pouvez utiliser …………………………………… 21

Un mètre de couturière ………………………………………………………… 21

Une balance impédancemétrique ………………………………………… 21

Des bilans de biologie fonctionnelle …………………………………….. 23

Un bilan biologique classique ……………………………………………….. 27

Une balance de cuisine et cahier alimentaire ………………………. 28

L’exercice physique ……………………………………………………………….. 28

3. Les régimes « classiques » ……………………………………………….. 30

Cétose et diète protéinée ……………………………………………………… 30

Les abords philosophiques ……………………………………………………. 32

Le jeûne ………………………………………………………………………………….. 32

4. Les contraintes métaboliques incontournables ………………… 36

Le nécessaire déficit calorique ………………………………………………. 36

La régulation glucidique …………………………………………………………. 41

L’index glycémique …………………………………………………………………. 46

La balance protéique ……………………………………………………………… 46

Les solutions pratiques…………………………………………………………… 49

Le « régime diabétique » ………………………………………………………… 49

Les phases de la « diète protéinée » ………………………………………. 51

6. La motivation ………………………………………………………………………. 56

Le poids mental ………………………………………………………………………. 58

Le perso-régime ……………………………………………………………………… 61

Les histoires de vie …………………………………………………………………. 61

Les Weight Watchers ………………………………………………………………. 62

La cohérence cardiaque …………………………………………………………. 62

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Deuxième partie. Ce que le praticien doit apprendre …………….. 63

7. L’homéopathie diathésique : portraits cliniques …………………. 64

Les patients « poumon » ………………………………………………………… 70

Les patients « foie » ………………………………………………………………… 71

Les patients « rein » ………………………………………………………………… 71

Les patients « cœur » ……………………………………………………………… 73

Les patients « rate-pancréas » ……………………………………………….. 75

8. Evolution du surpoids ………………………………………………………….. 76

Le syndrome métabolique ……………………………………………………….. 77

9. Cas particuliers de l’enfant et de la femme …………………………. 81

10. Les sportifs ………………………………………………………………………… 85

11. Les aides informatiques ……………………………………………………… 86

12. Les remèdes classiques ……………………………………………………… 88

13. La chirurgie bariatrique ………………………………………………………. 91

14. Cas cliniques ………………………………………………………………………. 94

Conclusion ……………………………………………………………………………….. 97

Bibliographie ……………………………………………………………………………. 99

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Les problèmes métaboliques

Le surpoids est un problème alimentaire bien sûr, mais aussi psychologique et hormonal ! L’élément central au niveau métabolique est bien sûr un trouble de la régulation glycémique du pancréas (95% des cas de surpoids sont induits par un hyper-insulinisme qui débouchera à terme sur un diabète de type 2, selon ma statistique personnelle), que ceux-ci soient d’origine :

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—>  héréditaire : il faut rechercher systématiquement les antécédents familiaux (le diabète, surtout si le poids de naissance est supérieur à 4 kg., ou que la maman a pris 20 kg. pendant sa grossesse),

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—> médicamenteuse : hormonothérapies diverses, neuroleptiques … qui se révèlent diabétogènes chez les sujets prédisposés. Le poids, le cholestérol et surtout les triglycérides augmentent d’ailleurs sous corticoïdes et oestroprogestatifs

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—> psychologique (phases d’anxiété ou de dépression). En Médecine traditionnelle chinoise : sucres = Rate-Pancréas = mémoire / idées fixes, mais aussi « volume des chairs ». Celle-ci considère d’ailleurs qu’il existe deux autres façons de « se sucrer » : la peur (MTC = Rein) et la colère (MTC = Foie), qui par la décharge d’adrénaline déclenchée, modifient l’équilibre insulinique.

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Les rares cas où le pancréas n’est pas en cause sont des cas d’hypothyroïdie frustre, c’est à dire non encore dépistée. D’ailleurs, le fluor, largement répendu dans nos dentifrices, est un agent anti-thyroïdien (c’est un halogène – comme l’iode) qui participe à l’explosion actuelle des pathologies thyroïdiennes.

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Bien sûr, l’état des fonctions organiques d’assimilation, d’exonération (constipation, usage de laxatifs …) et d’épuration (troubles des règles et problèmes urinaires) est variable selon les individus et même d’une saison à l’autre, mais ces phénomènes sont secondaires par rapport à la dysfonction pancréatique. Si cela fonctionne mal, c’est que vous avez – en plus de l’hyperinsulinisme – une  (ou plusieurs) intolérance(s) alimentaire(s) qui entretiennent une inflammation de bas grade … à explorer par un bilan IMUPRO Screen !

A suivre …

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A commander à FFMI = henry.jeanyves @ gmail.com

ou sur le site de vente en ligne :  leboncoin

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Autres ouvrages de médecine intégrée disponibles chez FFMI :

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