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Le wagon » 

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Un roman historique et médical de J.Yves HENRY ?!

Ce récit est basé sur une histoire vraie, aventure militaire (parmi tant d’autres !) qui a eu lieu à la fin de la grande guerre. Le grand vase Ming qui trônait dans le salon de mes parents, cadeau du héros de cette histoire à mon grand-père, en atteste la réalité. Peu au fait des détails de cette curieuse épopée, j’en ai bien entendu inventé les personnages, en y faisant figurer les évènements que j’ai eu l’occasion d’entendre, petit garçon, de la bouche de mes grands-parents et de leurs amis, acteurs – bien malgré eux – de cette première guerre mondiale fratricide, afin d’en respecter les péripéties et l’ambiance historique.

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C’est aussi l’histoire de la découverte par un jeune étudiant en médecine de la diversité d’un monde complexe, à un moment où les méthodes et doctrines médicales commençaient à se découvrir avant de s’affronter !

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Supplément au chapitre 6 :

Avant de quitter la ville, Nathacha, l’épouse de Gilles voulu passer par le cimetière, afin d’avoir une pensée pour ses parents et grands parents décédés qu’elle laissait là. Elle proposa à Paul et à son frère de les accompagner, tant les coutumes russes allaient les surprendre : en effet, dès l’entrée ils remarquèrent de petits groupes de gens réunis autour de certaines tombes, le verre à la main. La bouteille de vodka circulait entre eux, ainsi que quelques tranches fines de poisson séché ! Un verre à moitié plein était posé sur la tombe, sensé permettre au défunt de trinquer avec eux. C’était la coutume leur avait-elle expliquée !

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Supplément au chapitre 9 :

Dès leurs premiers pas en ville, leur guide leur fit remarquer, très fier, la présence de trottoirs des deux côtés des rues : Pondichéry était – selon lui – la seule ville en Inde à en être équipé, grâce au travaux de voirie du protectorat français.

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Supplément à l’épilogue :

Il se voyait déjà, dans leur petit appartement du 14ème arrondissement, derrière la gare Montparnasse, le quartier des bretons, serrer dans ses bras sa mère er sa grand-mère, toujours vaillantes, qui avaient suivis par quelques rares courriers leur épopée ferroviaire. Il lui semblait déjà entendre le bruit des sabots des chevaux des carioles de livreurs d’eau ou des vidangeurs sur les pavées de la rue en pente légère, les interpellations des rémouleurs ou des vendeurs de peaux de lapin. Il se rappelait, encore jeune, marcher le long des devantures d’épiciers, qui proposaient dans de grands sacs des pois et fèves de toutes couleurs et derrière le comptoir, les ménagères qui miraient les œufs à la lumière d’une ampoule avant de les acheter. Parfois, c’était quelques chanteurs et musiciens des rues qui s’installaient pour un quart d’heure dans une cour d’immeuble et qui, après avoir partagé quelques chansons à la mode, espéraient qu’on leur jette quelques pièces

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Texte disponible sous forme d’« e-book » (100 pages), c’est à dire en fichier PDF téléchargeable, à lire sur votre ordinateur ou à imprimer chez vous.

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