Solutions des douleurs aiguës et chroniques

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— La douleur aiguë, comme la fièvre, est un symptôme d’alerte qui va apparaître lors de plus de cent affections différentes.

— Les douleurs chroniques touchent plus de 10 millions de français. Elles sont d’intensité variables, durables et invalidantes.

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À l’occasion de la Journée mondiale de la douleur ce lundi 20 octobre, un baromètre inédit alerte : 42 % des Français, soit plus de 23 millions de personnes, vivent au quotidien avec des douleurs chroniques !

Des douleurs liées à plusieurs facteurs 

Plusieurs facteurs expliquent cette hausse selon le spécialiste : le vieillissement de la population, la progression des maladies douloureuses, la sédentarité croissante favorisant notamment les lombalgies. “Il y aussi une plus grande liberté de parole autour de la douleur chronique, encore stigmatisée il y a 20 ou 30 ans”, ajoute Nicolas Authier. Il poursuit : “Parmi les 23 millions de personnes concernées, 57 % sont des femmes, ce qui s’explique notamment par des pathologies spécifiques comme l’endométriose ».

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Une étude révèle les multiples facettes des douleurs chroniques. “Il n’existe pas qu’une seule douleur chronique”, insiste le responsable de l’étude. “Parmi les douleurs, il y a les douleurs musculo-squelettiques, telles que les lombalgies et l’arthrose. Elles touchent 36 % de la population adulte. Les céphalées, y compris les migraines, concernent 33 % des individus, tandis que les douleurs abdominales affectent 15 % des personnes interrogées. Enfin, les douleurs neuropathiques, comme les sciatiques ou les douleurs post-zona, représentent 12 % des cas”.

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Trois mécanismes pathologiques sont le plus souvent en cause : tendino-musculaire, vasculaire ou neurologiques, mécanismes que l’on peut d’ailleurs trouver associés chez certains patients âgés. Les causes sont à identifier et à traiter précisément et les conséquences psychologiques sont aussi à prendre en compte !

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Les solutions classiques, réflexes, de MTC et homéopathiques y sont envisagées …

— Douleurs aiguës : syndrome « Bi » en MTC = plénitude localisé sur un obstacle (fracture, embolie …)

— Douleurs chroniques : syndrome « Tong » en MTC = chaleur sur vide (sécheresse), avec une épine irritative à distance (cf. techniques de neuralthérapie)

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Quelle est la différence entre l’hyperesthésie et l’allodynie ?
👉Avec l’hyperalgésie, vous ressentirez davantage de douleur aux endroits censés vous faire mal (coupures, brûlures, blessures, etc.). Cela se produit lorsque vos récepteurs de la douleur sont très sensibles.
👉Avec l’allodynie, vous ressentirez de la douleur ou de l’inconfort en réaction à des choses qui ne devraient pas vous faire mal du tout !

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Un ouvrage fait le point des avancées dans ce domaine … à commander à FFMI : henry.jeanyves @ gmail.com

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